Mardi 3 février 2 03 /02 /Fév 07:30
elle était maintenant rassasiée et fermait les yeux comme pour savourer les dernières sensations de plaisir qui< demeuraient en elle au fur et à mesure que je me retirais...moi-même prolongeait les délices de ces instants, particulièrement l'instant où elle avait resseré son antre...tandis qu'elle reposait encore gémissante, je mesurais ma chance de me voir offrir un corps aussi somptueux...et puis il y avait son pied, son joli pied blessé, gisant au fond du lit sur les draps repliés...plnaté sur le talon j'observais sa superbe plastique et tout particulièrement sa cambrure et la force de son cou de pied puissant et bombé,..un chef d'oeuvre! L'entorse était pourtant là, mais elle était parvenue à se fondre dans le flot de courbes sensuelles qui composait l'objet de mon désir...j'ai passé avec douceur la paume de ma main autour de la malléole gonflée et le sentiment de délectation que je ressentis à cet instant était aussi émouvant que si j'avais fait la même chose avec l'un de ses seins ronds et fermes...tendrement, j'ai soulevé mon amante dans mes bras et l'ai porté jusqu'à la salle d'eau où coulait un bon bain tiède dans lequel je l'ai déposée...Le moment le plus agréable fût certainement celui oùelle me demanda de laver son pied blessé...je le fis avec tendresse, massant doucement avec le gel douche ce petit pied fragile...tandis que je faisais durer les choses, je vis le regard de ma belle blessée se poser sur mon corps avec des yeux gourmands...de ses longs doigts fins,elle avait saisi ma verge, la massant à son tour avec le même gel et m'amenant dans les limbes au fur et à mesure des mouvements de va et vient qu'elle exécutait doucement...j'étais au bord de l'extase, me retenant avec efforts tant je sentais à nouveau monter mon huile en moi..."tu vois, ce que tu me fais au pied actuellement me procure la même chose que toi à cet instant...repus de plaisir, nous nous sommes endormis...elle s'était blottie contre moi, sa jambe très haut sur moi, et son pied foulé dans ma main...

Le lendamain, une douce lumière me réveilla...je fis un bond...elle n'était plus là...avais-je rêvé? La vue des béquilles sagement posées au pied du lit me rassura...je me levais et contournait la cloison pour trouver ma beauté assise sur le bord de la petite table du coin-déjeuner...on avait déjç livré le plateau car elle s'en était chargée... les yeux encore embués de sommeil, elle sirotait son café, magnifqiue dans sa courte nuisette transparente...nous échangeames un long baiser tandis que ses petits orteils se logeaiant entre mes jambes en les caressant...et lui, tu ne lui dit rien dit elle en désignant son pied blessé qu'elle me tendit en le cambrant...à la fin de notre petit déjeuner qu'elle avait dévoré avec voracité, elle s'était levé en sautillant...elle se posta contre la baie vitré et prenant une pose à la Marylin Monroe, elle laissa glisser sa nuisette jusqu'à terre...s'ensuivit un petit jeu amoureux ponctué de sautillements et de baisers furtifs, m'amenant au nirvana doucement jusqu'à ce qu'à nouveau nos corps se rejoignent dans une longue étreinte...

Raconter les trois jours suivants serait me répéter. Nous dormions, nous faisions l'Amour, nous sortions...Elle portait les tenues les plus ravissantes, béquillait avec un charme fou et exhibait sa cheville foulée tantôt en attelle, tantôt dénudée ou lovée dans une ravissante petite chaussette fine en coton blanc...La cheville guérissait vite. L'enflure s'était évanouie; L'appui était proche. 

Vint le dernier jour. Nous n'avons pas été triste. Nous venions de vivre des moments intenses que beaucoup ne connaissent pas. Nous avions chacun nos vies et nous devions y retourner. Il y eut un dernier moment où elle ajouta un zeste de plus à cet indicible charme qui émane d'une femme à la cheville foulée. Avant de l'amener à son train, nous sommes allés au restaurant. Elle vait revêtu un tailleur noir et portait un escarpin assorti sur lequel elle béquillait avec aisance, son autre pied nu sous le collant noir et moulant. Le charme à l'état pûr...

Dans un coin retiré de la gare de la Part Dieu, elle a rechaussé son pied désormais guéri. Puis après un long baiser, elle s'est éloignée en claudiquant en peine, me laissant ses cannes dont les poignées encore, portait l'odeur délicate de ses mains parfumées...

FIN

Par Ami anonyme - Publié dans : récits_amis
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

  • : Le blog de Castlover
  • Le blog de Castlover
  • : fantasmes amputées jeunes femmes plâtres moignons
  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés