récits_amis

Dimanche 8 février 7 08 /02 /Fév 06:57

La belle Julie

 

Mathieu se demandait ce qu'il cherchait précisément, ici. Ou plutôt

Pourquoi il était venu dans cet endroit. Depuis deux semaines, son visage se répétait en boucle dans son esprit.

Il était depuis quelques temps, complètement obsédé par elle ... Et il se maudissait pour cela. Elle avait 25 ans et lui 40 ans. Était-il obsédé par elle ou le plâtre quelle avait a la jambe gauche?

C'était peut-être pour cela qu'elle l'attirait autant cette jeune femme intelligente.

Il adorait la manière qu’elle se déplaçait sur béquilles. Sa jambe plâtrée était pratiquement droite et lorsqu'elle s’arrêtait elle posait le plâtre sur sa chaussure droite. Lui donnant une vue parfaite de cette belle femme blessée.

Mais ce que Mathieu trouvait le plus joli, c'était son plâtre. Mathieu avait vu au fil des années plusieurs filles et femmes avec une jambe dans le plâtre mais celui-ci était parfait. Le plâtre accentuait sa belle longue jambe sportive en suivant tous les contours parfaitement.

Aujourd’hui elle portait une jupe qui laissait apercevoir presque totalement le plâtre mauve qui couvrait sa jambe gauche au complet.

Il découvrit que Julie était seule à sa table. Elle avait une jolie teinte rouge sur ses joues. Ses béquilles étaient à coté d’elle et sa jambe brisée sur une chaise.

Mathieu lança un regard suspect aux nombreux bouquins poussiéreux qui jonchaient la table, tout autour d'elle. Avocate de formation elle passait beaucoup de temps à étudier de vieux documents de droit.

Contre toute attente, il se dirigea avec nonchalance vers le bureau

de Julie, réprimant sa gène. Affichant un sourire, il regarda avec

grand intérêt les livres qu'elle avait pris.

«Bonjour Julie»

Julie sursauta brusquement et le regarda, en rougissant.

«Comment vas ta jambe?»

Julie hocha docilement la tête et fit un sourire timide à Mathieu qui était après tout son patron.

Mathieu lança un regard rapide à ce plâtre qui le rendait fous.

«Ca va mieux merci Yves. Je suis presque une pro sur béquilles. Je travaille sur la sommation de vendredi»

« Est-ce que tu as besoin d’aide? »

« En fais oui je cherche le livre de Mr. Lessard tu saurais ou il se trouve?»

« Oui viens je te montre où se trouve la collection »

Il prit la main de Julie et l’aida à se lever sur sa jambe droite. Elle prit les béquilles qu’elle positionna sous ces bras.

Il regarda avec intérêt Julie se déplacer rapidement sur ses béquilles, entre les allées encombrées de bouquins. Mathieu lança un rapide coup d'œil à ce beau plâtre par derrière en la suivant.

Il trouvait un plâtre sur une jambe féminine tellement sensuelle.

« Julie tourne à gauche stp » Souffla-t-il d'une voix suave en s'approchant d'elle.

Julie ne dit rien, elle se tenait du haut de ces 5 pieds 10 soutenue par les béquilles

«Je veux te dire comment je te trouve attirante avec ce plâtre et tes béquilles Julie » Mathieu lui avoua

Elle se retourna, faisant faire à sa jupe un mouvement, qui

fit voir la totalité du plâtre mauve. Mathieu allait devenir fou.

Julie était certes jolie, et pour lui, elle était belle à sa manière.

Peut-être était-ce son caractère qui faisait tout son charme. Ou peut-être était-ce qu'elle n'était pas comme les autres femmes. Pour sûr sa fracture de la jambe n’avait qu’amplifié son charme.

Mathieu s’approchait de plus en plus d'elle, jusqu'à sentir l'odeur fruitée qui se dégageait de sa chevelure indomptable.

Elle le rendait fou.

« Je suis désolé de te dire cela maintenant et ici » En écartant ses cheveux frisés de son cou. Il la sentit se tendre et devina qu'elle avait violemment rougi. Il adorait savoir qu’il pouvait lui faire tant d'effet.

Elle rougit encore plus instantanément lorsqu'elle se retrouva collé à son torse, surprise de tant de proximité. Sa jambe rencontra le plâtre de Julie et Mathieu eut l'envie irrésistible de la prendre dans ses bras pour pouvoir toucher sa jambe plâtrée.

Bien sûr, il ne voulait pas lui faire peur, mais pour lui, Julie était comme intouchable, irrésistible.

« Je ne sais pas quoi dire Mathieu, tu es mon patron et tu es marié »

« Je comprends mais est ce que tu ressens quelque chose pour moi? »

Sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit, il lui prit

fermement la taille et effleura ses lèvres. Mathieu sourit lorsqu'elle laissa tomber ses béquilles et émit un petit gémissement d’approbation tout en l’utilisant comme support.

Sans plus attendre, il scella ses lèvres aux siennes. Il mordilla sa lèvre supérieure, demandant une chose qu'elle lui donna sans protester.

Elle entrouvrit la bouche et passa une main dans sa chevelure, le faisant grogner de satisfaction. Le baiser s'intensifia et bientôt, Mathieu voulut plus.

Il passa une main courageuse sous sa jupe, mais une main poussa la main vers son plâtre. Rassuré, il lui donna un autre baiser, cette fois-ci plus doux et chaste, remplit de tendresse, la prenant dans ses bras et la faisant s'asseoir sur la table, alors qu'il prenait sa pauvre jambe plâtrée et la déposa sur une chaise.

Mais contre toute attente, il fut surpris de sentir qu'une petite main chaude se scellait à la sienne pour l'amener à sa cuisse plâtrée.

Surpris, il se recula doucement et regarda Julie, qui lui souriait timidement, les joues rouges. Il l'embrassa de nouveau du mieux qu'il put, d'un baiser doux.

Pendant un moment il regarda cette belle jeune femme si désireuse avec ce long plâtre couvrant sa jambe gauche. A vous de déduire si Mathieu allait débuter une relation avec cette ange blessé…

Par Stephi from Canada - Publié dans : récits_amis - Communauté : Fantasme plâtre
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Samedi 7 février 6 07 /02 /Fév 00:00
 

Pour l'heure, Elodie boitait du pied droit néanmoins chaussé d'un escarpin noir et pointu...elle boitait de cet air satisfait des filles qui font semblant de ne voir personne, l'air altier, les yeux portant au loin...elle boitait avec l'air du déni d'entorse dont certaines filles se parent quand elles refusent la moindre misère de leur corps, pour elles insulte à la beauté...faussement , elle me dit qu'elle avait une contracture...faussement car en fait il n'y avait pas le moindre déni, mais plutôt le désir violent que je m'intéresse à cette boiterie, comme d'ailleurs une majorité de filles qui n'attendent que d'éveiller au travers d'un bobo, ce qu'éventuellement nous n'aurions jusque là, osé montrer...

Dans ce jeu amoureux, je tins mon rôle...me contentant de montrer que j'avais vu pour l'inciter à dire plus, ce qui vint assez vite quand elle évoqua sa glissade  matinale dans la salle de bain et la violente et douloureuse contracture au cou de pied, tout cela dit en s'appuyant sur mon épaule pour soulager un appui manifestement douloureux...

Ce matin là, nous n'avions que deux heures d'amphi et notre week-end commencerait...Comme à l'accoutumée, nous nous sommes installés dans un coin discret, comme à chaque fois elle a croisé ses jambes, mais sans ce mouvement sensuel et excitant que j'ai déjà évoqué...il y eut par contre un geste inhabituel et tout aussi charmant, quand elle défit la bride qui maintenait la chaussure, et que je poursuivis de ma main en la lui ôtant...

A la fin du cours, dans la fièvre des départs du week-end, nous nous retrouvâmes seuls au monde...Elodie se leva, prenant bien garde de ne pas poser son pied adorable, passa son bras autour de mon cou, tandis que sa chaussure pendait au bout de ses doigts. Quiconque n'a pas vu une jolie jeune femme au pied blessé dans un collant soyeux, sautiller de cette manière, n'a pas vu la moindre chose de la délicieuse fragilité qui peut en émaner...Un merveilleux week-end en perspective...

Vous décrire l'excitation qui m'habitait à cet instant est quasiment impossible...pendue à mon cou, Elodie sautillait sur sa chaussure à talon avec une incroyable énergie, au point que je craignais qu'elle se casse la cheville valide...tandis que je la soutenais, mes yeux étaient rivés sur son pied déchaussé...son joli pied fin se gainait dans le collant transparent, montrant à l'envie ses jolis doigts harmonieusement disposés...son bout de pied partait telle une flèche asymétrique se rétrécissant progressivement...j'avais prévu d'aller chercher le fauteuil roulant que j'avais pris soin de retenir auprès du concierge...mais avant, je voulais accomplir un geste de plus, un geste qui toucherait ma belle, un geste tendre et romantique...et c'est ainsi qu'Elodie se sentit soudain s'envoler quand je la soulevais dans mes bras...elle se fit lascive, serra très fort mon cou, me laissant humer la bonne odeur de cuir neuf de la chaussure enlevée et qu'elle tenait au bout de ses doigts gracieux...sa tête s'inclina et elle se blottit contre moi...c'est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans la rue devant des passants éberlués...j'aurais pu très bien passer par l'intérieur, mais je voulais qu'on nous voie dans cette posture exceptionnelle, pareille à celle d'un conte de fée...le concierge avait laissé le fauteuil dans un couloir et c'est avec précaution que j'y déposais ma belle, m'agenouillant devant elle pour me saisir de son pied foulé et le poser délicatement sur le repose pied...il gisait maintenant là, arrimé sur le talon, le bout dans le vide et pointant vers le sol dans la position si émouvante de la flexion plantaire...seize étages plus tard nous sortîmes de l'ascenseur et j'aidais Elodie à s'extirper du fauteuil...elle s'appuya à la cloison avec son épaule tandis que j'ouvrais la porte...une autre émotion me saisit en voyant Elodie debout, son pied déchaussé posé sur l'autre, dans la plus charmante des positions, l'air fébrile et les yeux brillants...Elodie claqua la porte derrière elle, laissa tomber son sac, s'appuya le dos tourné au mur...nos lèvres s'étaient rapprochées et une passion intense commençait à nous envahir...ma beauté blessée ouvrit le feu...elle fit glisser ma veste qui tomba sur le sol...puis les boutons de mon polo sautèrent l'un après l'autre...ma ceinture suivit le même sort et dans un geste sec elle dégrafa mon pantalon avant que de plonger sa main dans mon slip descendant jusqu'à mon être qu'elle extirpa, s'interrompant un instant pour le voir adopter une forme allongée et rebondie...je sentis la paume soyeuse de sa main fine enrober mon gland rosé et légèrement suintant...l'appel était net...la veste d'élodie rejoint la mienne tout comme son chemisier...puis je défis le soutien gorge...il me livra de jolis seins fermes et ronds aux mamelons dressés que je ne pus me retenir de sucer...Elodie gémissait d'aise, ses yeux se révulsait, son corps était en feu tandis que j'achevais l'effeuillage...j'ai déposé Elodie sur le lit défait par mes soins, tirés les voilages que pour ne laisser passer qu'une douce lumière tamisée..."prends moi, je ne peux pas attendre me dit elle; depuis ce matin je suis au bord de l'explosion, baises moi… baises moi fort, ajouta t'elle dans une sorte de transe...elle essaya d'ajouter à mon excitation en tentant de glisser son pied blessé entre mes cuisses et s'interrompant par la douleur...je pris alors le pied et le couvrit de baiser avant d'être attirée par ma belle...la fusion fût immédiate et nos corps partirent dans un rythme souple pendant de longues minutes...si le corps d'Elodie suffisait à m'amener au nirvana, je ressentis le besoin de me saisir de son pied foulé au moment de lui délivrer toute ma force...je le fis avec précaution tandis que l'autre partie de moi lançait son torrent de plaisir dans l'antre chaleureuse d'Elodie...comme tout le monde nous avons dormi après...le passage dans la salle de bains fût tendre et romantique...il était près de 16h et nous avons voulu profiter de la ville...Elodie avait adopté une tenue plus décontractée...un tee-shirt qu'elle enfila sur un tout petit soutien gorge et laissant deviner sa gorge...un short blanc qui tranchait avec ses magnifiques jambe longues et bronzées, une sandale blanche à talon et fines brides pour le bon pied...mais avant il fallait immobiliser le pied trop sensible aux mouvements car² l'entorse du pied , si elle n'est pas grave, est extrêmement douloureuse...je courus à la pharmacie...Mr Teng, le pharmacien, me trouva une adorable gouttière thermo formable et de jolies béquilles aux tubes roses et aux poignées beige très seyantes...Elodie m'observa médusée quand j'entrepris d'adapter la fine gouttière...je l'avais assouplie dans l'eau tiède, puis je l'avais appliqué en commençant sous le mollet puis en allant jusqu'aux ras des coussinets de la plante du pied...puis avec deux bandes d'elastoplaste je l'avais fixée solidement...il s'ensuivit un appareillage très discret qui maintenait le pied à angle droit tout en laissant le reste libre de tous liens...

Par Ami anonyme - Publié dans : récits_amis - Communauté : Fantasme plâtre
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Jeudi 5 février 4 05 /02 /Fév 00:00
 

Elodie n'était pas exactement belle...elle était plutôt bourrée de charme et surtout d'une espèce de grâce romantique...ses extrémités étaient à l'unisson et leur grande finesse contrastait avec sa haute taille qu'elle assumait jusqu'à porter en permanence des talons quelle que soit sa tenue.

J'ai toujours été attentif à découvrir chez les femmes, ces détails parfois imperceptibles qui font le charme d'une personne et réveillent le désir. Pour Elodie, trois d'entre eux m'émouvait tout particulièrement...

Fût elle presque aussi grande que moi, la jeune femme avait de tout petits pieds d'une finesse extrême que je crois n'avoir jamais vu chez une autre...des petits pieds délicats et fragiles aux courbes discrètes mais néanmoins émouvantes et aux chevilles gracieuses...

L'autre détail était ce geste furtif qu'Elodie faisait en croisant ses longues jambes dans l'amphi, lorsque pour glisser l'extrémité de son pied sous l'assise, elle cambrait furtivement son pied dans un geste bref.

Enfin, il y avait ses merveilleuses chaussures à talons, de toutes les couleurs et de toutes les formes et qui outre l'exacerbation de la cambrure, laissait toujours deviner la naissance de ses ravissants orteils fins et aux ongles soignés sans ostentation, quand ils ne laissaient pas voir totalement le pied dans toute sa splendeur érotique...

Mais ce matin là, alors que j'attendais Elodie au bas de l'immeuble, je la vis soudain se diriger vers moi en boitillant...de la plus charmante des façons...je reconnus une bien perceptible boiterie du pied et non de la cheville...le talon de la chaussure commençait à se planter dans le bitume puis le pied s'abattait progressivement sur le sol dans un mouvement amorti...formant un angle parfait avec la jambe, le pied restait rigide...Elodie avançait en un rythme lent est saccadé pareil à celui d'un soldat allant prendre sa garde...sa longue silhouette gainée dans son tailleur si près du corps, que rien ne m'échappait des formes discrètement voluptueuse  dont je connaissais si bien les secrets...

Car, il faut que je l'avoue, Elodie et moi vivions une amitié aussi sincère qu'elle était amoureuse...Nous étions là pour une année complète, loin des nôtres que nous retrouvions qu'un week-end sur deux...quelques semaines plus tôt, au coeur de l'hiver,  la formation qui nous avait amené là, nous avait aussi conduit vers des stages lointains...à l'hôtel, le soir, nous avions fait plus ample connaissance et comme nous vivions chacun nos fardeaux, une amitié était née...Bien plus jeune que moi, Elodie m'amenait une sympathique effervescence que je lui rendais par la solidité de mon vécu...elle se trouvait pourtant moche et inintéressante...je pensais exactement le contraire et je le lui avais dit..., je l'avais faite complètement fondre, quand, en toute sincérité j'avais évoqué sa personnalité attachante et, c'était mes mots, "sa grâce romantique"...

Il y eut alors ce moment, alors que nous buvions une tisane sur les canapés Chesterfield au bar, où j'ai senti son corps se faire lourd sur mon épaule, où sa tête a basculé et où j'ai senti l'odeur délicieuse de ses longs cheveux châtains...sans mot dire, nous étions remontés, elle m'avait attiré vers sa chambre, et nous avions fait l'Amour...nous avions alors conclu un pacte... celui de nous rapprocher chaque fois que nos corps crieraient leur solitude, sans toutefois nous attacher l'un à l'autre...

J'avais été ému par son joli corps long et mince, presque parfait, par sa poitrine aux mamelons tendus, par ses jambes immenses et par ses merveilleux petits pieds... des petits pieds aux courbes peu appuyées mais délicates et aux longs doigts fins que terminaient des ongles nets et soignés...

Par Ami anonyme - Publié dans : récits_amis - Communauté : Fantasme plâtre
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Mardi 3 février 2 03 /02 /Fév 07:30
elle était maintenant rassasiée et fermait les yeux comme pour savourer les dernières sensations de plaisir qui< demeuraient en elle au fur et à mesure que je me retirais...moi-même prolongeait les délices de ces instants, particulièrement l'instant où elle avait resseré son antre...tandis qu'elle reposait encore gémissante, je mesurais ma chance de me voir offrir un corps aussi somptueux...et puis il y avait son pied, son joli pied blessé, gisant au fond du lit sur les draps repliés...plnaté sur le talon j'observais sa superbe plastique et tout particulièrement sa cambrure et la force de son cou de pied puissant et bombé,..un chef d'oeuvre! L'entorse était pourtant là, mais elle était parvenue à se fondre dans le flot de courbes sensuelles qui composait l'objet de mon désir...j'ai passé avec douceur la paume de ma main autour de la malléole gonflée et le sentiment de délectation que je ressentis à cet instant était aussi émouvant que si j'avais fait la même chose avec l'un de ses seins ronds et fermes...tendrement, j'ai soulevé mon amante dans mes bras et l'ai porté jusqu'à la salle d'eau où coulait un bon bain tiède dans lequel je l'ai déposée...Le moment le plus agréable fût certainement celui oùelle me demanda de laver son pied blessé...je le fis avec tendresse, massant doucement avec le gel douche ce petit pied fragile...tandis que je faisais durer les choses, je vis le regard de ma belle blessée se poser sur mon corps avec des yeux gourmands...de ses longs doigts fins,elle avait saisi ma verge, la massant à son tour avec le même gel et m'amenant dans les limbes au fur et à mesure des mouvements de va et vient qu'elle exécutait doucement...j'étais au bord de l'extase, me retenant avec efforts tant je sentais à nouveau monter mon huile en moi..."tu vois, ce que tu me fais au pied actuellement me procure la même chose que toi à cet instant...repus de plaisir, nous nous sommes endormis...elle s'était blottie contre moi, sa jambe très haut sur moi, et son pied foulé dans ma main...

Le lendamain, une douce lumière me réveilla...je fis un bond...elle n'était plus là...avais-je rêvé? La vue des béquilles sagement posées au pied du lit me rassura...je me levais et contournait la cloison pour trouver ma beauté assise sur le bord de la petite table du coin-déjeuner...on avait déjç livré le plateau car elle s'en était chargée... les yeux encore embués de sommeil, elle sirotait son café, magnifqiue dans sa courte nuisette transparente...nous échangeames un long baiser tandis que ses petits orteils se logeaiant entre mes jambes en les caressant...et lui, tu ne lui dit rien dit elle en désignant son pied blessé qu'elle me tendit en le cambrant...à la fin de notre petit déjeuner qu'elle avait dévoré avec voracité, elle s'était levé en sautillant...elle se posta contre la baie vitré et prenant une pose à la Marylin Monroe, elle laissa glisser sa nuisette jusqu'à terre...s'ensuivit un petit jeu amoureux ponctué de sautillements et de baisers furtifs, m'amenant au nirvana doucement jusqu'à ce qu'à nouveau nos corps se rejoignent dans une longue étreinte...

Raconter les trois jours suivants serait me répéter. Nous dormions, nous faisions l'Amour, nous sortions...Elle portait les tenues les plus ravissantes, béquillait avec un charme fou et exhibait sa cheville foulée tantôt en attelle, tantôt dénudée ou lovée dans une ravissante petite chaussette fine en coton blanc...La cheville guérissait vite. L'enflure s'était évanouie; L'appui était proche. 

Vint le dernier jour. Nous n'avons pas été triste. Nous venions de vivre des moments intenses que beaucoup ne connaissent pas. Nous avions chacun nos vies et nous devions y retourner. Il y eut un dernier moment où elle ajouta un zeste de plus à cet indicible charme qui émane d'une femme à la cheville foulée. Avant de l'amener à son train, nous sommes allés au restaurant. Elle vait revêtu un tailleur noir et portait un escarpin assorti sur lequel elle béquillait avec aisance, son autre pied nu sous le collant noir et moulant. Le charme à l'état pûr...

Dans un coin retiré de la gare de la Part Dieu, elle a rechaussé son pied désormais guéri. Puis après un long baiser, elle s'est éloignée en claudiquant en peine, me laissant ses cannes dont les poignées encore, portait l'odeur délicate de ses mains parfumées...

FIN

Par Ami anonyme - Publié dans : récits_amis
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Samedi 31 janvier 6 31 /01 /Jan 10:00
 

je vis passer dans les yeux de ma compagne une intense émotion et je vis une larme perler sur sa joue...je me suis tourné vers elle et je l'ai essuyé dans un geste tendre...au beau milieu du coeur lyonnais, nous étions seuls au monde et quand je repris mes esprits, je vis le regard affectueusement complice d'une vieille dame...nous sommes revenus à l'hôtel et prîmes du repos jusque vers les sept heures, tendrement enlacés sans mot dire...c'est fou tout ce que l'on peut se dire sans dire un mot! Ma compagne ne disait rien... après le repas, elle souhaita à nouveau sortir et profiter du Lyon animé du soir...Quelle ne fût pas ma surprise lorsqu 'après être remontée à sa chambre pour se changer, et m'ayant prié de l'attendre en bas, je la vis revenir dans une magnifique minirobe noire, les deux pieds chaussés dans des escarpins noirs de taille raisonnable mais qui exacerbait la ligne somptueuse de ses arches qui telles celles d'un pont jetés entre deux rives se jetait vers ses extrémités avec une grâce aérienne. La fente qui se trouvait sur le côté montrait la voûte arrondie...c'était sûrement des chaussures de prix car il n'y qu'ainsi qu'une chaussure de femme peut être envoûtante : simplement à cause de la courbure qui laisse un espace libre entre la voûte et la semelle...elle avait retiré son attelle et je me demandais comment elle avait pu loger son pied blessé sans souffrir..."j'ai un peu souffert" avoua t'elle...je n compris qu'après le pourquoi...nous n'allâmes pas très loin car je craignais que ma si séduisante amie fût fatiguée de son béquillage et qu'elle puisse tomber à cause de la fatigue...on s'est assis sur un banc, commentant les allées et venues de la jeune faune estudiantine...lorsque mon regard se porta sur une jeune passante en béquilles portant attelle elle me dit : "pas mal!"...mais je rectifiais aussitôt par un "mais beaucoup moins que toi" qui eut l'effet de la rapprocher plus encore de moi...
La surprise vint quand ma beauté blessée sur le chemin du retour au bord du Rhône, s'immobilisa dans une moue douloureuse...Peux tu ôter ma chaussure? me dit elle. Je me suis agenouillé et la lui ait enlevé doucement, mettant à nu ce pied ravissant  et désirable...Nous avons continué, moi tenant son escarpin à la main et faisant se retourner nombre de ceux que nous croisions...cet instant me paraissait si érotique que je me suis enivré de l'odeur délicate qui exhalait de la chaussure inutile... Rentré dans sa chambre, tandis qu'elle était toujours dressé sur ses béquilles, j'ai fait glisser sa robe, dégrafé son soutien gorge tandis qu'elle déboutonnait ma chemise, dégrafait ma ceinture et faisait tomber mon pantalon à mes pieds...
Elle se recula soudain jusqu'à prendre appui sur le mur, me jetant un regard brûlant...Je m'avançais vers elle, toujours juchée sur son talon haut, écartant ses béquilles...je glissais ma main dans sa culotte de dentelle immaculée, sentant immédiatement son désir humide...elle libéra mon arme de plaisir engoncée dans le tissu et jaillissante..."Prends moi" me dit elle  tandis que mes mains s'abandonnait sur son corps soyeux et brûlant...Les cannes tombèrent...Je la soulevais...Et elle s'ancra à mon vaisseau, me demandant de libérer mes forces sans tarder tandis qu'elle enroulait ses jambes autour de moi...Je me retins afin de donner à mon fluide toute la puissance nécessaire...jouant de moi pour me donner les plus intenses sensations, elle me demanda de me retenir quelques instants encore, de l'amener sur notre nid et me priant de la laisser venir sur moi...puis elle me demanda de me saisir de son pied foulé...je tenais maintenant son cou de pied rebondi dans la paume de ma main dont le bord caressait la naissance de ses petits orteils...elle cria "maintenant!"...je vis ses yeux se révulser et tandis que je maintenais son cou de pied, je jetais toute la force de ma blanche laitance anisée au plus profond de son être...

Par Ami anonyme - Publié dans : récits_amis
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  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
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