Mardi 21 juillet 2 21 /07 /Juil 08:21
 

C’est à ce moment là de mes réflexions qu’apparût au bout de l’allée, mon meilleur ami, Max. j’étais folle amoureuse de lui depuis plus de 5 ans et on formait un couple d’amis des plus unis qui soient. Je remerciais Amélie de son aide précieuse qui allait sûrement me conduire à notre agresseur, je lui laissais mes coordonnées au cas où elle se rappellerait de quoi que ce soit. Je ne réalisais pas qu’elle ne pouvait pas parler et qu’il lui serait impossible de m’appeler. Max avançait vers moi en courant, alors qu’Amélie s’éloignait de moi.

« J’ai appris ce qui t’était arrivé, c’est affreux !!! Tu dois souffrir, ma pauvre. Tu aurais dû m’appeler, même si je suis à l’autre bout du monde. Quel horrible plâtre ils t’ont mis là ?? »

Je le rassurais en disant que je ne voulais pas l’inquiéter et que les douleurs étaient supportables et que je venais d’avoir des sérieuses pistes pour coincer notre briseur de jambes. Il m’aida à me mettre debout sur mes béquilles. J’adorais qu’on prenne soin de moi et lui adorais me chouchouter. Il souleva délicatement mon lourd plâtre et m’aida à le poser à la verticale. Il s’aperçut que je grimaçais de douleurs à plusieurs reprises. Il me prît dans ses bras et là toute la tension de ces derniers jours sortit. Je fondais en larmes sans pouvoir me contrôler. « Je suis là maintenant, je vais prendre soin de toi tu vas voir ! » me rassura t-il.

Il me raccompagna à ma chambre, je béquillais à ses cotés doucement, il ralentissait son allure quand il voyait que j’avais du mal à tenir le rythme de sa marche énergique. Il me prévenait aussi des petits obstacles pour que mes doigts de pieds ne se blessent. Quand je faisais une pause, il m’incita à poser ma jambe plâtrée sur ses chaussures. Je sentais la douceur du cuir sous mes orteils, je ne résistais pas à le caresser par le peu de mouvements que m’autorisaient mon plâtre et les douleurs encore présentes. Il m’aida aussi à remettre ma jambe dans la gouttière et s’assit auprès de moi, le temps que je reprenne mon souffle. Béquiller m’essoufflait complètement, je pensais que je ne m’y ferais jamais. Il me quitta bien après la fin des heures de visite. Quand il partit je me sentais plus sereine et plus confiante. Je savais que je n’étais pas loin de coincer le salaud qui m’avait cassé la jambe.

Le jour de ma sortie, Max avait bouclé mon sac et m’aidait à sortir de l’hôpital. Entre temps j’avais eu confirmation de toutes les victimes que leur chausseur était le même. Je demandais donc à Max de faire un petit détour par « tout chauss’ ». Vu les contraintes de mon plâtre tendu, Max eut la bonne idée de m’installer sur le siège arrière et en rabaissant le siège passager complètement, je pouvais poser la jambe confortablement. Quand il conduisait, il posait sa main sur mes doigts de pied et les massait doucement. Qu’est ce que j’adorais ces moments sensuels. Je m’aperçus très vite que ça m’excitait grandement, j’avais mon entre jambe en feu. Et plus je me sentais dépendante de Max, plus je ressentais une nouvelle excitation complètement inédite. C’est ainsi que quand Max m’aida a descendre de la voiture, je m’accrochais à lui et l’embrassais d’un long baiser. « Humm, je vais finir par aimer que tu portes un plâtre, finalement. Tu n’as jamais été aussi entreprenante, je pense…Tu m’expliqueras un peu tout à l’heure en rentrant. » me dit il.

Ce jour là je ressentis pour la première fois cette sensation bizarre et réellement excitante de porter un plâtre. A chacun de mes pas sur mes béquilles l’intensité montait je sentais une chaleur monter en moi petit à petit ! Je n’avais jamais ressenti une telle chose, au bord de l’explosion. Je serrais mes jambes pour atténuer cette sensation. Je remarquais qu’à chaque fois qu’une personne fixait des yeux mon plâtre ou mes doigts de pied, ça m’excitait d’avantage. Quand je franchis l’entrée du magasin de Noyaon, ce dernier fut presque au bord des larmes en me voyant. « Mais inspecteur Ditomazzo que vous est il arrivé, à vous aussi ? ».

Certes je ne le connaissais pas particulièrement, je pense être venue une ou deux fois cette année, pour preuve je ne connaissais même pas son nom, si ce n’est que celui de son magasin. Il m’aida à m’installer sur un des fauteuils réservés à ses clients. Je lui expliquais un peu la situation et ce qui m’était arrivé à moi et à plusieurs de ses clientes. D’où ma question, qui d’autres que lui avait accès à son fichier client ? Il nous confirma qu’à part lui et sa femme, personne d’autre ne se servait de son ordinateur. Ils vivaient seuls, juste au dessus de leur magasin. Ils avaient eu un fils, mais ce bon à rien avait quitté la maison vers l’âge de 15 ans et n’avait plus jamais donné signe de vie. Je ne négligeais pas cette piste, histoire de ne pas passer à coté. Je pris son signalement, même si il datait de presque 15 ans. Je demandais à avoir une copie de son fichier client, comme les victimes étaient choisies dans cette liste. Je lui demandais de ne pas sortir de la ville sans mon accord, étant donné qu’il devenait malgré tout notre suspect le mieux placé. La dessus, il me répondit qu’il n’y avait aucun risque, ça faisait bien plus de 20 ans qu’il n’avait pris de vacances, sa boutique c’était sa vie. Sa femme était une ancienne comédienne et semblait être très sympathique. Un beau couple de vieux, ces deux là. Au moment où nous prîmes congés, M Noyaon m’arrêta en me voyant en difficulté pour avancer avec mes béquilles et cet horrible plâtre. Il me proposa une paire de chaussure à talons hauts très confortable. Au premier essai, je réalisais que ça me permettait de laisser pendre ma jambe plâtrée à la verticale et en ajustant la hauteur de mes cannes ça me facilitait drôlement la marche. Je décidais donc de les acheter et lui demandais de partir avec tout de suite. Max m’aidait à gravir les deux marches qui nous permettaient de sortir de la boutique. Et après ce fût un réel plaisir de marcher à ses cotés, j’étais moins essoufflée, moins de douleurs, un petit peu plus rapide. Mais encore à nouveau je ressentis cette excitation nouvelle, je n’avais qu’une envie c’était d’exploser. A une des pauses où Max me laissa poser ma cheville plâtrée sur ses chaussures, j’approchais ma tête prés de la sienne pour essayer de l’embrasser, n’ayant pas l’usage de mes mains, à cause de ces maudites cannes, je tentais d’approcher mes lèvres des siennes. Il prît un malin plaisir à les éviter et se rendit compte que ça m’excitait encore plus d’être dépendante même pour embrasser. Il préféra me donner satisfaction, de peur que je lui saute dessus. Je ne me rendis pas compte de suite que des yeux verts nous observaient de loin, mon intuition de femme flic s’était quelque peu évaporée devant cette toute nouvelle excitation que j’avais découvert.

Arrivé à notre appartement, j’étais totalement essoufflée, il faut dire que monter les 3 étages m’avaient tué. Je m’étalais donc sur mon lit pour m’en remettre et invitais Max à me rejoindre. J’avais une urgence à satisfaire. Mais Max me rappela à l’ordre. Il installa la gouttière fournie par l’hôpital sur notre lit et me rappela que les ordres du médecin avaient été clairs. Si j’étais sortie c’était uniquement parque j’avais promis de rester allongée avec ma jambe cassée suspendue. Max me fit comprendre qu’il entendait bien appliquer à la lettre les consignes, j’étais trop précieuse à ses yeux pour qu’il prenne des risques de complications. Il m’aida donc à positionner ma jambe délicatement et inclina la gouttière à plus de soixante degrés, il pris soin aussi de positionner les lanières pour que mon plâtre ne puisse pas bouger. Je me sentais à nouveau dépendante et ressentit encore cette excitation inédite. Là j’étais à sa merci, incapable de bouger de mon lit. Il s’assit prés de moi en apportant une petite bassine d’eau et une éponge de bain. Il m’enleva mon haut délicatement, tout en douceur. Je me retrouvais les seins nus. Mon excitation grandissait à grande allure au fur et à mesure où il passait délicatement l’éponge. Je voyais mes tétons réagir au fur et à mesure des passages de l’éponge. Il sembla prendre un malin plaisir à me caresser petit à petit, jusqu’à ce que je lui demande d’arrêter, j’étais en feu. Il me sécha avec une serviette et passa à mon dos. J’étais tellement en douleur à cause de mes déplacements avec mes béquilles que j’avais un mal de dos qui ne demandait qu’a être massée de la sorte. Quel plaisir de sentir mes muscles dorsaux se relâcher petit à petit. Je me sentais détendue à un point… Il passa à la partie inférieure en m’enlevant ma jupe en passant par la tête et il se débrouilla comme si de rien n’était pour mes sous vêtements. Je me retrouvais complètement nue sur mon lit. Il commença par mon bassin et mes parties intimes, l’excitation doubla encore, je ne tenais plus en place, il s’éloigna un peu des parties sensibles et longea ma jambe, mon genou, ma cheville. Il me caressa la plante de mon pied valide et mis en pratique à nouveau ses talents de masseur. Quel plaisir de voir mon pied qui supportait tout mon poids depuis ces derniers jours, se soulager avec délectation. Devant tant de services rendus je me devais de le récompenser. Je lui donnais l’un des plus beaux baisers que je pouvais. Il apprécia à son tour le plaisir que je lui donnais, je sentis son pantalon se gonfler sous mes mains baladeuses. Nous avions tellement envie l’un et l’autre de faire l’amour à ce moment que nous essayâmes de trouver une solution. Mais ma jambe plâtrée et la gouttière en avaient décidés autrement. Impossible de trouver une position qui pouvait lui permettre de me pénétrer. Je décidais de prendre un risque, tant pis, l’envie était trop importante pour nous deux. Il mît de côté ses résolutions d’appliquer au mot les consignes du médecin. Il me détacha mes sangles qui retenaient mon plâtre à la gouttière. Mais me demanda de promettre de ne pas la quitter sous aucun prétexte. Il m’aida à me mettre debout sur ma jambe valide, tout en mettant la gouttière transversalement au lit. Il s’assît sur le bord du lit après s’être lui aussi débarrassé de ses vêtements. Il me souleva délicatement et m’aida à passer ma jambe valide sur le lit et à m’asseoir à califourchon sur lui. La pénétration fût douce et des plus longue, du fait que Max ne voulait pas me faire mal et prit son temps pour me laisser descendre le long de son sexe. J’enroulais ma jambe valide sur ses fesses et mes bras à son cou. Commença alors une initiation toute nouvelle à un plaisir intense auquel se mêla petit à petit des douleurs remontant des mes fractures. Bien que les mouvements furent très lents, le plaisir était là gagnant du terrain petit à petit. Nous étions en quelque sorte limités en vitesse. J’éprouvais une telle diffusion de plaisirs que les douleurs de plus en plus importantes ne passaient qu’au deuxième plan. Je pleurais de douleurs alors que mon corps s’agitait de plaisirs dont il ne soupçonnait pas l’existence. Je voulais que ça s’arrête pour que mes douleurs me lâchent mais je sentais une explosion imminente secouer petit à petit mon corps. Les spasmes qui secouèrent mon corps furent d’une intensité méconnue, j’en perdais le contrôle, à la limite de l’extase, aux portes de l’évanouissement. Max devait aussi ressentir ce même plaisir inédit, il avait explosé quelques minutes après moi, créant en moi une nouvelle vague intense. Ce ne fut qu’un instant qui me parut une éternité que mon corps se calma. Max m’avait repositionné sur le lit en prenant mille précautions pour que je ne souffre pas d’avantage. Je me retrouvais ma jambe plâtrée à nouveau emprisonnée dans la gouttière. Je pris un cachet anti-douleurs pour atténuer cette intensité qui n’avait pas l’air de vouloir me quitter. Je pense que je me suis endormie pendant un bon moment. A mon réveil, j’entendais Max s’occuper du dîner dans la cuisine. Je m’aperçus très vite quand j’essayais de me relever dans mon lit que les douleurs étaient toujours là, plus fortes que jamais. Je mis une bonne dizaine de minutes pour m’adosser à la tête du lit. Le moindre mouvement m’était impossible. Au fur et à mesure je ressentais cette envie d’aller au petit coin. J’étais paniquée à l’idée de devoir me déplacer dans l’état où je me trouvais, pourtant il allait falloir le faire. J’appelais Max pour qu’il me libère et m’aide à me déplacer. Il me détacha de la gouttière et m’aida à me remettre sur mes cannes. Le passage à la position verticale déclencha des douleurs supplémentaires, que je mis une dizaine de minutes à absorber. Le carrelage froid pénétrait mon pied nu valide. Max me tenait un bras et m’encourageait en disant que ça allait passer. Je me déplaçais comme une personne âgée, tout doucement en essayant de glisser sur le sol plutôt que de sautiller. Le réglage des cannes prévu pour le talon haut n’était pas prévu pour ce type de déplacement. Ce n’est qu’au bout d’une bonne demie heure que j’atteignis les toilettes. Le retour fût plus rapide mais toujours aussi douloureux. Max me repositionna à nouveau sur le lit pour la nuit. Il m’apporta le dîner au lit et m’aida à m’endormir en me prenant dans ses bras.

Par castlover - Communauté : Fantasme plâtre
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