Dimanche 8 février 7 08 /02 /Fév 06:57

La belle Julie

 

Mathieu se demandait ce qu'il cherchait précisément, ici. Ou plutôt

Pourquoi il était venu dans cet endroit. Depuis deux semaines, son visage se répétait en boucle dans son esprit.

Il était depuis quelques temps, complètement obsédé par elle ... Et il se maudissait pour cela. Elle avait 25 ans et lui 40 ans. Était-il obsédé par elle ou le plâtre quelle avait a la jambe gauche?

C'était peut-être pour cela qu'elle l'attirait autant cette jeune femme intelligente.

Il adorait la manière qu’elle se déplaçait sur béquilles. Sa jambe plâtrée était pratiquement droite et lorsqu'elle s’arrêtait elle posait le plâtre sur sa chaussure droite. Lui donnant une vue parfaite de cette belle femme blessée.

Mais ce que Mathieu trouvait le plus joli, c'était son plâtre. Mathieu avait vu au fil des années plusieurs filles et femmes avec une jambe dans le plâtre mais celui-ci était parfait. Le plâtre accentuait sa belle longue jambe sportive en suivant tous les contours parfaitement.

Aujourd’hui elle portait une jupe qui laissait apercevoir presque totalement le plâtre mauve qui couvrait sa jambe gauche au complet.

Il découvrit que Julie était seule à sa table. Elle avait une jolie teinte rouge sur ses joues. Ses béquilles étaient à coté d’elle et sa jambe brisée sur une chaise.

Mathieu lança un regard suspect aux nombreux bouquins poussiéreux qui jonchaient la table, tout autour d'elle. Avocate de formation elle passait beaucoup de temps à étudier de vieux documents de droit.

Contre toute attente, il se dirigea avec nonchalance vers le bureau

de Julie, réprimant sa gène. Affichant un sourire, il regarda avec

grand intérêt les livres qu'elle avait pris.

«Bonjour Julie»

Julie sursauta brusquement et le regarda, en rougissant.

«Comment vas ta jambe?»

Julie hocha docilement la tête et fit un sourire timide à Mathieu qui était après tout son patron.

Mathieu lança un regard rapide à ce plâtre qui le rendait fous.

«Ca va mieux merci Yves. Je suis presque une pro sur béquilles. Je travaille sur la sommation de vendredi»

« Est-ce que tu as besoin d’aide? »

« En fais oui je cherche le livre de Mr. Lessard tu saurais ou il se trouve?»

« Oui viens je te montre où se trouve la collection »

Il prit la main de Julie et l’aida à se lever sur sa jambe droite. Elle prit les béquilles qu’elle positionna sous ces bras.

Il regarda avec intérêt Julie se déplacer rapidement sur ses béquilles, entre les allées encombrées de bouquins. Mathieu lança un rapide coup d'œil à ce beau plâtre par derrière en la suivant.

Il trouvait un plâtre sur une jambe féminine tellement sensuelle.

« Julie tourne à gauche stp » Souffla-t-il d'une voix suave en s'approchant d'elle.

Julie ne dit rien, elle se tenait du haut de ces 5 pieds 10 soutenue par les béquilles

«Je veux te dire comment je te trouve attirante avec ce plâtre et tes béquilles Julie » Mathieu lui avoua

Elle se retourna, faisant faire à sa jupe un mouvement, qui

fit voir la totalité du plâtre mauve. Mathieu allait devenir fou.

Julie était certes jolie, et pour lui, elle était belle à sa manière.

Peut-être était-ce son caractère qui faisait tout son charme. Ou peut-être était-ce qu'elle n'était pas comme les autres femmes. Pour sûr sa fracture de la jambe n’avait qu’amplifié son charme.

Mathieu s’approchait de plus en plus d'elle, jusqu'à sentir l'odeur fruitée qui se dégageait de sa chevelure indomptable.

Elle le rendait fou.

« Je suis désolé de te dire cela maintenant et ici » En écartant ses cheveux frisés de son cou. Il la sentit se tendre et devina qu'elle avait violemment rougi. Il adorait savoir qu’il pouvait lui faire tant d'effet.

Elle rougit encore plus instantanément lorsqu'elle se retrouva collé à son torse, surprise de tant de proximité. Sa jambe rencontra le plâtre de Julie et Mathieu eut l'envie irrésistible de la prendre dans ses bras pour pouvoir toucher sa jambe plâtrée.

Bien sûr, il ne voulait pas lui faire peur, mais pour lui, Julie était comme intouchable, irrésistible.

« Je ne sais pas quoi dire Mathieu, tu es mon patron et tu es marié »

« Je comprends mais est ce que tu ressens quelque chose pour moi? »

Sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit, il lui prit

fermement la taille et effleura ses lèvres. Mathieu sourit lorsqu'elle laissa tomber ses béquilles et émit un petit gémissement d’approbation tout en l’utilisant comme support.

Sans plus attendre, il scella ses lèvres aux siennes. Il mordilla sa lèvre supérieure, demandant une chose qu'elle lui donna sans protester.

Elle entrouvrit la bouche et passa une main dans sa chevelure, le faisant grogner de satisfaction. Le baiser s'intensifia et bientôt, Mathieu voulut plus.

Il passa une main courageuse sous sa jupe, mais une main poussa la main vers son plâtre. Rassuré, il lui donna un autre baiser, cette fois-ci plus doux et chaste, remplit de tendresse, la prenant dans ses bras et la faisant s'asseoir sur la table, alors qu'il prenait sa pauvre jambe plâtrée et la déposa sur une chaise.

Mais contre toute attente, il fut surpris de sentir qu'une petite main chaude se scellait à la sienne pour l'amener à sa cuisse plâtrée.

Surpris, il se recula doucement et regarda Julie, qui lui souriait timidement, les joues rouges. Il l'embrassa de nouveau du mieux qu'il put, d'un baiser doux.

Pendant un moment il regarda cette belle jeune femme si désireuse avec ce long plâtre couvrant sa jambe gauche. A vous de déduire si Mathieu allait débuter une relation avec cette ange blessé…

Par Stephi from Canada - Publié dans : récits_amis - Communauté : Fantasme plâtre
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 7 février 6 07 /02 /Fév 00:00
 

Pour l'heure, Elodie boitait du pied droit néanmoins chaussé d'un escarpin noir et pointu...elle boitait de cet air satisfait des filles qui font semblant de ne voir personne, l'air altier, les yeux portant au loin...elle boitait avec l'air du déni d'entorse dont certaines filles se parent quand elles refusent la moindre misère de leur corps, pour elles insulte à la beauté...faussement , elle me dit qu'elle avait une contracture...faussement car en fait il n'y avait pas le moindre déni, mais plutôt le désir violent que je m'intéresse à cette boiterie, comme d'ailleurs une majorité de filles qui n'attendent que d'éveiller au travers d'un bobo, ce qu'éventuellement nous n'aurions jusque là, osé montrer...

Dans ce jeu amoureux, je tins mon rôle...me contentant de montrer que j'avais vu pour l'inciter à dire plus, ce qui vint assez vite quand elle évoqua sa glissade  matinale dans la salle de bain et la violente et douloureuse contracture au cou de pied, tout cela dit en s'appuyant sur mon épaule pour soulager un appui manifestement douloureux...

Ce matin là, nous n'avions que deux heures d'amphi et notre week-end commencerait...Comme à l'accoutumée, nous nous sommes installés dans un coin discret, comme à chaque fois elle a croisé ses jambes, mais sans ce mouvement sensuel et excitant que j'ai déjà évoqué...il y eut par contre un geste inhabituel et tout aussi charmant, quand elle défit la bride qui maintenait la chaussure, et que je poursuivis de ma main en la lui ôtant...

A la fin du cours, dans la fièvre des départs du week-end, nous nous retrouvâmes seuls au monde...Elodie se leva, prenant bien garde de ne pas poser son pied adorable, passa son bras autour de mon cou, tandis que sa chaussure pendait au bout de ses doigts. Quiconque n'a pas vu une jolie jeune femme au pied blessé dans un collant soyeux, sautiller de cette manière, n'a pas vu la moindre chose de la délicieuse fragilité qui peut en émaner...Un merveilleux week-end en perspective...

Vous décrire l'excitation qui m'habitait à cet instant est quasiment impossible...pendue à mon cou, Elodie sautillait sur sa chaussure à talon avec une incroyable énergie, au point que je craignais qu'elle se casse la cheville valide...tandis que je la soutenais, mes yeux étaient rivés sur son pied déchaussé...son joli pied fin se gainait dans le collant transparent, montrant à l'envie ses jolis doigts harmonieusement disposés...son bout de pied partait telle une flèche asymétrique se rétrécissant progressivement...j'avais prévu d'aller chercher le fauteuil roulant que j'avais pris soin de retenir auprès du concierge...mais avant, je voulais accomplir un geste de plus, un geste qui toucherait ma belle, un geste tendre et romantique...et c'est ainsi qu'Elodie se sentit soudain s'envoler quand je la soulevais dans mes bras...elle se fit lascive, serra très fort mon cou, me laissant humer la bonne odeur de cuir neuf de la chaussure enlevée et qu'elle tenait au bout de ses doigts gracieux...sa tête s'inclina et elle se blottit contre moi...c'est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans la rue devant des passants éberlués...j'aurais pu très bien passer par l'intérieur, mais je voulais qu'on nous voie dans cette posture exceptionnelle, pareille à celle d'un conte de fée...le concierge avait laissé le fauteuil dans un couloir et c'est avec précaution que j'y déposais ma belle, m'agenouillant devant elle pour me saisir de son pied foulé et le poser délicatement sur le repose pied...il gisait maintenant là, arrimé sur le talon, le bout dans le vide et pointant vers le sol dans la position si émouvante de la flexion plantaire...seize étages plus tard nous sortîmes de l'ascenseur et j'aidais Elodie à s'extirper du fauteuil...elle s'appuya à la cloison avec son épaule tandis que j'ouvrais la porte...une autre émotion me saisit en voyant Elodie debout, son pied déchaussé posé sur l'autre, dans la plus charmante des positions, l'air fébrile et les yeux brillants...Elodie claqua la porte derrière elle, laissa tomber son sac, s'appuya le dos tourné au mur...nos lèvres s'étaient rapprochées et une passion intense commençait à nous envahir...ma beauté blessée ouvrit le feu...elle fit glisser ma veste qui tomba sur le sol...puis les boutons de mon polo sautèrent l'un après l'autre...ma ceinture suivit le même sort et dans un geste sec elle dégrafa mon pantalon avant que de plonger sa main dans mon slip descendant jusqu'à mon être qu'elle extirpa, s'interrompant un instant pour le voir adopter une forme allongée et rebondie...je sentis la paume soyeuse de sa main fine enrober mon gland rosé et légèrement suintant...l'appel était net...la veste d'élodie rejoint la mienne tout comme son chemisier...puis je défis le soutien gorge...il me livra de jolis seins fermes et ronds aux mamelons dressés que je ne pus me retenir de sucer...Elodie gémissait d'aise, ses yeux se révulsait, son corps était en feu tandis que j'achevais l'effeuillage...j'ai déposé Elodie sur le lit défait par mes soins, tirés les voilages que pour ne laisser passer qu'une douce lumière tamisée..."prends moi, je ne peux pas attendre me dit elle; depuis ce matin je suis au bord de l'explosion, baises moi… baises moi fort, ajouta t'elle dans une sorte de transe...elle essaya d'ajouter à mon excitation en tentant de glisser son pied blessé entre mes cuisses et s'interrompant par la douleur...je pris alors le pied et le couvrit de baiser avant d'être attirée par ma belle...la fusion fût immédiate et nos corps partirent dans un rythme souple pendant de longues minutes...si le corps d'Elodie suffisait à m'amener au nirvana, je ressentis le besoin de me saisir de son pied foulé au moment de lui délivrer toute ma force...je le fis avec précaution tandis que l'autre partie de moi lançait son torrent de plaisir dans l'antre chaleureuse d'Elodie...comme tout le monde nous avons dormi après...le passage dans la salle de bains fût tendre et romantique...il était près de 16h et nous avons voulu profiter de la ville...Elodie avait adopté une tenue plus décontractée...un tee-shirt qu'elle enfila sur un tout petit soutien gorge et laissant deviner sa gorge...un short blanc qui tranchait avec ses magnifiques jambe longues et bronzées, une sandale blanche à talon et fines brides pour le bon pied...mais avant il fallait immobiliser le pied trop sensible aux mouvements car² l'entorse du pied , si elle n'est pas grave, est extrêmement douloureuse...je courus à la pharmacie...Mr Teng, le pharmacien, me trouva une adorable gouttière thermo formable et de jolies béquilles aux tubes roses et aux poignées beige très seyantes...Elodie m'observa médusée quand j'entrepris d'adapter la fine gouttière...je l'avais assouplie dans l'eau tiède, puis je l'avais appliqué en commençant sous le mollet puis en allant jusqu'aux ras des coussinets de la plante du pied...puis avec deux bandes d'elastoplaste je l'avais fixée solidement...il s'ensuivit un appareillage très discret qui maintenait le pied à angle droit tout en laissant le reste libre de tous liens...

Par Ami anonyme - Publié dans : récits_amis - Communauté : Fantasme plâtre
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 6 février 5 06 /02 /Fév 07:30
 

Nous arrivons à la voiture et nous l’aidons à l’installer, la douleur semble s’être atténuée légèrement et semble être en dessous du seuil de tolérance d’Aurélie qui en est plutôt habituée. Nous décidons d’adopter la même technique, mais Marc préfèrerait me passer le volant et l’aider de son mieux. Tant pis pour l’assurance, on s’arrangera en cas d’accident. Il fait le tour pour se mettre à ses cotés, je me charge de l’aider à se déchausser de sa chaussure, elle n’est plus capable de faire quoi que ce soit. Son petit joli pied nu se retrouve à un moment au creux de ma main, il est tout chaud et mes doigts épousent sa cambrure. Je me rends compte qu’en fait elle me l’a abandonné, je porte tout le poids de sa jambe. Marc m’aide à le positionner sur le siège, je le lui passe comme si il s’agissait d’un paquet. Il me dit qu’en fait elle s’endort, sûrement la fatigue a eu raison d’elle. Je lui réponds que c’est tant mieux pour elle, il lui faut du repos, le cachet anti-douleur qu’elle a pris après le café, commence peut être à faire effet, il était temps. Je rejoins la place du conducteur aux cotés de ma femme, elle est bien contente que je sois prés d’elle. Sa circulation a commencé a reprendre et la couleur de ses orteils revenir à la normale. « Je sens que ça va mieux déjà. Je ressens des picotements sur tous mes orteils, comme si on me piquait avec des aiguilles chaque fois que je les bouge. Tu penses que c’est normal ?» me dit elle. Je regarde ses orteils très enflés encore. Je ne vois pas d’amélioration. « Oui je pense, mon bébé, que c’est normal, ta circulation reprend, tu vas voir ça va aller mieux petit à petit. » je lui réponds.

Notre trajet jusqu’ à la région Parisienne se passe sans encombre, nos deux compagnes ont été sous le charme des cachets anti-douleurs, à tel point que nous nous sommes permis d’échanger nos places, Marc n’étant pas rassuré des conducteurs Parisiens et leur conduite quand il y a un novice comme moi au volant. Je propose à Marc et Aurélie de passer la nuit chez nous, vu qu’il y a une clinique spécialisée en orthopédie dans notre quartier, on pourrait faire ausculter Aurélie au plus vite par l’urgentiste de service. Nous habitons au deuxième étage avec ascenseur contrairement à l'appartement de Marc qui n’a pas d’ascenseur. D’autant plus que la chambre d’amis est toujours libre. Le couple accepte, de toute façon Aurélie ne se sent pas capable de grimper les trois étages de leur appartement. Nous nous retrouvons donc tous les quatre dans notre appartement. La cheville de ma femme n’est plus du tout enflée, ses orteils peuvent enfin remuer à leur guise. Elle en est libérée, son plâtre ne semble pas la gêner outre mesure, elle a maintenant les réflexes nécessaires à une personne ne devant pas poser son pied à terre. On la voit se débrouiller dans l’appartement comme si elle avait l’habitude depuis longtemps. Elle s’est déjà déchaussée, m’a demandé de l’aider pour faire sa toilette, puis a mis sa chemise de nuit préférée qui lui va si bien. Son chausson ayant tendance à s’échapper de son pied, elle décide de béquiller pied nu dans l’appartement. C’est de la moquette épaisse, partout sauf dans la cuisine.


Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Jeudi 5 février 4 05 /02 /Fév 09:01
La suite du programme, à lire de bas en haut !!!!





















Par castlover - Publié dans : informations,questions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 5 février 4 05 /02 /Fév 00:00
 

Elodie n'était pas exactement belle...elle était plutôt bourrée de charme et surtout d'une espèce de grâce romantique...ses extrémités étaient à l'unisson et leur grande finesse contrastait avec sa haute taille qu'elle assumait jusqu'à porter en permanence des talons quelle que soit sa tenue.

J'ai toujours été attentif à découvrir chez les femmes, ces détails parfois imperceptibles qui font le charme d'une personne et réveillent le désir. Pour Elodie, trois d'entre eux m'émouvait tout particulièrement...

Fût elle presque aussi grande que moi, la jeune femme avait de tout petits pieds d'une finesse extrême que je crois n'avoir jamais vu chez une autre...des petits pieds délicats et fragiles aux courbes discrètes mais néanmoins émouvantes et aux chevilles gracieuses...

L'autre détail était ce geste furtif qu'Elodie faisait en croisant ses longues jambes dans l'amphi, lorsque pour glisser l'extrémité de son pied sous l'assise, elle cambrait furtivement son pied dans un geste bref.

Enfin, il y avait ses merveilleuses chaussures à talons, de toutes les couleurs et de toutes les formes et qui outre l'exacerbation de la cambrure, laissait toujours deviner la naissance de ses ravissants orteils fins et aux ongles soignés sans ostentation, quand ils ne laissaient pas voir totalement le pied dans toute sa splendeur érotique...

Mais ce matin là, alors que j'attendais Elodie au bas de l'immeuble, je la vis soudain se diriger vers moi en boitillant...de la plus charmante des façons...je reconnus une bien perceptible boiterie du pied et non de la cheville...le talon de la chaussure commençait à se planter dans le bitume puis le pied s'abattait progressivement sur le sol dans un mouvement amorti...formant un angle parfait avec la jambe, le pied restait rigide...Elodie avançait en un rythme lent est saccadé pareil à celui d'un soldat allant prendre sa garde...sa longue silhouette gainée dans son tailleur si près du corps, que rien ne m'échappait des formes discrètement voluptueuse  dont je connaissais si bien les secrets...

Car, il faut que je l'avoue, Elodie et moi vivions une amitié aussi sincère qu'elle était amoureuse...Nous étions là pour une année complète, loin des nôtres que nous retrouvions qu'un week-end sur deux...quelques semaines plus tôt, au coeur de l'hiver,  la formation qui nous avait amené là, nous avait aussi conduit vers des stages lointains...à l'hôtel, le soir, nous avions fait plus ample connaissance et comme nous vivions chacun nos fardeaux, une amitié était née...Bien plus jeune que moi, Elodie m'amenait une sympathique effervescence que je lui rendais par la solidité de mon vécu...elle se trouvait pourtant moche et inintéressante...je pensais exactement le contraire et je le lui avais dit..., je l'avais faite complètement fondre, quand, en toute sincérité j'avais évoqué sa personnalité attachante et, c'était mes mots, "sa grâce romantique"...

Il y eut alors ce moment, alors que nous buvions une tisane sur les canapés Chesterfield au bar, où j'ai senti son corps se faire lourd sur mon épaule, où sa tête a basculé et où j'ai senti l'odeur délicieuse de ses longs cheveux châtains...sans mot dire, nous étions remontés, elle m'avait attiré vers sa chambre, et nous avions fait l'Amour...nous avions alors conclu un pacte... celui de nous rapprocher chaque fois que nos corps crieraient leur solitude, sans toutefois nous attacher l'un à l'autre...

J'avais été ému par son joli corps long et mince, presque parfait, par sa poitrine aux mamelons tendus, par ses jambes immenses et par ses merveilleux petits pieds... des petits pieds aux courbes peu appuyées mais délicates et aux longs doigts fins que terminaient des ongles nets et soignés...

Par Ami anonyme - Publié dans : récits_amis - Communauté : Fantasme plâtre
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Présentation

  • : Le blog de Castlover
  • Le blog de Castlover
  • : fantasmes amputées jeunes femmes plâtres moignons
  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés