Mercredi 4 février 3 04 /02 /Fév 07:30

Une fois la porte franchie, elles s’effondrèrent chacune dans nos bras. Ma femme, ses mains étant prises par les cannes anglaises, enfouit sa tête sur mon torse en criant qu’elle n’en pouvait plus de ce plâtre, elle voulait qu’on le lui retire au plus vite.  Je lui répondais que c’était juste un mauvais moment à passer, que dans quelques semaines tout ça serait fini. Aurélie pouvant libérer ses mains, serra Marc très fort en restant appuyé sur ses béquilles. Marc la serra aussi dans ses bras, en évitant de mettre de pression supplémentaire sur ses aisselles déjà douloureuses. Pour la première fois il entendit Aurélie craquer en pleurs, la douleur semble être insupportable. Bien que tous les deux nous adorions les consoler comme je pense la majorité des hommes, nous nous sentons totalement impuissant devant un tel désarroi. Marc  ne peut  soulager Aurélie d’aucune façon, il ne peut pas lui faire disparaître la douleur, ni l’aider à marcher, ni soulager ses aisselles de plus en plus douloureuse. Quant à moi, je ne me pose pas de question, je soulève ma femme dans mes bras, tant pis pour le regard des autres. Elle enlace ses bras autour de mon cou, adosse sa tête sur mon torse et ferme les yeux, elle a envie de disparaître. Sa jambe plâtrée est pendante, je suis encore plus impressionné par ses orteils encore plus boudinés. J’ai l’impression qu’ils vont exploser d’un moment ou à un autre. Elle tient ses béquilles de sa main gauche en essayant de ne pas les mettre entre mes jambes, il manquerait plus qu’on s’étale tous les deux ensemble. Je demande à Marc de me passer les clés de sa voiture, je vais la déposer et je reviens, j’ai une petite idée pour Aurélie. J’accompagne ma femme jusqu’à la voiture et l’installe délicatement sur le siège avant. Elle n’a aucune sensation au niveau de ses orteils, elle ne se rend même pas compte qu’ils se heurtent le sol à un moment, je les vois se plier juste ce qu’il leur est possible. Je l’aide à soulever sa cheville et la positionner sur le tableau de bord. La circulation devrait reprendre  petit à petit. Je l’abandonne une fois qu’elle est bien installée et qu’elle n’a besoin de rien.

Je me précipite pour aider Aurélie qui est toujours serrée à Marc. Il est content de me revoir aussi vite, il semble être désarmé complètement. Je lui explique comment je vois les choses, Aurélie est prête à accepter toute proposition, du moment qu’on l’aide a regagner la voiture. Mon idée consiste à mettre ses béquilles l’une sur l’autre et les prendre chacun par un bout au plus proche d’Aurélie qu’on aide à prendre place. Le temps qu’on se mette en place, elle se retrouve sans aucun appui pour garder l’équilibre, par réflexe elle sautille pour ne pas tomber, une douleur encore plus forte à l’avant pied lui remonte la jambe, nous avons juste le temps de la faire asseoir sur notre brancard improvisé, elle pleure à chaude larme, Marc se met au plus prés d’elle pour qu’elle puisse se tenir à lui, elle le serre dans ses bras comme un petit enfant, qui a un gros chagrin. On en profite pour nous diriger au plus vite vers la voiture. Le système quoique inesthétique semble être efficace, Marc fait un signe de la tête pour me féliciter de l’idée que j’ai eu. Il n’aurait pas pu la prendre dans ses bras aussi délicatement.
Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Mardi 3 février 2 03 /02 /Fév 07:30
elle était maintenant rassasiée et fermait les yeux comme pour savourer les dernières sensations de plaisir qui< demeuraient en elle au fur et à mesure que je me retirais...moi-même prolongeait les délices de ces instants, particulièrement l'instant où elle avait resseré son antre...tandis qu'elle reposait encore gémissante, je mesurais ma chance de me voir offrir un corps aussi somptueux...et puis il y avait son pied, son joli pied blessé, gisant au fond du lit sur les draps repliés...plnaté sur le talon j'observais sa superbe plastique et tout particulièrement sa cambrure et la force de son cou de pied puissant et bombé,..un chef d'oeuvre! L'entorse était pourtant là, mais elle était parvenue à se fondre dans le flot de courbes sensuelles qui composait l'objet de mon désir...j'ai passé avec douceur la paume de ma main autour de la malléole gonflée et le sentiment de délectation que je ressentis à cet instant était aussi émouvant que si j'avais fait la même chose avec l'un de ses seins ronds et fermes...tendrement, j'ai soulevé mon amante dans mes bras et l'ai porté jusqu'à la salle d'eau où coulait un bon bain tiède dans lequel je l'ai déposée...Le moment le plus agréable fût certainement celui oùelle me demanda de laver son pied blessé...je le fis avec tendresse, massant doucement avec le gel douche ce petit pied fragile...tandis que je faisais durer les choses, je vis le regard de ma belle blessée se poser sur mon corps avec des yeux gourmands...de ses longs doigts fins,elle avait saisi ma verge, la massant à son tour avec le même gel et m'amenant dans les limbes au fur et à mesure des mouvements de va et vient qu'elle exécutait doucement...j'étais au bord de l'extase, me retenant avec efforts tant je sentais à nouveau monter mon huile en moi..."tu vois, ce que tu me fais au pied actuellement me procure la même chose que toi à cet instant...repus de plaisir, nous nous sommes endormis...elle s'était blottie contre moi, sa jambe très haut sur moi, et son pied foulé dans ma main...

Le lendamain, une douce lumière me réveilla...je fis un bond...elle n'était plus là...avais-je rêvé? La vue des béquilles sagement posées au pied du lit me rassura...je me levais et contournait la cloison pour trouver ma beauté assise sur le bord de la petite table du coin-déjeuner...on avait déjç livré le plateau car elle s'en était chargée... les yeux encore embués de sommeil, elle sirotait son café, magnifqiue dans sa courte nuisette transparente...nous échangeames un long baiser tandis que ses petits orteils se logeaiant entre mes jambes en les caressant...et lui, tu ne lui dit rien dit elle en désignant son pied blessé qu'elle me tendit en le cambrant...à la fin de notre petit déjeuner qu'elle avait dévoré avec voracité, elle s'était levé en sautillant...elle se posta contre la baie vitré et prenant une pose à la Marylin Monroe, elle laissa glisser sa nuisette jusqu'à terre...s'ensuivit un petit jeu amoureux ponctué de sautillements et de baisers furtifs, m'amenant au nirvana doucement jusqu'à ce qu'à nouveau nos corps se rejoignent dans une longue étreinte...

Raconter les trois jours suivants serait me répéter. Nous dormions, nous faisions l'Amour, nous sortions...Elle portait les tenues les plus ravissantes, béquillait avec un charme fou et exhibait sa cheville foulée tantôt en attelle, tantôt dénudée ou lovée dans une ravissante petite chaussette fine en coton blanc...La cheville guérissait vite. L'enflure s'était évanouie; L'appui était proche. 

Vint le dernier jour. Nous n'avons pas été triste. Nous venions de vivre des moments intenses que beaucoup ne connaissent pas. Nous avions chacun nos vies et nous devions y retourner. Il y eut un dernier moment où elle ajouta un zeste de plus à cet indicible charme qui émane d'une femme à la cheville foulée. Avant de l'amener à son train, nous sommes allés au restaurant. Elle vait revêtu un tailleur noir et portait un escarpin assorti sur lequel elle béquillait avec aisance, son autre pied nu sous le collant noir et moulant. Le charme à l'état pûr...

Dans un coin retiré de la gare de la Part Dieu, elle a rechaussé son pied désormais guéri. Puis après un long baiser, elle s'est éloignée en claudiquant en peine, me laissant ses cannes dont les poignées encore, portait l'odeur délicate de ses mains parfumées...

FIN

Par Ami anonyme - Publié dans : récits_amis
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Dimanche 1 février 7 01 /02 /Fév 17:33

Elle occupait la même chambre qu’elle. Le pare brise avait éclaté et l’avait blessé aux yeux. On l’avait opérée mais elle a dû rester aveugle avec des bandages pendant plus de 15 jours. Elle souffrait d’une fracture des cervicales, des clavicules. Elle portait un plâtre lui immobilisant les bras, le cou et le torse. Quant à ses jambes l’une d’entre elles était mis en traction avec des poids. Quant à l’autre elle avait dû être amputée, vu qu’elle avait été complètement broyée lors de l’accident. « Je peux vous dire que c’est un peu grâce à elle que j’ai gardé le moral, vu son état. C’était moi qui la soutenait, en l’absence de sa famille. » déclare t-elle. « Je l’ai revu, en chaise roulante lors d’une visite à mon orthopédiste,  elle m’a reconnue à la voix, comme elle n’avait pas pu me voir, elle s’en était remise plus ou moins, elle avait retrouvé la vue complètement et l’usage de ses bras. Son unique jambe était plâtrée encore, elle me racontait qu’elle avait des problèmes de consolidation et qu’elle en avait encore pour un moment. Mais malheureusement pour l’autre jambe, il a fallu effectuer une nouvelle amputation qui a rendu le port d’une prothèse trop contraignante. Pour elle après la guérison de sa jambe, c’était béquilles et chaise roulante à vie. C’est affreux, si jeune… » Devant une telle histoire nos compagnes ne pouvaient que se sentir mieux. Mine de rien cette femme venait de prouver qu’il y avait pire et qu’il leur fallait juste être patiente, elles allaient guérir très vite, contrairement à l’autre femme. Sur cette petite histoire bien triste mais très encourageant pour les petites blessures dont souffraient nos éclopées, la femme prit congé en leur souhaitant un bon rétablissement.

L’addition payée, nous commençâmes à nous lever de table, j’aidais ma femme à se lever, je remarquais que ses orteils avaient triplés de volume, je ne les reconnaissais pas. Eux qui étaient si fins, étaient complètement boudinés, à ne plus les reconnaître. Elle me chuchota qu’elle sentait son plâtre serré depuis le milieu du repas mais elle ne se doutait pas que son pied avait enflé à ce point. La  position debout fut, je pense des plus douloureuse depuis son plâtrage. Elle ne sentait, ni ne pouvait remuer ses orteils, ils étaient pour ainsi dire ankylosés et presque bleu. J’étais incapable de l’aider devant cette douleur. Je lui proposais de la porter, mais elle me répondit que vu l’endroit où on était on se ferait encore plus remarquer. Elle commença donc à béquiller en serrant les dents. Je lui ouvris le passage du mieux que je pouvais, en poussant des chaises qui se trouvaient sur notre passage. Elle béquillait la tête basse et n’était pas fier de montrer son pied nu aux autres convives du restaurant. Sa pudeur d’avant son plâtrage était revenue à la charge. Le travail qu’avait fait Aurélie sur elle avait pratiquement disparu. Cette dernière n’était pas non plus dans un meilleur état, elle avait très mal à l’avant de son pied, bien qu’elle ne pouvait nullement les bouger, elle sentait une franche douleur pendant qu’elle béquillait. Elle s’arrêtait à chacun de ses pas et faisait une pause de quelques secondes. Marc se trouvait dans la même situation que moi, incapable d’aider la pauvre Aurélie, courbé sur ses béquilles à chacune de ses fréquentes pauses. Ses aisselles aussi commençaient à souffrir, à chaque fois qu’elle prenait appui dessus. Elle qui aimait se rendre dépendante, n’en pouvait plus. Mais elle pensait, comme ma femme à cette fille qui était condamnée à marcher avec des béquilles pour le restant de sa vie. Elle avançait lentement, les yeux rivés sur son plâtre et ses orteils bandés. Les clients du restaurant les observaient avec pitié. On entendit des « …les pauvres filles, elles ont l’air de souffrir…plâtre…béquilles…fracture…pied.. ». On avait l’impression que toute la salle ne parlait que de ça. Nous avions qu’une seule hâte, c’était de sortir du restaurant. Les filles faisaient de leur mieux, avançant sur leur béquilles aussi vite que leur permettait leur résistance à la souffrance.
Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Samedi 31 janvier 6 31 /01 /Jan 10:00
 

je vis passer dans les yeux de ma compagne une intense émotion et je vis une larme perler sur sa joue...je me suis tourné vers elle et je l'ai essuyé dans un geste tendre...au beau milieu du coeur lyonnais, nous étions seuls au monde et quand je repris mes esprits, je vis le regard affectueusement complice d'une vieille dame...nous sommes revenus à l'hôtel et prîmes du repos jusque vers les sept heures, tendrement enlacés sans mot dire...c'est fou tout ce que l'on peut se dire sans dire un mot! Ma compagne ne disait rien... après le repas, elle souhaita à nouveau sortir et profiter du Lyon animé du soir...Quelle ne fût pas ma surprise lorsqu 'après être remontée à sa chambre pour se changer, et m'ayant prié de l'attendre en bas, je la vis revenir dans une magnifique minirobe noire, les deux pieds chaussés dans des escarpins noirs de taille raisonnable mais qui exacerbait la ligne somptueuse de ses arches qui telles celles d'un pont jetés entre deux rives se jetait vers ses extrémités avec une grâce aérienne. La fente qui se trouvait sur le côté montrait la voûte arrondie...c'était sûrement des chaussures de prix car il n'y qu'ainsi qu'une chaussure de femme peut être envoûtante : simplement à cause de la courbure qui laisse un espace libre entre la voûte et la semelle...elle avait retiré son attelle et je me demandais comment elle avait pu loger son pied blessé sans souffrir..."j'ai un peu souffert" avoua t'elle...je n compris qu'après le pourquoi...nous n'allâmes pas très loin car je craignais que ma si séduisante amie fût fatiguée de son béquillage et qu'elle puisse tomber à cause de la fatigue...on s'est assis sur un banc, commentant les allées et venues de la jeune faune estudiantine...lorsque mon regard se porta sur une jeune passante en béquilles portant attelle elle me dit : "pas mal!"...mais je rectifiais aussitôt par un "mais beaucoup moins que toi" qui eut l'effet de la rapprocher plus encore de moi...
La surprise vint quand ma beauté blessée sur le chemin du retour au bord du Rhône, s'immobilisa dans une moue douloureuse...Peux tu ôter ma chaussure? me dit elle. Je me suis agenouillé et la lui ait enlevé doucement, mettant à nu ce pied ravissant  et désirable...Nous avons continué, moi tenant son escarpin à la main et faisant se retourner nombre de ceux que nous croisions...cet instant me paraissait si érotique que je me suis enivré de l'odeur délicate qui exhalait de la chaussure inutile... Rentré dans sa chambre, tandis qu'elle était toujours dressé sur ses béquilles, j'ai fait glisser sa robe, dégrafé son soutien gorge tandis qu'elle déboutonnait ma chemise, dégrafait ma ceinture et faisait tomber mon pantalon à mes pieds...
Elle se recula soudain jusqu'à prendre appui sur le mur, me jetant un regard brûlant...Je m'avançais vers elle, toujours juchée sur son talon haut, écartant ses béquilles...je glissais ma main dans sa culotte de dentelle immaculée, sentant immédiatement son désir humide...elle libéra mon arme de plaisir engoncée dans le tissu et jaillissante..."Prends moi" me dit elle  tandis que mes mains s'abandonnait sur son corps soyeux et brûlant...Les cannes tombèrent...Je la soulevais...Et elle s'ancra à mon vaisseau, me demandant de libérer mes forces sans tarder tandis qu'elle enroulait ses jambes autour de moi...Je me retins afin de donner à mon fluide toute la puissance nécessaire...jouant de moi pour me donner les plus intenses sensations, elle me demanda de me retenir quelques instants encore, de l'amener sur notre nid et me priant de la laisser venir sur moi...puis elle me demanda de me saisir de son pied foulé...je tenais maintenant son cou de pied rebondi dans la paume de ma main dont le bord caressait la naissance de ses petits orteils...elle cria "maintenant!"...je vis ses yeux se révulser et tandis que je maintenais son cou de pied, je jetais toute la force de ma blanche laitance anisée au plus profond de son être...

Par Ami anonyme - Publié dans : récits_amis
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Vendredi 30 janvier 5 30 /01 /Jan 07:30
Pendant le repas deux d’entre elles comme d’habitude ne manque pas de tomber au sol dans un gros bruit  métallique, faisant tourner la tête à tout le monde. On ne sait pas si on doit être fier d’avoir perturbé tout ce beau monde ou faire comme si de rien n’était. A un moment nous voyons une femme, sûrement la plus jeune de la salle, hormis nos compagnes, aller aux toilettes situées au fond de notre salle  pas loin de notre table. Elle est habillée très classe avec des talons aiguilles, un tailleur d’un bleu très beau, elle est blonde. Ses cheveux ondulent comme dans les pubs que l’on voit à la télé, et on devine qu’elle le vaut bien. Elle esquisse un petit sourire de connivence à nos compagnes, on voit bien qu’elle hésite à nous déranger. Elle en profite que ma femme lui réponde par un sourire de politesse pour engager la conversation. « J’ai entendu par le maître d’hôtel que vous aviez été victime d’une chute de parachutisme…je voulais vous souhaiter à toutes les deux bon courage, c’est pas toujours évident la vie sur les béquilles. Je me suis sentie un peu concernée par votre histoire, comme j’ai un peu vécue la même. Mon fils m’avait offert un coffret sensation et comme je voulais toujours en faire, j’ai choisi… Mon parachute s’est mis en torche au dernier moment et j’ai fait une chute libre de plus de 80 m. Et vous comment c’est arrivé ? » Nous demande  t-elle. Aucun de nous n’ayant d’expérience réelle en parachutisme, nous regardons Aurélie qui nous a mis dans ce pétrin en mentant au maître d’hôtel. Aurélie ne se démonte pas pour autant et déclare qu’elle est monitrice de parachutisme et qu’en fait une petite rafale de vent de dernière minute les a projetés vers des rochers au dernier moment. L’explication  semble satisfaire notre dame. Personne n’est surpris lorsque Aurélie lui demande de quel type de blessure elle a souffert. On a l’impression que cette dernière n’attendait que cela : « Oh si vous saviez, je me suis dit quitte à me casser quelque chose, autant minimiser les dégâts, j’ai sacrifié ma jambe droite, elle a tout pris lors du choc. Résultat multiples fractures sur le tibia et le fémur et dislocation de la hanche. J’ai dû rester alitée plus de 3 mois avec un fixateur externes pour le tibia qui était presque en miettes. Le plus long fut quand même sa guérison, avec les 3 mois supplémentaires de plâtre je n’ai pu reprendre l’appui que plus de 9 mois après l’accident. Et vous, dit elle en regardant les plâtres de chacune, c’est grave ? » Aurélie notre parole lui explique qu’elles ont eu de la chance quelque part de s’en tirer pour ma femme avec une entorse grave, quant à elle, elle a eu moins de chance, fracture du tibia et péroné, ainsi que tous ses orteils. Ce dernier petit détail incite naturellement notre invité à lorgner sur sa cheville. Je suis le seul, en tant que caster, à réaliser qu’Aurélie l’a emmener là où elle voulait. Elle se fait même un malin plaisir même à lui exposer sa cheville plâtrée et ses orteils bandés. Mais une douleur grandissante la dissuade vite de continuer son petit jeu. Elle siffle de douleur, alors que la femme lui dit de ne pas se donner du mal pour elle. Elle est très étonnée de voir ce type d’immobilisation, pourtant à l’hôpital elle en a vu de toutes sortes. Elle se rappelle de cette jeune femme qui suite à un accident de voiture est arrivée dans un état catastrophique...
Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
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