Lundi 16 février 1 16 /02 /Fév 07:17
 

Je me dégage lentement de son corps et mets mes sous vêtements. Marc est déjà dans la cuisine en train de préparer le petit déjeuner. Le pauvre n’a pas dormi de la nuit, il a veillé sur Aurélie pour qu’elle ne se fasse pas mal. Ayant l’habitude de faire des nuits blanches il semble prêt à attaquer la journée et décrocher un rendez vous en urgence auprès de l’orthopédiste. J’entends ma femme se réveiller, je l’aide à remettre sa chemise de nuit, je ne sais pas pourquoi elle se lève comme si de rien n’était et se met debout sur ses deux jambes elle s’arrête net en voyant que je me retourne et lui tend les béquilles, il a fallu l’espace d’un instant pour qu’elle oublie complètement son plâtre et fasse un pas. Une douleur déchirante lui traverse la cheville, son entorse lui fait vite comprendre qu’il est beaucoup trop tôt pour qu’elle y prenne appui dessus. Je l’entends jurer «  Mais quelle imbécile je suis…j’ai oublié ce foutu plâtre…ayaieiie…ça fait mal », elle s’effondre dans mes bras et essaye d’oublier la douleur. Ce fut la dernière fois que son pied touchait le sol avant les 6 prochaines semaines. Du moins c’est ce que j’ai pensé, mais l’avenir est imprévisible parfois. J’examinais ses orteils, ils avaient fini par retrouver leur forme normale. Ils me semblaient vraiment magnifiques comme je les adorés, pas trop longs, fins et chaque ongle était bien formé, même le plus petit. Il lui fallait une bonne pédicure et ils seraient magnifiques !!!!! Elle se plaint d’une chaleur grandissante sur sa cheville, au delà de la douleur c’est ce qui la terrorisait. Elle avait peur d’avoir aggravé son entorse en marchant sur son plâtre. La chaleur continuait à se répandre à travers sa cheville, elle avait l’impression que sa plante de pied brûlait. Puis au fur et à mesure ça s’atténua au point de devenir tiède. Je lui pris ses orteils pour vérifier leur température, ils étaient encore assez brûlants. Je lui demandais de rester allongée un peu encore en surélevant sa cheville plâtrée, il fallait espérer qu’elle ne s’était pas blessée encore plus.


Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Vendredi 13 février 5 13 /02 /Fév 07:10
 

Ma femme béquille vers notre chambre, je la vois de dos, je vois la plante de son pied plâtré et son pied valide sautiller à chaque pas. Elle semble être tant à l’aise sur ses cannes que j’ai l’impression que je ne l’ai jamais connu autrement. La voilà qui s’assoit sur le bord du lit, je lui prend ses cannes et les pose sur la moquette à ses pieds. Comme à son habitude de dormir complètement nue, elle se débarrasse de sa chemise de nuit en la faisant glisser par le haut. Je vois ses jolis petits seins pointer et presque m’inviter à leur démontrer la douceur de mes lèvres. Elle semble aussi vouloir un peu de tendresse après ces derniers jours de souffrances et de restrictions. Je m’allonge à ses cotés, j’adhère à sa politique vestimentaire nocturne. Elle veut s’approcher au plus prés de moi, mais sans s’appuyer sur son pied, elle se tortille un peu en gardant son plâtre en l’air. Je la laisse faire, à un moment son pied valide glisse sur les draps et sa cheville blessée tombe lourdement sur le matelas. J’entends un petit cri, mais plus de peur de que de mal. Je l’aide à se rapprocher de moi et la caresse du bout de mes doigts. Je vois la pointe de ses seins se dresser, il est temps pour moi de les adoucir et leur chuchoter des mots sans syllabes, remplis d’air chaud, froid et de passion. La nuit fut encore merveilleuse, son plâtre lui imposant une restriction à chacun de ses mouvements lui demandant un appui. Elle doit compenser par un appui sur ses fesses et ses genoux. Je me fais quand même un petit plaisir en suçant ses orteils émergeant de son plâtre. Elle a l’air de littéralement fondre de plaisir, quand je m’amuse à les prendre dans ma bouche et les titiller un à un. L’excitation est à son comble elle a un besoin me sentir en elle. Je fais encore durer le plaisir par des caresses sur les ailes de son petit oiseau, les parties les plus réactives et sources d’excitations supplémentaires. Mon jeu dure jusqu’à la rendre folle, suppliante et ce n’est qu’en dernière limite que je lui donne satisfaction. Elle ne peut se contenter que de bouger son bassin, sa jambe devant rester le long du lit. Sa restriction semble l’exciter encore plus au point qu’elle laissera plusieurs spasmes parcourir son corps avant l’explosion. Elle tombe dans mes bras au bout du plaisir, elle en reçoit encore des ondes de jouissances. Je la couvre de mes bras et je sens son plâtre dur, me remonter la jambe. Il est froid et m’arrache des petits poils, je me retiens de crier, elle a arrêté sa progression. C’est ainsi qu’au petit matin je me suis réveillé avec son plâtre sur ma jambe. Elle qui d’habitude bouge énormément dans le lit n’a pas bougé d’un poil.Quelque part c'est tant mieux pour moi !!

Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Jeudi 12 février 4 12 /02 /Fév 07:02
Hello mes lecteurs,

A l'heure ou vous recevrez ce message je serais sur une ile paradisiaque pour 15 jours, mais je ne vous abandonne pas, j'ai essayé de prendre autant d'avance pour que les articles soient publiés comme à l'habitude. Par contre si il y a un probleme technique, je vous prierais de m'excuser, je me chargerais de rétablir la situation dés mon retour. Laissez moi vos nombreux commentaires et messages, je vous répondrais dés mon retour...
A bientôt je l'éspère !!!!
Par castlover - Publié dans : informations,questions
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Mercredi 11 février 3 11 /02 /Fév 07:30
 

La nuit fut encore très agitée dans la mesure où Aurélie souffrait trop. Même les cachets anti-douleurs n’y faisaient rien. Vers 1h00 du matin, nous sommes tous réveillés par ses pleurs. Nous nous sommes tous retrouvés dans le salon à chercher une solution. Elle se plaignait de douleurs trop importantes sur son avant pied, elle demandait à ce qu’on la libère de ces bandages, cause d’après elle de ces douleurs. Marc voulait l’emmener aux urgences de suite. Mais ayant eu déjà affaire à cet hôpital et leur service d’urgence complètement incompétent, je l’en dissuadais immédiatement. Il fallait attendre le jour et faire le nécessaire pour décrocher un rendez-vous chez l’orthopédiste que je connaissais bien. C’était lui qui m’avait opéré il y a deux ans d’une ligamentoplastie avec succés. Nous décidons d’écouter Aurélie et de lui envoyer ces bandages qui emprisonnent ses orteils. Aurélie malgré la bonne nouvelle appréhende de voir dans quel état ils sont. Marc trouve l’endroit ou la fin de la bande a été inséré par le médecin, elle se trouve sous le gros orteil et son plâtre. La bande se retire petit à petit laissant apparaître son gros orteil petit à petit, déjà là on comprend ce qui se passe. La circulation semble avoir du mal à circuler, il est un peu bleu, mais bien enflé. La bande continue sur le deuxième orteil qui semble être en meilleure forme au niveau de la circulation mais toujours aussi bien enflé. Aurélie ne tente même pas de les bouger de peur d’avoir trop de douleurs supplémentaires. Là où on devient tous inquiets c’est lorsqu’on découvre ses trois derniers orteils, ils ressemblent à rien si ce n’est que des boules de chair tout bleu. Une exclamation générale s’élèves de nos quatre gorges lorsqu’ils sont tous découverts. On comprend qu’elle ait eu mal, ses trois derniers orteils sont en réanimation petit à petit. Ma femme qui s’était tenue à l’écart sur ses cannes, se propose de lui masser les doigts de pieds pour faciliter la circulation. Seule une femme d’après elle peut avoir une telle délicatesse. Elle s’assoit auprès d’Aurélie pour lui prendre sa cheville et elle plaque sa paume sur tous ses orteils. La chaleur de sa main se propage à travers le pied d’Aurélie, elle sent que ses orteils reviennent à la vie. De légers picotements se font sentir petit à petit. Au bout d’une dizaine de minutes la circulation est rétablie, les voila dans leur couleur habituelle. Par contre les 3 derniers on vraiment un problème, malgré la reprise de la circulation, ils restent très enflés et ma femme ne peut à peine les effleurer qu’Aurélie hurle de douleur. D’un commun accord et surtout pour ne prendre aucun risque d’aggraver la situation, on décide de les immobiliser à nouveau. Aurélie insiste pour qu’on la laisse libres. Mais les douleurs étant nettement plus intense que lorsqu’ils étaient immobilisés, la décision semble évidente. Nous décidons de ne pas les serrer autant que le médecin, mais juste leur éviter le plus de mouvements possibles.

Nous ajoutons beaucoup de coton bien aéré pour les positionner entre ses 3 derniers petits orteils, les doigts délicats de ma femme semblent s’en sortir à merveille sans trop provoquer de douleurs. On décide de bander uniquement ces trois en laissant dépasser un petit bout d’orteils pour mieux les surveiller. On voit la première partie entièrement sur les 3ième et 4ième orteils. Le dernier est tellement petit et tellement douloureux qu’on est obligé de le noyer entièrement. Le bandage se termine en englobant toute la partie de son avant pied émergeant de son plâtre. Elle peut maintenant bouger un peu son gros et deuxième orteil de temps en temps, les douleurs se sont nettement atténuées. Ma femme les maintient dans ses mains qu’elle réchauffe. Aurélie apprécie vraiment ce geste et l’en remercie. Après une dernière prise de cachets anti-douleurs, la voila à nouveau dans les bras de morphée. Nous décidons d’en faire autant.

Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Lundi 9 février 1 09 /02 /Fév 07:30
 

Quant à Aurélie, elle est vraiment exténuée, elle aussi a appris à mieux se déplacer, tout dans la délicatesse. Elle qui est énergique et dynamique, doit se résigner à avancer à une allure très lente. Ses aisselles sont très douloureuses et quand elle fait une pause elle préfère s’appuyer sur sa jambe valide, mais à force, elle est obligée de les poser tout de même sur la transverse. Les douleurs semblent être revenues, il est l’heure de reprendre ses cachets anti-douleurs. Elle aussi demande à Marc de l’aider à faire sa toilette, là aussi ses douleurs sont tellement terribles qu’elle doit se résigner à faire une toilette à l’éponge. Marc lui passe une éponge alors qu’elle se tient nue impuissante de faire quoi que se soit sur ses béquilles. Elle se concentre pour que son pied ne touche terre et qu’aucun choc n’ait lieu au niveau de ses orteils bandés. Elle aussi préfère béquiller pied nu dans l’appartement. Les voilà toutes les deux allongée sur le canapé nue sous leur chemise de nuit. Je leur rapproche à chacune une chaise sur lequel elles pourront poser leur plâtre. Ma femme l’utilise de suite, en y rajoutant un coussin pour qu’il soit positionné au plus haut. Mais Aurélie semble être dominée par la peur de la douleur, elle pense avoir les orteils bien boudinés du fait qu’elle n’ait pas le droit de maintenir sa cheville en hauteur. Elle aimerait bien voir dans quel état ils sont, mais les bandages ne sont pas à enlever sans avis médical. Elle demande à ma femme si elle peut utiliser une de ses cannes. Après accord, elle positionne son genou sur le manche de la canne anglaise, ça maintient toujours une partie de sa jambe, élevée.

Nous décidons de nous faire livrer du « japonais », tout le monde adore makis, sushis et sashimis. Nos deux malades n’ont pas droit à l’apéro à cause de leurs cachets anti-douleurs. Mais bon ça n’empêche pas Marc et moi de nous servir un bon petit single malt, notre week-end a tout de même été très harassant. Les filles n’y voient pas d’inconvénient, bien qu’on sente bien qu’un petit liquoreux leur aurait fait plaisir. Celle qui le montre le plus est Aurélie en essayant de nous séduire ou de nous supplier pour avoir juste de quoi tremper sa langue. Mais Marc a déjà eu une fâcheuse expérience qui s’est terminée à l’hôpital pour un de ses amis. Il est donc très catégorique. On décidera pendant leur repas de lui donner une petite goutte du « gris de gris », histoire de la calmer un peu.

Le livreur nous livre une petite demi-heure après. Comme je le connais depuis longue date, il a l’habitude de rentrer boire un verre quand je l’invite. Il se retient de crier son grand étonnement en voyant ma femme, le pied dans le plâtre. « Mais qu’est ce qui vous est arrivé, madame ?? », s’exclame t-il avec son accent très prononcé, mais non moins sympathique. « Je me suis fait une entorse grave en trébuchant avec mes hauts talons. » lui répond elle. Le japonais lui rappelle le touriste à l’hôtel et elle s’esclaffe de rire. Aucun de nous ne la comprend, elle arrive à nous faire comprendre entre deux sursauts de rire ce qui se passait. Aurélie ayant été présente sur les lieux est la première à la suivre. Le Japonais ne comprend pas et se demande si on se moque de lui. Je lui explique qu’un patriote à lui s’est acharné sur ma femme et l’a mitraillé de photos, d’où la comparaison et le fou rire. Le Japonais esquisse un petit sourire, je lui propose un petit verre, mais il a encore une course à faire, il prend congé aussitôt, en souhaitant un bon courage à ma femme. Il espère qu’elle guérira rapidement et qu’il la verra bientôt dans son restaurant.

 

Le reste de la soirée se déroule sans encombre, nous nous amusons à donner à manger aux filles qui sont obligées de rester sur le canapé. Les sushis volent soutenus par nos baguettes, on simulent le balancement d'une personne qui béquille...Une soirée sans se douter de ce qui nous attendait la nuit...


Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
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