Vendredi 28 novembre 5 28 /11 /Nov 00:45
 

Cette histoire s'est passée il y a quelques années. Je ne savais pas que mon rêve de voir ma femme porter un plâtre allait se réaliser. Nous étions invité à un mariage en Bourgogne, dans un petit village nommé Nitry. A l'époque nous n'avions pas de voiture et nous nous sommes rendu à la gare d'Auxerre où un couple d'amis allait nous récupérer au passage. Le mariage étant samedi soir, et notre rdv vers 13h, nous avions décidé de prendre une chambre d'hotel la veille au soir ce qui nous permettait de dîner dans un petit restaurant dont on nous avait parlé. Ne souhaitant pas nous encombrer de trop de bagages, nous ne nous sommes pas encombré de chaussures de rechange. Ma femme portait ses chaussures fermées à talons haut. Elle adorait en porter dés que l'occasion se présentait, par contre elle n'aimait pas les chaussures ouvertes qui laissaient apparaître ses jolis pieds, elle ne savait pas qu'elle allait changer d'avis aprés cette aventure.

Nous arrivâmes donc à la gare vers 19h10, un taxi nous conduisit à notre hôtel. Aprés avoir pris la chambre, nous nous dirigeons vers le restaurant qui se trouve à a peine 400 m. C'est un mois de juin, il fait bon et ciel découvert. Le restaurant est à la hauteur de ce qu'on nous a dit et le vin du pays aussi. N'ayant pas à conduire nous avions pris une bouteille de rouge pour deux, c'est une de nos passions commune qui nous fascine toujours. Le retour est un peu titubant, ma femme se tient ou s'agrippe à mon bras, elle a du mal à marcher droit sans être complètement ivre. Je lui demande si elle ne veut pas enlever ses chaussures pour marcher plus à l'aise, sa pudeur au niveau de ses pieds ne me laissent aucune chance de les admirer ailleurs qu'à la maison et encore dans la zone proche de notre lit. J'aurais aimé les voir dans cette situation, alors que la ville était déserte à cette heure tardive, malgré son état de légère hébriété rien n'y fait. A plusieurs fois elle trébûche et se rattrappe à mon bras. Heureusement que j'ai une meilleure tenue de route qu'elle pour pouvoir la rattrapper à chaque mauvais pas. Je plaisante sur elle et on est presque arrivé à notre hotel, on change de trottoir, content d'être arrivé. Au moment où on aborde le trottoir d'en face, on est obligé de passer entre deux voitures, donc en file indienne,sa cheville droite par complètement en vrille, on croit même entendre un claquement. Je la retiens pour qu'elle ne tombe pas mais trôp tard le mal est fait, elle hurle de douleur. Elle a très mal à la cheville mais au fur et à mesure la douleur reste supportable, effet de l'alcool ou pas très grave, on en sait rien. On décide de rentrer à l'hôtel pour examiner la cheville. Madame ne veut toujours pas enlever sa chaussurre en pleine rue. Ses pas deviennent de plus en plus douloureux, elle ne peut plus faire un pas sans crier de douleur. Je la soulève dans mes bras pour qu'elle évite de souffrir d'aventage. Elle commence à pleurer en disant qu'elle a peur qu'elle soit cassée, je la rassure du mieux que je puisse.

Le receptionniste ne sait pas si c'est une plaisanterie de notre part quand il me voit franchir l'entrée avec ma femme dans mes bras, comme de nouveaux mariés. C'est uniquement quand il voit des larmes sur le visage de ma femme qu'il comprend que quelque chose ne va pas. Je la dépose sur le petit canapé de l'entrée et explique à l'employé qu'elle s'est tordue la cheville juste à l'instant. Ma femme pose sa cheville sur le coin de la table, on voit nettement qu'elle a commencé à enfler sérieusement au sessus de sa chaussure. L'employé lui dit qu'il vaut mieux enlever la chaussure sinon ça risque d'être plus dur aprés, sa belle soeur ayant eu une entorse récemment. Aprés quelques minutes de négociations, j'arrive à la convaincre de dénuder son pied. Elle se rend compte qu'il était temps vu la difficulté qu'elle a déjà pour pouvoir l'enlever, elle ne me laisse pas l'aider de peur que je lui fasse mal, elle a sorti son talon qu'elle me dit qu'elle ressent un afflux sanguin important, je l'aide à enlever complètement sa chaussure. Je découvre ses magnifiques orteils qui m'ont toujours fait fantasmer. Presque de suite la cheville change de forme sous nos yeux comme si quelqu'un avait trouvé une valve et soufflait à l'intérieur on la voit doubler de volume en moins de 15 min. Le standardiste prend l'initiative d'apporter une serviette qu'il a rempli de glaçons, expérience récente de sa belle soeur, me dit il. Il me conseille de l'enmener à l'hôpital de suite, il nous appelle un taxi. Il me prévient en apparté que cet hôpital a pour habitude de plâtrer pour un rien, que si je voulais attendre le lendemain je pourrais l'enmener dans un autre hôpital beaucoup plus loin. Mon coté «  caster » reprend le dessus, je me dis qu'une fois rentré on ira consulter notre médecin de famille, mais que pour l'instant il fallait avoir un avis médical en urgence.


Le taxi arrive et nous attend devant l'hotel, ma femme saisit sa chaussure et je la reprends dans mes bras, le receptionniste nous donne sa poche glace, en nous disant que parfois il y a du monde aux urgences, le samedi soir. Ma femme le remercie entre deux soupirs et pleurs.

Le chauffeur de taxi nous aide à l'installer sur la banquette, alors que je lui fais un topo rapide de la situation. Je m'installe prés d'elle et positionne sa cheville sur mes genoux, l'enflement à priori a céssé et s'est à arrêté juste au niveau de ses orteils. Je remarque au passage qu'elle porte un vernis très discret et qu'ils sont toujours aussi magnifique.

Aux urgences il y a une petite poignée de patients, la pluspart sont jeunes, il y a aussi dans le lot une autre cheville mal en point. Celle d'une jeune femme plutôt la quarantaine assez bourgeoise. Elle a été ramené par la SAMU à priori. Sa jambe est dans une attelle gonflable et elle semble souffrir beaucoup. Ma femme est installé dans une chaise roulante et coup de pot pour nous le médecin à l'acceuil nous demande de nous diriger de suite vers la radio, comme ils doivent la faire une pour la dame et que le radiologiste vient d'arriver...

Je me retrouve en train de pousser la chaise roulante de ma femme derrière celle de l'autre dame qui nous dit au passage qu'on a beaucoup de chance, elle, ça fait presque 2 h qu'elle est arrivée. On sympathise en route, à priori elle est tombée de l'escabeau de sa cuisine, il y a risque de fracture d'aprés le SAMU. Ce qui ne rassure pas ma femme. Ce qui l'embête un peu c'est que la femme a gardé une chaussette sur sa cheville et qu'elle est la seule à avoir un pied nu.

On patiente encore un peu devant la radio, tout est désert il n'y a pas âme qui vive, on entend le radiologiste manipuler des choses. Il sort à un moment et appelle l'autre blessée, on lui souhaite bon courage, malgré ses airs de bourgeoise elle est sympathique. Par contre au bout de qq minutes on l'entend hurler de douleurs, à priori le radiologue manipule sa cheville. Aprés quelques instant on la voit ressortir toute blanche, quelques larmes ont coulé le long de sa joue, elle a toujours son attelle gonflable mais plus sa chaussette. Son pied parfaitement pédicuré semble tout de même être beaucoup plus enflé que celui de ma femme. Je laisse le radiologiste s'occupper de cette dernière. Sa chaussure devenue inutile dans ma main, je m'installe prés de la bourgeoise. Elle me dit qu'elle est sur qu'il y a une fracture en ce qui la concerne, elle n'avait jamais ressenti une telle douleur. Quelque instants plus tard, le verdict tombera plutôt d'une manière théatrale malgré l'heure tardive, le médecin s'avança devant les 2 handicapées passagère en lançant qu'il y avait une fracture tibia sans déplacement et une entorse grave avec rupture des ligaments. La gagnante pour la fracture était la bourgeoise. Ma femme était soulagée, mais quand le médecin annonça que les deux avaient gagné un plâtre, elle fondit en larmes. La bonne nouvelle était qu'elle n'avait qu'un plâtre court pour 6 semaines au lieu du long de sa voisine pour au moins 8 à 10 semaines minimum. C'est à ce moment que la dame se rendit compte de la galère qui l'attendait, elle commença aussi à verser des larmes. Son mari étant en déplacement en Afrique, elle était seule à la maison, mais à priori elle appela sa soeur et tout s'arrangeait au mieux, elle ne tarderait pas à venir.

Aprés encore une bonne heure, les deux femmes furent conduit dans une autre salle d'attente, ce fut la bourgeoise qui passa la première et ressortit aprés une petite heure avec un long pla^tre allant du haut de sa jambe au bout de ses orteils. Ce qui m'intrigua c'est qu'il était en vrai plâtre et non pas en résine. En tant que caster j'en prenais plein les yeux, si javais eu mon appareil photo j'aurais flashé. Mais cette image de mon premier vrai long plâtre me reste gravé dans ma mémoire, je n'en avais jamais vu ailleurs que sur le net. La femme dépitée attendait sa soeur qui ne tarda pas à arriver avec une paire de béquilles, les siennes apparemment.Bizarrement la bourgeoise aprés avoir un peu expliqué tout ce qui s'est passé se saisit des béquilles et les utilisa avec une facilité déconcertante. J'en restais bouche bée, malgré ses gémissements de douleurs quand elle passa de la position assise à la position debout, elle me remercia chaudement pour mon soutient et souhaita bon courage pour ma femme. Elle se dirigea péniblement vers la sortie, si elle ne souffrait pas autant je pense qu'elle serait presque partie en courant.

Malgré la gravité de la situation et le désespoir et la douleur de ma femme je réalisais que mon plus gros fantasme se réalisait. Ma femme sortait avec un plâtre en vrai plâtre, il allait du dessous de son genou au bout des ses orteils. Son dernier petit orteil était presque noyé dans le plâtre. Elle pleurait encore, je fis de mon mieux pour la consoler, aprés tout il y avait pire, la preuve. 6 semaines ça passerait vite, j'allais m'occupper d'elle. Elle était toujours en chaise roulante, il fallait lui trouver des béquilles, mais à cette heure fallait trouver la pharmacie de garde... Le médecin devant mon embarras me proposa de lui prêter une paire que je devais retourner le lendemain, comme je devais lui acheter des antidouleurs. Vu qu'elle avait pas mal bu d'alcool, il fallait qu'elle attende au moins jusqu'à 13 h avant de prendre le moindre comprimé.Il allait falloir qu'elle supporte la douleur jusqu'à là, ma pauvre chérie. J'en étais vraiment triste pour elle.

Les béquilles arrivèrent, c'étaient des toute vieilles, celle qu'on attendait à des km avec leur clic-clic. Je crois que là je ne m'attendais pas à ça. Ma femme n'ayant jamais utilisé fut très surprise par leur maniement. A défaut de kiné, le médecin lui expliqua les rudiments en lui disant que très rapidement elle saurait les utiliser comme la dame d'avant qui n'en est pas à sa première utilisation, Tout s'expliquait.

J'eu vraiment pitié quand je vis ma femme sautiller sur ses béquilles au lieu de s'appuyer sur ses bras elle les utilisait juste pour ne pas perdre l'équilibre., et elle sautait, comme si elle sautait à la corde. La douleur commençait à s'accentuer à force qu'elle se déplaçait lentement. Le médecin et moi même avons beau essayer de lui donner des conseils, elle n'arrivait pas à se lancer. On pensait qu'à force de béquiller elle comprendrait, juste une question de temps. Elle se dirigea lentement la cheville plâtrée devant elle. Le cliquetis de ses béquilles fit relever la tête de tous les nouveaux patients des urgences. Elle qui n'aimait pas montrer ses pieds, elle sentit un bonne dizaine de paire d'yeux sur ses orteils. Ce qui la mit mal à l'aise d'avantage.Elle se rendit compte aussi que vu la largeur du plâtre elle pourrait difficilement cacher ses orteils par une chaussette, à moins d'acheter une chaussette de montagnard. Ce qui attirait l'attention surtout c'était le bruit que faisait en plus son unique chaussure à talon. La peur de tomber à nouveau à cause de ces talons la figeait dans ses petits mouvements, mais en même temps elle voulait échapper à tous ces regards insistants. Sentiment dont j'aurais grandement apprécié à sa juste valeur si il s'agissait de moi, mais là c'était différent. Je la soutins donc fermement le bras tout en lui laissant assez de latitude pour utiliser ses béquilles. Elle sautillait toujours et avait l'impression de faire du sur place. Il y eut des spasmes au niveau de sa cheville qui la fîrent crier de douleur, la seule chose que je pouvais faire était de la serrer dans mes bras le temps que ça passe. Ses bras étant prisonniers de ses béquilles elle enfouit sa tête au fond de ma poitrine du mieux qu'elle puisse. Je la calmais et la rassurais en lui disant que ça passerait. Ca la remis un peu du baume au coeur, un gros câlin il n'y a rien de mieux.

J'avais garder le N° du taxi et il arriva juste au moment où on sortait des urgences. Une fois qu'elle fut installée il mît les béquilles dans le coffre et me dit que c'avait l'air plutôt sérieux...Les gémissements de ma femme mettent un terme à toute discussion ou commentaires.

Il est pratiquement 2 h du matin quand nous arrivons à l'hôtel. Je rêgle le chauffeur et aide ma femme à descendre du taxi et lui tend ses béquilles. Elle les prend avec encore beaucoup d'appréhension, et tente toujours de sautiller sur sa jambe valide. Mais les douleurs la rappelle à l'ordre, il faut éviter de bouger de la sorte, elle commence à vraiment s'appuyer sur ses avant bras et glisser tant bien que mal, elle commence à béquiller plus ou moins bien. Guidé par l'intensité des douleurs en fonction des différents mouvements. Je la soutiens toujours par un bras, il reste maintenant à grimper les 3 marches qui mènent à l'entrée de l'hotel. Je lui explique comment faire, n'ayant aucune expérience, ses orteils nus heurtent violemment la première marche, elle pousse un petit «  Aie ». Elle apprend d'elle même qu'il faut mettre sa cheville plâtrée en arrière si elle veut pas à nouveau se cogner. Elle finit par arriver à l'entrée de l'hôtel. Le cliquetis des béquilles alerte le receptionniste qui prend des nouvelles alors qu'elle se dirige prudemment vers l'ascenceur. Une fois à l'intérieur elle souffle un peu, je la prends dans mes bras. Nous rentrons dans la chambre et elle s'allonge sur le lis je déchausse son pied valide et met des coussins sous son plâtre, il faut qu'elle le garde élevé. Je lui propose de mettre sa chemise de nuit. Elle souhaite prendre une douche, je lui réponds qu'elle va devoir s'en passer au moins ce soir, on risque de mouiller le plâtre qui a même pas eu le temps de sécher. Je lui rapporte un gant mouillé et l'aide à faire un minimum de toilette. L'espace d'un instant,nue juste avec seul son plâtre, elle est magnifique. Je retiens mes ardeurs devant ce visage souffrant. La rhabillant et l'installant au plus confortablement. Elle veut ajuster son plâtre sur l'oreiller mais chaque mouvement est un vrai supplice, je lui soulève délicatement sa cheville plâtrée et le positionne au mieux. Je m'allonge auprés d'elle, nous discutons un peu sur le mariage du lendemain. Elle souhaiterait rentrer, elle se voit mal participer à ce mariage avec les béquilles et le plâtre. Surtout qu'elle a du mal à se déplacer avec ses béquilles, Elle regrette de ne pas avoir apporté des chaussures un peu moins contraignantes que ses hauts talons.Elle sait que ses orteils nus exposés à la vue de tout le monde, malgré elle sera l'attraction principale. Sa pudeur remonte à la surface et elle fond en larmes comme une petite enfant. Je la rassure en lui disant qu'on verra bien le lendemain tout en me demandant comment on allait rentrer par train dans son état. Pendant ce temps je la sens s'assoupir, assommée par l'effort du béquillage de la soirée. Mes yeux se pose sur son plâtre, un rêve de toujours de pouvoir caresser un plâtre emprisonnant une aussi belle cheville. Je remonte vers ses orteils nus sortant de ce bloc blanc. On a l'impression que s'ils pouvaient se cacher sous la carapace, ils le feraient. Je les détends en les prenant dans la paume de mes mains et les massants en prenant mon temps. J'entends leur propiétaire gémir de plaisir. Les voilà détendu à souhait, je ne peux pas m'empêcher de leur souhaiter une bonne nuit en les embrassant chacun, sans faire de jaloux.

Par castlover
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  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
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