Mercredi 18 mars 3 18 /03 /Mars 07:02
 

Je sortis donc de ce restaurant en me promettant de revenir aussi souvent que je le pourrais. Mon excitation était à son comble, elle s’amusait maintenant à m’effleurer discrètement alors que je l’aidais à se remettre debout. Je trouvais que la moindre des occasions était bonne pour m’exciter. Elle posait son pied devant moi, bougeait ses doigts de pied…elle s’éclatait comme une folle. Une fois sorti complètement du restaurant, ce fût le comble. Elle me dit « On se fait une course en béquilles ? ». « Comment ça ? » lui dis-je. « Ben toi tu prends les vieilles en bois et moi comme je suis, je pars avec un peu d’avance tu essayeras de me rattraper. Mais interdiction de poser ton pied droit, ok ? » me lance t-elle. Connaissant mon excitation à marcher avec des béquilles je m’empresse d’accepter. Je me rends vite compte que ces vieilles béquilles ne sont pas du tout adaptées à ma taille. J’ai beaucoup de mal à m’en servir, je sautille un peu sur ma jambe autorisée, plus loin ma femme file à une bonne allure, mais elle s’essouffle au fur et à mesure. Ce n’est qu’à l’entrée de l’immeuble que je ne la rattrape. On est tellement essoufflés tous les deux que la compétition n’a plus lieu d’être, elle tombe pratiquement dans mes bras. Je la soutiens et récupère les vieilles béquilles dans mes mains. Il n’y aura pas de vainqueur dans cette course. Nous sommes loin de nous douter de l’aventure qui nous attend.

Nous atteignons l’ascenseur encore essoufflés par notre course en couple. Une fois entrés dans cet espace restreint, j’appuie sur le bouton « 15 ». Je suis toujours, plus que jamais avec une excitation constante et cette envie d’exploser. Ma femme profite de cet instant d’ « intimité » pour se rapprocher de moi et me déposer un long baiser .D’habitude on se fait un petit jeu en amusant qui consiste à tenir le baiser jusqu’à l’arrivée, même si il y a du monde. Au point où la plupart des habitants de l’immeuble nous appelle les tourtereaux du quinzième. Au 9ième étage, l’ascenseur s’arrête net, nous pensons que c’est encore quelqu’un qui veut l’emprunter et nous nous mettons dans un coin, tout en restant lèvres contre lèvres. Nous apercevons au bout d’un instant que les portes ne s’ouvrent pas. Nous sommes, en fait arrêtés entre le 9ième et le 10ième étage…nous nous regardons, malgré la situation le jeu reste le jeu, d’habitude on joue la tournée de la vaisselle. Celui qui abandonne fait la vaisselle du soir. N’ayant pas droit à la parole, ni l’un, ni l’autre et vu que de toute façon c’était moi qui allait la faire, je me décide à lâcher ses lèvres. On a un petit moment d’hésitation, mais on éclate de rire, du fait qu’on comprend qu’on est coincé dans l’ascenseur.

Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage - Communauté : Fantasme plâtre
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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 07:02
 

Nous descendons donc jusqu’à l’accueil, ma femme est beaucoup plus à l’aise sur les cannes anglaises, même si elles sont beaucoup plus restrictives, dans la mesure où elle ne peut plus utiliser ses mains. Je porte les anciennes béquilles en bois pour les rapporter à notre appartement. Une fois passé le hall de la clinique, il nous faut descendre les quelques marches qui vont nous mener à la sortie. Le restaurant se trouve à a peine 500m, mais cette distance dérisoire semble être importante quand on marche sur trois pattes. Ma femme est essoufflée, les pauses se multiplient. A chaque arrêt elle aimerait poser son plâtre au sol, mais elle n’ose pas, de peur de mettre trop de poids dessus. Je lui propose de le poser sur son pied valide, et à la moindre douleur qu’elle le relève aussitôt. Elle s’applique à poser légèrement le bout de son avant pied sur sa basket, mais l’angle droit que forme son plâtre à sa cheville ne lui donne pas satisfaction. Je lui propose à ma grande joie de le poser sur mes chaussures. Ses petits doigts de pieds ressortent bien sur le noir de mes chaussures. Je la vois s’agiter un peu, je ne saurais jamais si elle le faisait exprès pour voir ma réaction, à la tex Avery, la langue pendante. Mais elle se rendait compte que ça me mettait dans un état d’excitation extrême. C’est ainsi qu’au garde à vous que je pénétrais dans le restaurant. Bien sûr le clic clic des cannes anglaises ne nous permis pas de gagner notre table sans nous faire remarquer, d’autant plus que je tenais dans mes mains les anciennes béquilles. Arrivé à la table, j’aidais ma femme à s’asseoir au mieux, ses orteils avait déjà commencé à enfler légèrement, il fallait les surélever. Une fois que je m’assis, elle me demanda si j’acceptais qu’elle mette sa cheville sur mes genoux. L’espace entre la table et mon genou gauche n’étant pas assez important, la seule solution était la place entre mes jambes. Ses doigts étant en contact direct avec cet organe qui nous donne tant de plaisir, elle sourit en me disant qu’elle n’avait pas perdu sa sensibilité au niveau des orteils. Et là pour la première fois, elle n’arrêta pas pendant tout le repas de maintenir la flamme allumée. Le peu de mouvement que lui permettait le plâtre lui suffisait pour frotter son gros orteil le long de ma verge et le caresser sans arrêt. Je pense qu’elle prit conscience ce jour là que son état ou sa cheville plâtrée me mettait dans un état de forte excitation. Je me demande même aujourd’hui ce que j’ai bien pu manger, certes Japonais, mais je ne sais pas pourquoi je ne m’en rappelle pas du tout. J’ai bien envie de vous dire, à vous lecteur, si vous avez une idée, dites le moi. Mais effectivement ça n’a aucune importance, ce qui s’est passé je m’en rappellerais jusqu’à la fin de mes jours. Même si j’ai vécu plusieurs fois depuis, la même situation, mais la plupart du temps elle était pied nu. Sauf une fois où elle avait une autre blessure, mais ceci est une autre histoire…je la raconterais en privé à ceux qui le voudront.

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Samedi 14 mars 6 14 /03 /Mars 19:30
Par castlover - Publié dans : informations,questions - Communauté : Fantasme plâtre
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Vendredi 13 mars 5 13 /03 /Mars 07:02
 

Aurélie avait passé une nuit très légère n’arrivant pas à trop dormir, elle avait l’air d’être assez fatiguée. Marc et elle furent contents de nous voir. Marc remercia tout particulièrement ma femme qui est venu malgré sa cheville blessée. Il fût doublement surpris quand on lui apprit qu’on était venu à pied de notre appartement. Bon on s’était un peu trompé en estimant mal le temps de trajet, mais ma femme était contente de l’avoir fait. Aurélie était un peu ailleurs, le produit qu’on lui injectait par perfusion commençait à la préparer à l’opération. Sa cheville était toujours mise en extension avec chacun de ses doigts de pieds tractés par un poids. Elle n’avait aucune chance de les bouger, bien que c’était inhabituel et impressionnant, elle ne ressentait plus aucune douleur sur son avant pied. Deux heures avant l’opération, une petite infirmière pénétra dans la chambre avec un chariot rempli de produits et médicaments. Elle devait nettoyer la cheville avec de la « bétadine », elle devait lui enlever l’appareil de traction. Quand nous lui demandâmes si elle voulait qu’on sorte pendant qu’elle s’occupait d’Aurélie, elle répondit qu’au contraire il valait mieux qu’on reste au cas où elle aurait trop de douleur, pour la retenir de faire une bêtise. Elle nous demanda à Marc et moi de nous mettre chacun d’un coté du lit. Marc était à sa droite et moi à gauche, j’étais chargé de plaquer sa jambe, une fois libérée de la traction, pour qu’elle ne bouge pas. L’infirmière enleva dans un premier temps les poids en commençant par le gros orteil et en se dirigeant vers les plus douloureux. Malgré son jeune âge elle a l’air d’avoir assez d’expérience dans ce domaine. Elle sait que ce sont les 3 derniers orteils qui sont les plus sensibles et elle soulève les poids petit à petit, sans à-coups comme sur les autres. Aurélie bien que shootée sent la douleur revenir petit à petit. Elle passe un mauvais moment au fur et à mesure que les poids sont enlevé s, elle serre sa main sur le poignet de Marc qui la rassure du mieux qu’elle puisse. La voilà libérée de tout poids et ainsi que des sangles qui lui enserraient chacun de ses orteils. Elle a pour consigne de ne pas essayer de bouger. Pendant que je lui plaque son mollet pour qu’il ne bouge, l’infirmière procède au nettoyage intégral de sa cheville jusqu’au genou. La cheville est légèrement enflée comme une légère foulure, par contre un gros bleu reste présent au niveau de son avant pied, preuve évidente d’un problème grave. L’infirmière a changé la poche de la sonde urinaire et aussi injecté un nouveau produit dans la perfusion. Aurélie commence à s’endormir petit à petit. Son lit mobile est ensuite dirigé vers la salle d’opération. Nous n’avons plus qu’à attendre une bonne heure avant de voir le chirurgien en sortir. Tout s’est à priori très bien passé, son tendon péronier s’était finalement rompu, elle aurait du être opérée il y a bien longtemps si elle avait tenu compte des nombreuses entorses. Les tendons de ses orteils étaient en piteux état, comme si quelqu’un avait tiré dessus très fortement. Il ne comprend toujours pas comment une telle blessure peut être provoqué par une chute et appui brutal sur ses doigts de pieds, la raison qu’avaient trouvé Marc et Aurélie. Toujours est il que les tendons ont été recousus, avec le temps et de l’immobilisation, ça devrait se guérir à 70%. Il se peut que ses deux derniers ne guérissent pas complètement, tout dépendra de son sérieux. Pour l’instant elle est en salle de réanimation. Elle a la cheville plâtrée ainsi que ses doigts de pied aux ¾, seul son gros orteil est plus ou moins libre, l’ensemble reposant sur une plateforme couramment appelé « toe plate ». Il va falloir prévoir bien huit semaines sans appui avec un changement de plâtre à 4 semaines lors de la prochaine visite de contrôle. Le médecin prévoit de la garder deux ou trois jours à la clinique, le temps de soulager ses douleurs par des perfusions. Il est inutile de l’attendre, elle va regagner sa chambre dans la soirée et va sûrement se réveiller que le lendemain en fin de matinée. De retour dans la chambre pour récupérer nos affaires, ma femme s’aperçoit que des nouvelles cannes toutes neuves attendent Aurélie. Le médecin a déjà tout prévu. On décide de récupérer les cannes de ma femme qui sont devenues inutiles. Les béquilles en bois commencent à l’énerver trop. J’ajuste les cannes à la bonne hauteur pour que son béquillage soit le plus facile possible. Marc nous propose de nous raccompagner, mais comme nous n’avons pas encore déjeuné, ma femme et moi décidons de nous rendre au restaurant qui se trouve à mi chemin de notre appartement. Marc préfère passer à son bureau et profiter qu’Aurélie n’ait pas besoin de lui cet après-midi.


Par castlover
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Mercredi 11 mars 3 11 /03 /Mars 07:02
 

Le lendemain est un jour important pour Aurélie, elle va se faire opérer à 14h. Ma femme veut à tout prix la voir avant pour lui remonter encore à nouveau le moral. Quand je me réveille je la vois déjà s’affairer dans la cuisine sur ses béquilles. Elle sautille sur son pied valide, se pose ici et là, repars à l’autre bout. Je continue à observer tous ces gestes quotidiens qu’elle apprend à gérer sur une seule jambe. Il y a même un moment ou elle transporte sa tasse de café délicatement en s’aidant de ses épaules pour déplacer ses béquilles alors que ses mains portent le bol. Je lui propose mon aide, mais elle refuse, elle préfère s’habituer dés maintenant pendant que je suis encore là, comme elle va se trouver seule d’ici quelques jours. Elle sautille finalement sans ses béquilles, elle me dit que ça lui rappelait une fois où elle s’était coupée l’avant pied sur une plage avec un reste de bouteille bien enfoui dans le sable. La coupure avait été profonde et avait failli sectionner un nerf. Elle avait eu 3 point de sutures et a dû garder un énorme bandage pendant plus de 2 semaines. Elle n’avait pas le droit de prendre appui sur son avant pied et on lui avait fourni un talon qui lui permettait de marcher presque normalement. Mais à la maison elle préférait sautiller sur un seul pied, c’était plus pratique. Elle se rappelait donc de cette époque avec mine de rien des petits problèmes que ça engendrait pour prendre sa douche. « Mais bon, maintenant que je suis avec toi, je pense que je vais prendre plusieurs douches par jour » me dit elle en riant. Ah la coquine, je la reconnais bien là.

Il était temps de nous préparer pour aller voir Aurélie. J’aidais ma femme à enfiler son jean et un petit tee-shirt qui lui moulait bien le corps. Elle était devant moi sur ses béquilles et elle me demanda arrivée à la porte si je n’avais rien oublié. Je lui répondais que j’avais bien pris les papiers, les clés de la voiture, elle…Elle me dit «  Heu tu es sûr que je peux sortir comme ça ?? Je sais que je ne peux pas mettre de chaussure à ma cheville plâtrée, mais j’ai droit quand même à une chaussure, une petite basket…s’il te plaît. » me dit elle d’un ton suppliant. Effectivement elle était pied nu, son joli petit pied était bien mis en valeur par la couleur de son jean. Je lui demandais de s’asseoir et pris son pied dans mes mains pour lui enfiler sa basket, mais avant elle eût droit à un petit bisou sur sa jolie cheville. Elle me dit «  Ah non tu ne vas pas recommencer.. » en se mettant debout. Elle se dirigea lentement vers la sortie le plâtre pendant. Les béquilles n’étaient pas du tout adaptées à sa taille. Elle n’avançait pas vite et devait les ajuster sans cesse, ça l’énervait petit à petit. J’avais toujours une petite longueur d’avance sur elle. Je m’arrêtais le temps qu’elle me rejoigne, elle me demandait de l’attendre, mais à chacun de nos pas, sans le faire exprès je la distançais. La clinique étant juste deux rues plus loin et le soleil étant au rendez vous, elle avait insisté pour qu’on y aille à pied, du moins en béquilles pour elle. Elle se rendit vite compte que la notion de distance était complètement différente quand on se déplace sur trois pattes. On mit une bonne demi-heure pour un trajet qui prenait dix minutes à pied. Elle s’arrêta dans une petite boutique de chocolat, pêché mignon d’Aurélie, ça allait lui faire plaisir. La vendeuse qui connaissait bien ma femme fût bien étonnée de la voir avec un plâtre et des béquilles. Après lui avoir raconté son histoire en résumé, ma femme choisit un petit assortiment de chocolats au lait, les préférés d’Aurélie. Elle se rendit compte qu’elle attirait le regard de tout le monde, dans la boutique, dans la rue… Contrairement à sa première impression, elle ne ressentit aucune gêne de se balader les doigts de pied visible. Elle se dit même qu’elle prendrait bien rendez vous pour les rendre encore plus beau. Elle changeait au fut et à mesure, commencer à aimer les sandales ouvertes qui laissait apparaître le pied presque nu. Quand elle rencontrait quelques femmes qui en portait, elle se disait que ses pieds étaient nettement plus mignons et qu’elle devrait le leur montrer. C’est sur ses longues réflexions hautement existentielles qu’elle arriva à l’accueil de la clinique. Elle avait assez mal à sa jambe valide à force de lui faire porter tout son poids. Ses douleurs aux aisselles étaient limites supportables, elle serrait les dents chaque fois qu’elle devait s’appuyer pour faire une petite pause. L’ascenseur était bondé, au bout du 3ième nous nous décidâmes à nous y engouffrer malgré le monde. Il y eut quelques mouvements de foule et on lui cogna les doigts de pied à plusieurs reprises. Les personnes s’excusaient en regardant ses orteils, mais bon le mal était déjà fait. Elle essaya de positionner sa cheville vers l’arrière, mais ils touchaient le sol si elle n’y faisait pas attention. Nous fûmes bien content de sortir de cet ascenseur en nous faufilant à travers la foule. Ce fût assez délicat pour ma femme, comme personne ne s’apercevait qu’elle était sur une seule jambe et qu’il lui fallait un peu d’espace pour poser ses béquilles. Elle finit par sortir à cloche pied pour plus de facilité et elle se remit à béquiller dés qu’elle fût dans le couloir. La chambre d’Aurélie se trouvait au bout du couloir. C’était une chambre double, le lit voisin était inoccupé, du moins pour l’instant.


Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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