Vendredi 23 janvier 5 23 /01 /Jan 07:30
La voilà bien installée, son pied nu valide est posé sur le siège, mais il glisse, elle le ramène vers elle à chaque fois. Je l’invite à le laisser glisser sous ma jambe pour qu’il soit calé confortablement. Je sens ses orteils chauds se glisser sous ma jambe, elle se permet même de me taquiner en les remuant alors qu’ils sont à demi rentrés sous ma jambe. Je lui fais un petit sourire en lui disant que je la reconnaissais bien là, notre petite chipie de la bande. J’admire au passage son petit pied à la cambrure bien prononcée, une petite cicatrice à peine visible me rappelle les mésaventures de sa malléole. Observant mon regard se poser sur sa cheville elle tire au maximum son jean au niveau de sa cheville, pour dévoiler entièrement sa cicatrice, dont elle est  fière. Elle me lance « Ils m’ont pas raté les chirurgiens, tu te rappelles comment j’ai dégusté avec cette fichue cheville ? En fait je me demande si mon hyper laxité n’a pas été accentuée par le fait que je n’utilisais plus ma cheville valide pendant plus de 4 mois où je n’avais pas droit à l’appui sur celle qui était fracturée. » Je lui répond qu’elle a sûrement raison, pendant plus de 4 mois c’était la seule cheville qu’elle pouvait utiliser. D’ailleurs je me rappelais qu’une fois elle se l’était tordue, vers la fin, pendant la période où elle portait un plâtre jusqu’au genou. Elle venait juste de l’avoir et 2 jours après elle s’est retrouvée en chaise roulante avec les deux chevilles inutilisables. « Ah oui tu as raison, j’avais presque oublié cette galère, j’étais tellement contente d’être libéré du grand plâtre de ma jambe que je béquillais de plus en plus vite, et puis « Crak » ma cheville s’était tordue sur le bord d’un trottoir. Je me suis retrouvé pendant plus de 10 jours avec une attelle sans pouvoir utiliser mes jambes. Tu te rappelles les délires qu’on se faisait avec ma chaise roulante, mes pieds nus, avec notre bande d’amis de l’époque. Je crois qu’il n’y a pas un seul de la bande qui ne m’a pas chatouillé la plante de mon pied nu foulé. Les hommes me transportaient dans leurs bras à chaque fois que ma chaise roulante ne passait pas…Malgré les inconvénients que je ne pouvais plus marcher du tout. C’était juste après qu’on m’a calmé en me parlant de fixateur externe, la frousse qu’il m’on faite… quelle aventure tout de même, j’espère que cette fois ci ce sera moins la galère. » Je lui répondis aussi « Ne t’inquiètes pas, vu tout ce que tu as déjà vécu ça ne peut pas être pire ! Tu as toujours aussi mal ? ».
Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Mercredi 21 janvier 3 21 /01 /Jan 07:30
Nous extirpons nos deux éclopées de la voiture, Marc va chercher les béquilles d’Aurélie dans le coffre, alors que je récupère celles de ma femme. Nous aidons chacun nos compagnes à se mettre sur leurs béquilles. Ma femme semble de plus en plus à l’aise, la voila avançant sur ses cannes, sa jambe plâtrée pendante à l’arrière, elle plie tellement son genou qu’il n’y a aucun risque que ses orteils ne touchent terre. Je trouve vraiment admirable lorsque par réflexe elle relève ses orteils pour éviter bien qu’ils n’aient aucune chance d’y arriver de frotter le sol boueux. Je la tiens quand même par le bras pour éviter qu’elle ne glisse comme nous sommes garés sur le bas coté de la route. En ce qui concerne Aurélie on se trouve tous impuissants devant toute cette douleur qu’elle subit. C’est de pire en pire, le moindre mouvement lui semble être impossible. Marc lui propose de la porter, mais on se rend vite compte qu’une pression sur sa jambe provoque aussi des douleurs, elle doit se débrouiller avec ses béquilles. Ma femme en d’autres circonstances l’aurait traité de Mamie, mais là elle se contente de l’attendre et de l’encourager du mieux qu’elle puisse. Aurélie arrive enfin à sortir  de la voiture, elle se positionne sur ses béquilles, sa position courbée accentue sa dépendance. Elle reprend son souffle et évacue petit à petit ces douleurs qui la taraudent. On est tous à nouveau après ces quelques années de son accident, admiratif devant un tel courage. Pendant que Marc l’aide à faire le tour de la voiture et avancer par petits pas glissés pour qu’elle soit du bon coté pour positionner sa jambe, j’aide ma femme à grimper sur le siège et positionner son plâtre sur le tableau de bord. Je vois ses orteils se coller au pare brise à un moment, elle les garde ainsi en  fait pour bien caler sa cheville et éviter qu’elle ne se balade. De l’autre coté Aurélie a fini par atteindre sa place, bien que connaissant maintenant sa tendance à accentuer son état de  dépendance, j’ai du mal à croire cette fois ci que les douleurs ne sont pas réelles. Quand elle se positionne sur le siège ses orteils bandés heurtent le siège de devant, je sens vraiment sa douleur qui se lit à travers son visage. Je n’en reviens pas qu’en si peu de temps son état ait tellement empiré. Je l’aide à s’installer et à positionner sa cheville sur le siège. Une fois la porte fermée elle s’y adosse, elle est obligée de se déchausser pour ramener sa jambe valide aussi sur le siège et elle plie sa jambe pour positionner sa cheville blessée à plat sur la banquette. Me voila donc assis à ses cotés, saisissant sa cheville plâtrée délicatement en prenant soin de la garder le plus à la verticale possible, c’est un peu comme si elle posait sa cheville au creux de ma paume de main. J’évite la zone bandée dans laquelle sont prisonniers ses orteils, en y regardant de plus prés le seul bout d’ongle visible est celui du deuxième doigt de pied, parfaitement manucuré. Je tiens sa cheville plâtrée par le talon en évitant toute secousse. Elle tient son genou avec ses mains pour éviter toute pression sur sa cheville.
Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Lundi 19 janvier 1 19 /01 /Jan 07:30

La voila donc installée à sa place dans la voiture de Marc. Elle essaye de remettre sa cheville plâtrée sur le tableau de bord, pour la garder élevée. Mais une douleur lancinante lui fait comprendre qu’elle ne va pouvoir la positionner à l’horizontale. Marc qui l’avait aidé en lui soulevant la cheville délicatement, constatait aussi qu’elle allait devoir la garder à la verticale.

Personne ne dit mot quand Marc démarre lentement et emprunte la petite départementale. Nous nous rendons vite compte qu’Aurélie souffre énormément à chaque secousse du véhicule, elle essaye de se tenir la cheville mais elle n’arrive pas à l’empêcher de bouger. Ma femme a toujours sa cheville sur mes genoux, ses orteils ont complètements désenflés, j’ai une envie soudaine de les embrasser, ils sont tellement beaux, émergeants de son plâtre. Je les lui masse petit à petit, elle semble apprécier mes petits massages, quand je retire ma main elle me demande de continuer. Un gros trou sur la route fait hurler de douleur Aurélie, Marc freine et s’arrête sur le bas coté, il s’en veut de ne pas avoir vu ce fichu trou sur cette petite route de campagne. Il console Aurélie du mieux qu’elle puisse, il nous faut trouver une solution pour la soulager. L’idée vient de ma femme, elle met d’accord tout le monde que l’un de nous devrait lui tenir son plâtre pendant le trajet. Elle propose à Marc de me laisser le volant et de passer à l’arrière avec Aurélie, comme cela elle pourra s’asseoir en travers  sur la banquette avec les jambes repliées et il n’aura plus qu’à la lui tenir à la verticale et éviter qu’elle ne subisse les secousses. Ma femme pourra se mettre devant et positionner sa cheville sur le tableau de bord, ce qui ne lui fera pas de mal à elle. On est tous conscient que c’est la meilleure solution vu le nombre de km qu’il nous reste à parcourir avant d’atteindre l’autoroute. Mais Marc intervient en disant qu’il n’est pas assuré pour prêter le volant à un conducteur débutant comme moi. Après un moment de réflexion commun, tous les regards se tournent vers moi. Vu le regard insistant de tous, et mon plaisir intérieur aussi je n’y vois pas d’inconvénient si ma moitié et la sienne sont d’accord.

Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 10:16
Je traînais sur le blog et je me suis dit, pourquoi pas récompenser mes abonnés en leur envoyant la suite en avant première !!!!

N'hésitez pas à vous abonner c'est gratuit et faites partie de ces chanceux qui auront d'autres cadeaux au fur et à mesure !!!
Par castlover - Publié dans : informations,questions
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Vendredi 16 janvier 5 16 /01 /Jan 00:01

Elle qui au début ne respectait pas trop les consignes de ne pas poser le pied au sol commença vraiment à prendre soin de sa cheville en la tenant exempt de tout appui, même minime. Elle n’eut plus les remarques que lui faisait son kiné, lors des séances de rééducation de sa hanche, en voyant le bout de son plâtre sale, au niveau des orteils. Le dernier plâtre était blanc sans aucunes tâches. La consolidation se fit petit à petit et elle pu être libérée enfin de tous plâtre, elle eut droit à la reprise d’appui progressivement au bout de séance de kiné quotidienne. Elle marcha avec des béquilles très longtemps, plus qu’il n’en fallait. Personne ne se doutait à l’époque qu’elle y avait pris goût. Elle profitait de l’enflure de sa cheville pour se déchausser et montrer son pied nu à chaque fois qu’elle le pouvait. Elle simula plusieurs fois des douleurs qui l’obligeait à béquillait sans appui. Cette période plâtrée de sa vie lui fit découvrir toute une communauté de personnes qui adoraient porter un plâtre ou regarder une personne béquiller avec un plâtre. Elle fit connaissance avec certaines de ces personnes qui comme elle avait été blessées et commençaient a ressentir cet attrait. Elle pensait être la seule au monde depuis qu’elle était enfant à aimer ces situations de dépendance. Le jour où elle découvrit tout ce petit monde, ces sites web à travers le monde, les tchat rooms, les forums, elle faillit en pleurer tellement elle était soulagée. Depuis ce jour elle s’autorisait des journées ou des week-end avec ses amies les béquilles, en prétextant toujours sa vieille blessure. Mais au fur et à mesure, elle se rendait compte que c’était l’autre cheville qui était devenue beaucoup plus fragile, elle se tordait très facilement provoquant des entorses fréquentes. La première fût légère et le médecin ne lui prescrivit juste une petite pommade à appliquer. Mais au fur et à mesure certaines nécessitèrent une attelle sans appui pendant 10 jours. Elle prit plaisir à vivre encore cette période alors que d’autres s’en seraient plaints. Comme elle se déplaçait toujours pour son travail, elle consultait souvent des médecins différents à chaque fois. Elle ne leur signalait jamais qu’elle n’en était pas à sa première entorse, jusqu’ à ce fameux mariage, où il semblait évident qu’elle aurait dû le signaler avant qu’il ne soit trop tard.

Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
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