Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 07:02
 

Nous descendons donc jusqu’à l’accueil, ma femme est beaucoup plus à l’aise sur les cannes anglaises, même si elles sont beaucoup plus restrictives, dans la mesure où elle ne peut plus utiliser ses mains. Je porte les anciennes béquilles en bois pour les rapporter à notre appartement. Une fois passé le hall de la clinique, il nous faut descendre les quelques marches qui vont nous mener à la sortie. Le restaurant se trouve à a peine 500m, mais cette distance dérisoire semble être importante quand on marche sur trois pattes. Ma femme est essoufflée, les pauses se multiplient. A chaque arrêt elle aimerait poser son plâtre au sol, mais elle n’ose pas, de peur de mettre trop de poids dessus. Je lui propose de le poser sur son pied valide, et à la moindre douleur qu’elle le relève aussitôt. Elle s’applique à poser légèrement le bout de son avant pied sur sa basket, mais l’angle droit que forme son plâtre à sa cheville ne lui donne pas satisfaction. Je lui propose à ma grande joie de le poser sur mes chaussures. Ses petits doigts de pieds ressortent bien sur le noir de mes chaussures. Je la vois s’agiter un peu, je ne saurais jamais si elle le faisait exprès pour voir ma réaction, à la tex Avery, la langue pendante. Mais elle se rendait compte que ça me mettait dans un état d’excitation extrême. C’est ainsi qu’au garde à vous que je pénétrais dans le restaurant. Bien sûr le clic clic des cannes anglaises ne nous permis pas de gagner notre table sans nous faire remarquer, d’autant plus que je tenais dans mes mains les anciennes béquilles. Arrivé à la table, j’aidais ma femme à s’asseoir au mieux, ses orteils avait déjà commencé à enfler légèrement, il fallait les surélever. Une fois que je m’assis, elle me demanda si j’acceptais qu’elle mette sa cheville sur mes genoux. L’espace entre la table et mon genou gauche n’étant pas assez important, la seule solution était la place entre mes jambes. Ses doigts étant en contact direct avec cet organe qui nous donne tant de plaisir, elle sourit en me disant qu’elle n’avait pas perdu sa sensibilité au niveau des orteils. Et là pour la première fois, elle n’arrêta pas pendant tout le repas de maintenir la flamme allumée. Le peu de mouvement que lui permettait le plâtre lui suffisait pour frotter son gros orteil le long de ma verge et le caresser sans arrêt. Je pense qu’elle prit conscience ce jour là que son état ou sa cheville plâtrée me mettait dans un état de forte excitation. Je me demande même aujourd’hui ce que j’ai bien pu manger, certes Japonais, mais je ne sais pas pourquoi je ne m’en rappelle pas du tout. J’ai bien envie de vous dire, à vous lecteur, si vous avez une idée, dites le moi. Mais effectivement ça n’a aucune importance, ce qui s’est passé je m’en rappellerais jusqu’à la fin de mes jours. Même si j’ai vécu plusieurs fois depuis, la même situation, mais la plupart du temps elle était pied nu. Sauf une fois où elle avait une autre blessure, mais ceci est une autre histoire…je la raconterais en privé à ceux qui le voudront.

Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage - Communauté : Fantasme plâtre
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