Jeudi 29 janvier 4 29 /01 /Jan 07:30
 

Il est près de 15h et temps pour nous de quitter la terrasse ombragée où nous avons pris un café. J'ai allumé ma pipe et elle une Chesterfield...elle a dit qu'elle regrettait que soient devenus si rares les hommes fumeurs de pipe dont elle trouve qu'ils ont la stature d'hommes solides, ajoutant que mon tabac est agréable à sentir...J'ai abandonné ma compagne du jour sur la place le temps d'aller chercher son petit sac à dos en cuir rouge...quand je remonte, je la vois à quelques mètres délicieusement fragile sur ses cannes, ses petits doigts à quelques millimètre du sol...elle vient de raccrocher son portable...catastrophe, le bureau qu'elle a retenu pour notre travail des prochains jours vient d'être ravagé par un incendie...mais qu'importe, l'hôtel peut nous accueillir...la terrasse des chambres domine la ville...en riant, elle me dit qu'elle pourra adopter une tenue plus légère...quand je monte avec elle dans l'ascenseur, j'ai le sentiment que dans les prochaines heures, quelque chose va se passer...je la laisse à sa chambre pour m'apercevoir que fait du sort, la mienne est exactement à côté...je reviens chez elle...en sautillant sur son pied valide, je découvre de jolies jambes halées...la jupe courte et le tee-shirt lui donnent une allure juvénile et son bon pied se love dans une élégante sandale à talon dont les fines brides croisent sur le cou de pied...une discrète couche de vernis orne ses ongles...nous travaillons une demi-heure, quand elle se lève pour chercher un stylo...j'entend un bruit et me précipite...ce n'est rien... ce ne sont que ses béquilles appuyées au mur qui sont tombés...elle me regarde surprise et sourit...elle est légère sur son unique pied...nous nous regardons en silence et je m'approche...depuis le midi, je suis dans un état de fébrilité incroyable...elle m'excite...ce n'est pas que son état...ses jambes somptueuses, cette taille fine, cette poitrine dont je ne devine que les prémices quelque par dans le V de son tee-shirt, ces petits seins bien ronds et si proportionnés...je n'ai pas le temps de continuer ce voyage intérieur que nous sommes face à face...elle est merveilleusement petite et délicate...je la soulève dans mes bras et je la dépose précautionneusement sur le lit...je me retourne et tire les rideaux translucides...je débranche mon téléphone...elle fait de même avec le sien...elle me tend sa jambe valide et je retire la jolie chaussure sans omettre de déposer un baiser à la commissure de ses petits orteils si sensuels...elle a enlevé son tee shirt tandis que je fais glisser sa jupe...elle porte d'adorables petits dessous de dentelle blanche immaculée...je dégrafe son soutien gorge puis glisse ma main dans sa petite culotte...le doux toucher de son gazon ravit mes doigts qui descendent jusqu'à un puit de fraîcheur...elle défait ma chemise, love ses bras contre mon torse  et m'enserre...puis elle défait ma ceinture et à son tour glisse sa main dans mon repaire...je suis désormais nu...mon désir émoussé depuis quelques mois par le stress se réveille...avec ses deux mains, elle se délecte jusqu'à donner à mon être une forme longue et renflée...nous brûlons...nos  lèvres se rapprochent et se lancent dans une sarabande endiablée...nos corps ondulent...telle la pluie qui tombe je sens la fraîcheur envahir mon membre raidi et brûlant...le temps ne compte plus...je pars en voyage dans ce tunnel si étroit où même pas un micron ne sous sépare, un tunnel doux et soyeux aux parois onctueuses...dans un rythme synchrone nous montons aux cieux sans rien dire...oui, oui, oui dit elle tandis qu'un torrent puissant brisant ma retenue se jette dans son canyon...nous sommes maintenant côte à côte...j'observe ses traits détendus et sereins...elle s'est blottie contre moi...sa poitrine chaude et dure aux mamelons dressés exhale une douce tiédeur...elle a replié sa jolie jambe et a enjambé ma cuisse...je sens son petit pied blessé se poser doucement sur ma jambe...pendant quelques minutes nous sommeillons calmement...dans la salle de bains, je l'ai portée...dans la vaste cabine, l'eau coule sur nous tandis que nous nous enduisons mutuellement d'un gel à l'odeur délicate et parfumée...dressée sur son unique pied, elle tient à savonner mon membre encore tout tendu pas le désir, prémisse d'une nuit aussi tendre qu'enflammée...nue dans la vaste chambre, elle tente un appui sur sa cheville foulée, mais renonce... "délicieuse cheville foulée" dis-je..."vraiment?" répond t'elle...elle semble aimer la remarque tout en cambrant son pied, ce geste si féminin de séduction que toute femme pratique pourtant en récusant son motif...oui je l'ai remarqué souvent chez les femmes, quand elles sont dans la phase de la séduction, ce mouvement du pied parfois accompagné d'un déchaussement discret, comme une invitation à l'intimité...tant pis pour le travail...ce que nous venons de vivre avec passion dans cette douce après-midi est le plus puissant des stimulants...je m'inquiète pour sa cheville...elle est tout de même bien gonflée et s'étend certes discrètement mais jusqu'au pied tout entier...la colline qui est en son sommet descend en pente douce sur le delta des petits doigts qui semble se noyer comme si l'eau montait...elle me rassure : je me fais souvent des entorse, c'est toujours comme çà, quelques jours de béquilles et cela va mieux...je veux y croire...en même temps je me dis que je pourrais doter ce pied somptueux de quelconque colifichet: une bande, une attelle...même si j'avoue que le pied nu est le sommet de mon attrait en la matière...elle consent néanmoins à ce que j'entoure son petit pied d'une bande de crêpe...je façonne la contention afin de concilier le besoin à l'esthétique...l'écru de la bande tranche avec la peau doré et les orteils rosés...elle y ajoute un petit anneau dont elle ceint le troisième doigt...

je crois que vous êtes parfaitement au point sur le plan professionnel" dit elle...c'est clair, nous disposons de quatre jours pour finaliser notre projet...tel Socrate qui délivrait son enseignement en marchant, ma belle va le  délivrer en béquillant...il fait si beau à Lyon que nous allons rejoindre le centre et profiter...nous sommes heureux...tels deux jeunes, nous voilà serré l'un contre l'autre tout autant que ses béquilles le lui permettent...elle est belle...j'ai encore quelques craintes pour sa cheville...à l'entrée de la rue Victor Hugo je l'abandonne quelques instants au prétexte d'acheter du tabac...en fait je file à la grande pharmacie dont je ressors avec l'un des modèles de chez Aircast, une ravissante attelle blanche...elle est toute étonnée quand je m'agenouille devant elle, assise sur un bac à fleurs, et que je retire le bandage pour adapter l'aircast...sur son pied nu, l'aspect est saisissant...elle même s'avoue satisfaite : c'est joli, peu volumineux, seyant et elle sent sa cheville bien maintenue...à cette heure d'affluence, j'observe le regard gourmand de certains hommes vers ma beauté blondissime et son ravissant pied nu...mais je vois aussi le regard intéressé, complice et jaloux de nombre de femmes...elle s'en aperçoit...pas dupe, elle reconnaît qu'il n'est pas une femme qui ne rêve d'avoir des béquilles...c'est alors que je commence à lui dire ce que je ressens.

Par castlover - Publié dans : récits_amis
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Mercredi 28 janvier 3 28 /01 /Jan 07:30
Il n’est pas loin de 13 heures quand nous nous décidons de nous arrêter à un restaurant. Le seul restaurant ouvert dans ce petit village est un restaurant de type gastronomique, dans la cour ne sont stationnés que des véhicules haut de gamme. Nous hésitons un instant, mais le rapport qualité prix semble être imbattable et à priori nous n’avons pas le choix. Nous aidons à nouveau nos compagnes à sortir de voiture après que Marc se soit renseigné qu’il y ait une table disponible sans avoir fait de réservation. Je dépose délicatement le plâtre d’Aurélie sur la banquette, elle tourne sur elle-même et s’assoit dans le bon sens, elle ne ressent aucune douleur tant qu’elle prend énormément de précautions, elle qui d’habitude est très dynamique semble être très diminué de la sorte. Elle essaye de saisir sa petite chaussure, mais semble avoir très peur d’une nouvelle douleur. C’est à ce moment que Marc revient et se saisit de sa chaussure et prend son joli pied pour le chausser. J’en profite pendant qu’il lui attache ses petites sangles pour aller aider ma femme, elle a toujours son plâtre sur le tableau de bord et ses orteils sont toujours collés au pare brise, elle a du mal à l’enlever, je me saisis de son talon avec ma main gauche et de ses orteils de ma main droite et je le lui descends au sol. Son mignon petit pied m’a manqué, elle aussi d’ailleurs, je l’embrasse d’un petit baiser qu’elle me rend, prouvant que je lui ai manqué aussi. Je la relève et elle sautille sur sa jambe valide pour s’éloigner un peu de la voiture, son plâtre toujours pendant. Je la vois un peu remuer ses orteils, comme ils sont restés immobiles pendant tout le trajet. Je vois le deuxième orteil monter sur le gros orteil, pour finalement transmettre un mouvement de vague à ses voisins. Je lui passe ses cannes sur lesquelles elle prend appui et béquille en faisant le tour de la voiture. Vu l’heure tardive à laquelle nous sommes arrivés nous n’avons pas pu nous garer prés de l’entrée. Aurélie prend mille précautions pour ne pas subir de nouvelles vagues de douleurs, elle avance très lentement en faisant bien attention de garder sa cheville devant elle quand elle béquille. Nous sommes vraiment désolé de ne pas pouvoir l’aider plus, elle doit marcher lentement, le moindre saut semble lui être fatal. Quand elle fait une pause pour reprendre son souffle, elle appuie ses aisselles, ce qui l’oblige toujours à être courbée. Ses aisselles lui font mal comme la partie des béquilles qui les épouse est entièrement en bois !!! Ma femme fait aussi des pauses, c’est une longue distance pour quelqu’un qui marche avec des béquilles. Elle aimerait pouvoir poser son plâtre au sol à chacune de ses pauses, mais on le lui a strictement interdit et vu l’expérience malheureuse d’Aurélie, elle s’efforce d’obéir aux consignes. Elle commence à avoir mal à ses paumes de mains, des ampoules semblent apparaître avec l’échauffement produit par cette utilisation. Elle les retire de temps en temps pour vérifier qu’elle n’a pas de cloques qui se forment. Je la rassure en disant qu’elle est presque arrivée. A la porte du restaurant le maître d’hôtel nous observe et nous attend. Quand on approche il se renseigne : «  Elles ont eu un accident ? les pauvres. »  Aurélie, à notre grande surprise, lui annonce que c’est un saut en parachute dont l’atterrissage s’est mal passé. Fracture multiples de la cheville pour toutes les deux qui ont sauté en tandem. Le maître d’hôtel semble être désolé pour elles et nous invite à le suivre. Nous entrons dans une salle pratiquement pleine. On a l’impression que tous les notables des alentours se sont donnés rendez vous. Ils sont tous habillés très classe, surtout les femmes, la plus part ont la cinquantaine, mais semblent être sortis d’un défilé de haute couture. Nous faisons un peu tâche dans ce décor avec nos jeans et habits de week-end. Ma femme regarde ses orteils découverts et ressent ce besoin irrésistible de les cacher, comme elle l’avait ressentie après son plâtrage. Elle essaye de cacher au mieux son bout de pied découvert. Je me pose à coté d’elle pour l’aider au mieux, comprenant sa position. Aurélie quant à elle garde ses yeux rivés sur son plâtre et reste concentrée pour éviter tout choc ou mouvement brusque. Notre cortège formé par nos deux éclopées ne passe pas inaperçu, un silence semble s’installer à cause de la curiosité de chacun. Certains se font des commentaires entre eux, d’autres reprennent leur conversation. On verra même une personne appeler le maître d’hôtel et lui demander ce qui leur était arrivé. Nous arrivons tant bien que mal à notre table, les filles malgré leur douleur ont su rester très classe dans leur béquillage. Nous les installons au mieux. L’espace entre les tables étant minime, ma femme n’a pas de place pour poser sa jambe sur une chaise, elle est obligée de la poser à terre, sur la moquette épaisse du restaurant qu’elle ressent lorsque ses orteils l’effleurent. Quand à Aurélie, devant garder son pied à la verticale et ne devant absolument pas le poser au sol, elle est bien embêtée. Marc a une idée lumineuse en lui proposant son genou, sur lequel elle pourra poser le sien et ainsi laisser pendre sa jambe. La solution semble être la meilleure mais très douloureuse lorsqu’elle positionne son genou. La traction importante sur son mollet provoque une douleur jusqu’à la inconnue. Mais ça reste supportable, après un petit moment de souffrance elle s’ajuste au mieux sur sa chaise, bien qu’elle ne soit obligée de s’asseoir de travers. Marc prend soin de garder son autre jambe assez loin pour qu’il ne heurte par mégarde ses orteils bandés. Nous déposons les béquilles de ces dames adossées au mur derrière notre table.
Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Mardi 27 janvier 2 27 /01 /Jan 23:03
J'ai trouvé une photo illustrant le bandage particulier d'Aurélie, je vous propose de publier vos écrits, des infos sur le nombre de visiteurs.. Jetez un coup d'oeil, participez à ce blog ...C'est aussi votre coin pous vous faire plaisir !!!
Par castlover - Publié dans : informations,questions
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Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 23:01
 

Printemps 2003 à Lyon. Il y a quelques jours que j'y suis. Je suis en stage à Vaulx en Velin, mais j'ai préféré séjourner dans la capitale des Gaules. Toujours libéré très tôt dans l'après-midi, je me balade entre Terraux et Bellecour...C'est curieux comme dans ce triangle, les jolies béquilleuses fleurissent. Il y a à peine trois jours que je suis là que déjà je me suis rempli les yeux...A Vaulx, la formatrice est une jolie quadragénaire aux cheveux blonds et courts...les ploucs qui m'entourent la trouve trop sophistiquée...moi je la trouve charmante et réservée, tout ce que j'aime...Dans la salle elle est déjà là, assise devant son PC portable en train de régler le rétroprojecteur...les péquenots costard cravate qui m'entourent ne prêtent aucun intérêt à sa spécificité pourtant bien visible...Près d'elle, une paire de cannes anglaises... J'ai la chance d'être bien placé...Dans une stature distinguée, son corps mince se gaine dans un ensemble pantalon noir...d'adorables mains fines tapotent sur le clavier avec dextérité...je cherche l'origine des cannes sans pouvoir la découvrir...ses jambes sont croisées...j'observe qu'elle porte de jolies ballerines vernies et des collants si fins qu'ils ne peuvent sûrement pas provenir d'un hypermarché...la séance terminée, les cadres sup. formatés partent comme une nuée de moineaux, portables collés à l'oreille...maintenant elle est à moi tout seul pour quelques jours de développement personnel et de coaching...elle range quelques affaires dans son sac car la suite se tiendra dans des bureaux lyonnais du coeur de ville...je fais mine de ne rien voir, mais j'attends qu'elle se lève...elle fait glisser sa chaise, se saisit des béquilles, et dans un mouvement élégant, elle se lève sur sa seule jambe gauche qu'elle déplie tel un pantographe...dans un béquillage souple et silencieux, elle se dirige vers moi en prenant soin de ne pas poser le pied droit par terre...la pose est gracieuse avec cette jambe repliée d'un quart, le genou qui se rapproche de l'autre sans le toucher, le pied légèrement vers l'extérieur...sans lui poser la question de son état car j'attends qu'elle le dise elle même, je lui offre de partager mon repas et de la prendre en voiture jusqu'à Lyon...elle a l'air ravie, me demande quelques instants pour décommander son taxi, coince son genou sur la poignée de la canne, se saisit de son portable et décommande le taxi...je la soutiens pour descendre les trois marches et nous nous dirigeons vers ma voiture...son béquillage est si naturel et efficace que je devine en elle une certaine habitude...galant je l'aide à s'installer dans la voiture et j'observe l'instant où elle va poser son pied blessé sur la moquette...je me saisis des béquilles que je dépose à l'arrière...tandis que je me dirige vers Lyon, je la vois ôter sa chaussure et poser son pied gainé d'un fin collant noir sans la moindre couture sur le tableau de bord...elle me semble sereine et détendue presque heureuse...dans le parking de la place Bellecour, je l'aide à descendre...assise sur le bord du siège, elle se saisit de sa chaussure...j'ose lui dire que si elle le souhaite elle peut éviter de la mettre ajoutant que ce sera plus confortable..."celà ne vous gène pas" dit elle...non bien sûr...j'ai le temps de mieux voir le pied...je ne m'étais pas aperçu de sa beauté...un petit 37 au jolis doigts fins et harmonieusement disposés et sans la moindre déformation, un pied de jeune fille...le cou de pied est élégant, la voûte harmonieuse et qui plus est même le bord extérieur est légèrement arrondi ce qui ajoute à sa séduction...nous gravissons les marches...je la soutiens par la taille et elle ne dit rien...nous voilà sur la place...elle s'immobilise, fait joindre les deux poignées de ses cannes par leurs bouts, pose son pied au sol en y plaquant les doigts, tandis qu'elle le cambre...nous choisissons le petit restaurant en plein air de la place Bellecour...il fait beau, la chaleur est douce et tandis que nous sirotons notre apéritif dans le silence de midi, je sens qu'un éclair passe entre nos yeux...si pour l'heure, la question sur sa cheville n'a pas été abordée, un petit grimacement de douleur vient mettre le sujet au coeur de l'instant...sa main vient effleurer la malléole dont je découvre maintenant qu'elle est gonflée sans toutefois déformer exagérément une cheville splendide..."maudite cheville, elle ne veut vraiment pas me laisser en paix" dit elle...je sais désormais tout : une jeunesse sportive autour du tennis, une entorse à 10 ans à peine suivie de beaucoup d'autres, de quelques plâtres et autres bandages...et puis hier à l'hôtel...elle a trébuché et a retordu sa cheville fragilisée par une entorse sévère un an plus tôt...les béquilles aimablement prêtées par une réceptionniste, souvenir d'une cliente subitement guérie et qui les a abandonné là...je suis à cran et ne contrôle plus ma main qui vient délicatement enserrer le talon et ramène le joli pied sur mes genoux...elle qui ne dit rien et ferme les yeux avec un sourire de plénitude, se relâchant soudain et devenant lascive...pas un mot sur la cheville qui tout au long du repas demeure sur moi, pas un mot de ma main gauche qui ne cesse d'effleurer le joli pied blessé, ma main qui frémit au toucher doux de ce collant soyeux, ma main qui parfois se repose sur le joli bout de son pied dont je sens les petits doigts frissonner...ce climat qui s'installe tout en complicité, ses yeux verts et pailletés d'or qui me scrutent tendrement...le temps s'est arrêté...

Par Ami anonyme - Publié dans : récits_amis
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Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 07:30
« Je pense vu comment tu la maintiens et que tu absorbes tous les mouvements et les secousses, je ne ressens pratiquement rien. J’ai quand même très peur à chaque mouvement, les douleurs sont très importantes, j’ai l’impression comme dit le médecin que ce fichu tendon s’est détaché ou rompu, on aurait pas du faire les fous la nuit dernière, je crois que j’ai trop pris à la légère ma blessure » me répond elle. Marc acquiesce de la tête et intérieurement revoit un peu le moment où il pense qu’elle s’est blessée. Il la revoit comme une tigresse toute nue, sa préférence pour le bondage accentué, elle lui a demandé de l’attacher aux quatre coins du lit. Il avait trouvé des petits rubans qu’on leur avait distribués au mariage. Il n’y avait pas de problème pour ses poignets, elle était maintenant les bras écartés, elle demandait qu’il lui attache aussi ses chevilles. La cheville non plâtrée ne lui posait pas non plus problème. Mais quand il essaya d’attacher le plâtre, le petit ruban n’était pas assez long. Il lui dit que ce n’était pas possible. « C’est pas grave, attache moi par les orteils, j’ai trop envie de le faire.. » lui avait elle dit, sans mesurer les conséquences, tellement son excitation avait été grande. Marc après avoir essayé à plusieurs reprises de l’en dissuader sans succès, avait pensé qu’en attachant uniquement ses petits orteils, il ne risquait pas de la blesser d’avantage. Il n’a jamais pensé qu’elle allait se débattre autant et tirer autant au point de se déchirer un tendon. Il se rappelait d’un petit moment où elle avait poussé un cri, mais ça n’avait pas été plus loin. Cette nuit fût des plus mouvementée et des plus mémorable, il ne l’avait  jamais connu dans un tel état depuis sa dernière période plâtrée, il se rappelait mes propos sur son attrait pour la dépendance que lui procurait le plâtre…mais il ne pensait pas qu’elle irait aussi loin.
Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
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