Mercredi 14 janvier 3 14 /01 /Jan 07:30
Ma femme et moi la voyons sortir lentement du cabinet du médecin, on n’est pas rassuré, je descends de voiture pour lui ouvrir la porte, elle avance les yeux fixés sur sa cheville plâtrée. Elle met plus de 5 minutes pour parcourir, les dizaines de mètres qui la séparent de la voiture. Marc nous met au courant en la devançant, le temps qu’elle nous rejoigne on sait tout ce qui s’est passé. On l’aide à s’installer à sa place, on n’en revient pas des douleurs qu’elle ressent à chacun des mouvements, on a l’impression qu’il s’agit d’une fracture. Malgré sa résistance à la douleur légendaire, elle laisse échapper quelques petits cris de douleurs. On se rappelle le courage dont elle a fait preuve lors de son accident de voiture avec ses diverses fractures jambe et hanche et son plâtre qui a forcé le respect à tous ses amis. Son séjour à l’hôpital pendant plus de 15 jours avec sa jambe en traction, et les fameux inconvénients du fait de devoir rester alitée. Son retour à son appartement avec le plâtre qui lui allait de la hanche aux orteils pour sa jambe blessée et jusqu’au genou pour l’autre. Elle ne pouvait rester que debout ou couchée. Là encore elle préférait rester debout en gardant l’équilibre sur son unique jambe valide. Même là sa bougeotte prenait le dessus et on se rappelle que vers le dernier mois de son plâtrage qu’elle a fait quelques sorties non moins remarquée dans son quartier avec ses béquilles qui n’étaient pas du tout discrètes du fait du petit clic qu’elles produisaient à chacun de ses pas. Sa marge de manœuvre n’étant pas énorme, vu l’écart entre jambes que lui in posait son plâtre, elle ne pouvait balancer son corps qu’à demi, en gardant ses jambes derrière. On avait choisi un restaurant où elle pouvait manger debout. Elle était restée appuyée sur ses béquilles, ses mains étant occupées, on s’était relayé pour lui donner à manger à tour de rôle. Le coté convivial et nos plaisanteries sans la prendre en pitié lui donnait le moral. Les toilettes lui étant impossible de pratiquer, elle détestait ces moments difficiles où l’aide d’une infirmière lui était nécessaire. De ce fait elle regrettait beaucoup de ne pas pouvoir manger à sa faim. La sonde urinaire qu’elle devait porter pour ses petits besoins faisait aussi partie des choses des plus désagréables de sa période d’immobilisation complète. Puis quand sa hanche fût guérie, elle ne portait plus qu’un plâtre du haut de sa jambe gravement fracturée à ses orteils. Pour certains une jambe plâtrée aurait été un handicap important, mais pour elle ce fût une porte vers la liberté, plus besoin de sonde ou de toilettes inconfortable. Elle pouvait enfin sortir. Sa malléole étant elle aussi fracturée en plus du tibia et du fémur, son plâtré était toujours orientée bizarrement vers l’intérieur. Son béquillage s’en trouvait d’autant plus difficile mais beaucoup moins contraignant que son plâtre précédent. On la voyait presque à chaque sortie entre amis, tout le monde l’aidait du mieux qu’ils pouvaient. C’est ainsi qu’elle fit connaissance de Marc et qu’ils commencèrent à sortir ensemble. Marc qui était encore plus dynamique de nature qu’elle, avait au début du mal à l’attendre quand elle béquillait à ses cotés. Puis petit à petit l’amour prenant place, il adorait prendre soin d’elle, lui ouvrir les portes, l’aider à se déplacer sans prendre de risques. Elle fût encore plus libérée quand elle ne portait plus qu’un petit plâtre qui lui remontait jusqu’au genou. Sa dernière fracture avait du mal à se consolider, on parlait même de lui mettre un fixateur externe si ça ne guérissait pas...
Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Lundi 12 janvier 1 12 /01 /Jan 07:30
Elle voit le médecin sortir d’un tiroir des bandes de gaze et du coton. Il insère des bout de cotons entre chacun de ses orteils et les bande un a un en commençant par les plus douloureux. Les mains expertes du médecin sexagénaire évitent toutes douleurs inutiles. L’espace entre chacun des orteils est tout à fait régulier, seul un petit bout est visible. L’ensemble, une fois terminé forme une boule blanche aplatie d’où on voit émerger des toutes petites parties de chairs que laissent apparaître ses orteils. La pédicure n’est plus mise en évidence. Le médecin avec une note d’humour lui dit « Au moins vous pourrez dire que vous avez les doigts de pied en éventail !!! Essayez de ne pas faire de gestes brusques, le tendon n’étant plus rattaché à quoi que ce soit, les douleurs risquent d’être très violentes. Mais ne vous inquiétez pas tant que vous ne posez  pas le pied à terre, il n’y aura pas de problème. ». Sur ce il lui prescrit des anti-douleurs. Au moment de sortir, il voit que Marc la reprend dans ses bras, il est étonné qu’elle n’ait pas de cannes pour se déplacer, il lui faut un peu d’autonomie. Il leur dit qu’il va leur prêter une paire de béquilles, ils les rapporteront quand ils passeront la prochaine fois dans les alentours. Au grand étonnement de tous, il leur tend des vraies béquilles qui se positionnent sous les aisselles, c’est tout ce qu’il lui reste, et il avoue qu’il aimerait s’en débarrasser, finalement. Ce sont des béquilles entièrement en bois, y compris la partie sous aisselles. Aurélie se met debout et le médecin les ajuste à sa hauteur. En fait le médecin explique qu’il ne faut pas qu’elle s’appuie complètement sur ses aisselles, ils ne doivent servir que pour les coincer. Elle doit utiliser ses mains sur la petite poignée transversale et y prendre appui comme sur des cannes anglaises traditionnelles. Aurélie est maintenant positionné entre ses nouvelles amies les béquilles. A l’arrêt elle peut poser ses aisselles sur ses béquilles, mais ça lui impose de se courber un peu en avant. Elle a l’impression qu’elle est une soumise devant ces deux hommes qui l’observent de haut. Son premier pas est un petit saut, mais une douleur déchirante la rappelle à l’ordre. Le médecin lui rappelle qu’il ne faut pas qu’elle sautille, le tendon va se déplacer encore. Il faudrait qu’elle garde son pied le plus parallèle au sol, juste devant elle. C’est ainsi qu’elle effectue son premier pas sur ses béquilles en bois, elle a une vue sur sa cheville vu qu’elle la maintient devant ses yeux. Son allure est extrêmement lente, la moindre accélération lui fait sursauter de douleur.
Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 08:05


Voici un aperçu de ce qui vous attend dans les jours prochains !!! si ça peut vous faire patienter ce week-end. A lire de bas en haut .


Prenez le temps de vous abonner à la newsletter (gratuit) , une histoire de bienvenue vous sera envoyé !!!!

Je  réserve une surprise de taille à tous mes abonnés à la newsletter pour le début du mois de février, mais comme pour l'instant c'est au stade de projet, je leur divulgerais sous peu ce qui les attend.
Par castlover - Publié dans : informations,questions - Communauté : Fantasme plâtre
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Vendredi 9 janvier 5 09 /01 /Jan 07:30
 

Nous arrivons dans le village du médecin, il n’est pas difficile à trouver ? Ma femme et moi décidons de rester dans la voiture. Marc porte Aurélie dans le cabinet qui est complètement vide, la porte du médecin est grande ouverte. Ce dernier les invite à rentrer directement, il indique le banc d’auscultation sur lequel Marc la dépose. Aurélie grimace de douleur maintenant à chaque mouvement brusque. Le médecin prend connaissance de la situation et pourquoi elle est plâtrée. Au fil des questions/réponses il commence à deviner ce dont elle souffre. Il examine ses orteils, seule partie visible et libre de sa cheville. Il lui demande de les bouger, ce à quoi Aurélie répond qu’il lui est impossible de le faire, elle a trop mal. Il lui dit «  dites moi si vous avez mal quand je vous touche ». Il commence par chacun des orteils en les bougeant un à un. Le gros orteil et ses 2 voisins ne posent aucun problème. Par contre le 4ième et le 5ième déclenchent une vive douleur lorsqu’il les bouge. «  C’est bien ce que je pensais, votre fameux tendon, normalement termine sa course juste un peu avant les orteils, et là je ne sais pas comment, mais votre hyperlaxité est plus importante qu’on le pense, je ne sais même pas si votre tendon est toujours fixé à son insertion. » déclare t-il. La dessus il glisse délicatement son doigt entre le plâtre et le pied pour vérifier. Mais Aurélie souffre déjà lorsqu’il a introduit son doigt et fais signe de beaucoup d’appréhension. Marc la raisonne en lui disant qu’il faut bien qu’il l’examine, on est venu pour ça. Pendant ce temps le médecin est arrivé au point d’insertion, il sent bien le tendon, la douleur est intense, il essaye tout de même de savoir si il n’est pas totalement sorti. Le diagnostic semble évident, le tendon est en libre circulation, il n’a plus aucune attache. D’où les douleurs de manière aléatoire. « Dites moi ce problème ne date pas d’hier, vous n’aviez pas des douleurs depuis quelques temps déjà ? Parce qu’un tendon qui lâche comme ça, ça ne se fait pas facilement » lui dit le médecin. Au grand étonnement de Marc, Aurélie avoue que ça fait quelques mois maintenant qu’elle ressentait régulièrement des douleurs, mais elle ne s’en est jamais inquiétée, et c’est depuis la veille de son plâtrage que la douleur est devenue presque constante. Elle n’a rien voulu dire à Marc pour ne pas l’inquiéter. Le médecin est bien embarrassé, dans ces cas là une opération est nécessaire. Mais dans la région il n’y a pas de service orthopédique à moins de 50 Km. Le mieux est de consulter au plus vite un orthopédiste prés de chez elle. Aurélie est sous le choc du mot opération, mais elle se dit que ce vieux docteur de campagne doit se tromper, ça ne peut pas être aussi grave.

Le mieux qu’il puisse faire en attendant c’est immobiliser totalement son pied en empêchant tout mouvements à ses orteils et en lui interdisant de poser le pied au sol, de toute façon elle ne peut plus. Aurélie se demande comment on peut immobiliser des orteils...

Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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Mercredi 7 janvier 3 07 /01 /Jan 07:30
 

Je pensais pendant le trajet à cette excitation que ressentait Aurélie, savait elle qu’elle n’était pas la seule à la ressentir. Que toute une population bien spécifique masculine et féminine aimait porter un plâtre. La plupart d’entre eux gardait cet attrait pour eux, pensant qu’ils étaient seuls, d’autres plus expressifs pratiquaient le plâtre en l’appliquant eux même pour de très courtes périodes. Je me demandais si je pouvais lui en parler sans me dévoiler complètement, là était le point embarrassant de la plus part d’entre nous dont la principale peur est l’incompréhension totale ou faire l’objet d’une moquerie générale… Je me disais que j’aviserais bien en fonction de la situation…

Nous avions projeté de nous rendre chez les parents de la mariée pour passer l’après midi et terminer la soirée avec les restes du mariage. C’était une belle demeure bien provinciale des années 50, bien aménagée et restaurée tout en gardant son cachet authentique. Une très belle piscine était aménagée au milieu du jardin, comme le temps s’y prêtait, la plupart des invités s’y jetèrent. Ma femme avait récupéré ses béquilles et Aurélie avait trouvé un rythme de croisière adapté à son handicap. Elle ne faisait plus la fière mais s’appliquait à boitiller en faisant bien attention de bien positionner sa cheville à chacun de ses pas, toujours en relevant ses orteils. Je la vois tenir fermement la main de Marc tout en se collant à lui du mieux qu’elle puisse. Je sens toujours son excitation qui n’a pas l’air de s’apaiser, vu ses demandes incessantes d’attention auprès de Marc.

Les parents de la mariée connaissant depuis leur enfance nos dames plâtrées, les accueillent avec grande compassion. Ils se demandent ce qui est arrivée encore à Aurélie, elle allait bien, hier contrairement à ma femme. Aurélie leur raconte son aventure. A mon grand étonnement ils lui répondent que déjà petite elle jouait souvent au docteur avec leur fille et son frère. C’était la seule qui simulait des journées entières une blessure aux pieds. Et puis comme par punition divine elle avait eu plusieurs entorses plâtrées et cette fameuse fracture qui a été le summum. Alors de la voir de la sorte ne les étonnait pas plus que ça, finalement. J’en apprenais donc encore plus sur la miss Aurélie qui n’en était pas à son premier plâtre et qui a priori vu le nombre d’entorses à son actif confirmait bien le diagnostique d’hyperlaxité du médecin. Il fallait qu’elle le prenne au sérieux !!!

Les filles auraient bien aimé piquer une tête dans la piscine comme tout le monde, elles doivent se contenter de se déchausser de leur unique chaussure et de marcher ou béquiller pied nu dans l’herbe jusqu’à la piscine. Elles peuvent juste tremper leur cheville non plâtrée dans l’eau, l’autre étant à ne mouiller sous aucun prétexte. Les voila donc assises cote à cote au bord de la piscine, regardant les autres s’éclater. Marc et moi nous leur tenons compagnie, histoire de soulager leur désarroi. Certaines personnes dans la piscine compatissent à leur état et se sentent tellement gênés qu’ils finissent par en sortir. Devant ce malaise grandissant, et ne voulant pas gâcher l’après midi, les filles proposent de s’éloigner de la piscine et de se mettre un peu plus loin. Bizarrement leur chaussure étant restée un peu plus loin, elles y vont pied nu. Je suis bien étonné par ma femme qui a bien changé d’attitude depuis son plâtrage. Même la traversée difficile d’une allée de gravillons ne lui fait pas peur, malgré la délicatesse à béquiller sur un terrain blessant. Aurélie a moins de mal à traverser cette allée, vu qu’elle n’a pas de saut à effectuer sans les béquilles. Pendant le chemin, je ne sais pas comment, les discussions nous amènent à former deux groupes, Marc et moi nous nous retrouvons avec la compagne de l’autre.

J’en profite pour aborder le sujet délicat de l’attrait du plâtre avec Aurélie :

«  Alors comme ça tu aimais jouer à la patiente au pied cassé, quand tu étais jeune ? » je lui dis.

« En fait je pense que je n’ai pas grandi à ce niveau là…A part la fois où je ne me suis pas ratée avec mon accident et mon gros plâtre, j’aime toujours jouer à l’éclopée.. » me répond elle.

«  Tu sais qu’il y a des gens qui aiment ça particulièrement et d’autres qui aiment bien leur apporter assistance. » je continue.

«  Je sais, je sais, pendant ma période plâtrée, j’ai largement eu le temps de creuser le sujet, tu penses bien en 12 semaines...J’ai découvert toute une communauté de «  casters », on les appelle ainsi, tu sais. Hé au fait comment tu sais déjà tout ça toi ? » me demande t-elle.

«  Ben en fait moi je vais t’avouer une chose, de voir une cheville plâtrée de femme m’excite vraiment, et je crois que j’ai fait des recherches sur le web, un peu comme toi. Je me suis rendu compte que je n’étais pas seul au monde avec ce fantasme, si on peut dire. » lui dis je.

« Attends un peu…tu veux dire qu’on serait des « casters » tous les deux ?? Ce serait génial !!! Hé, hé bon je comprends mieux pourquoi tu es aux petits soins avec ta femme, tu vas être aux anges pendant 6 semaines, gros veinard !!! » me lance t-elle.

« Alors là j’en reviens pas c’est la première fois que je rencontre un caster, il faut qu’on en discute de tout ça » lui dis je, comme on rejoignait Marc et ma femme.

« Oui, oui shhhhttt, restons discrets. » me chuchote t-elle.

L’après midi me semble longue j’ai envie de partager tellement de choses avec Aurélie que j’ai du mal à participer aux évènements, surtout que maintenant qu’on s’est un peu découvert, notre relation s’en est trouvée modifiée. Bien qu’on ne soit nullement attirés l’un vers l’autre, nous avons quand même quelque chose qui nous rapproche. Elle s’amuse quand même à s’arranger à trouver une position qui me permet d’avoir une vue unique sur ses orteils. A mon tour je me fais un malin plaisir à lancer des phrases se rapportant à son plâtre ou en lui apportant de l’aide ou en la mettant en difficulté pour marcher. Je me rends vite compte qu’elle adore se sentir dépendante, de devoir espérer de l’aide pour s’en sortir. Mes multiples expériences de la journée me permettent de mieux en mieux cerner les véritables aspects de sa passion. Elle prétexte une douleur soudaine et se met à boiter énormément. Elle sautille de plus en plus en essayant de ne pas poser son plâtre à terre. Pour moi elle simule et elle s’éclate de voir tout le monde prendre soin d’elle et de se sentir comme étant le centre du monde. Beaucoup de personnes la soutiennent ou lui viennent en aide. Quelle actrice formidable, elle fait. Elle confirme ma théorie quand elle passe devant moi et me fait un clin d’œil. En tout cas ses petits jeux nous mettent dans un état d’excitation quasi intenable. Nous avons qu’une hâte, nous assouvir. La soirée nous semble lente, nous nous défoulons sur nos moitiés la nuit venue. Ma femme et Marc nous raconteront le lendemain à chacun de nous que la nuit fût mémorable. Marc en tant qu’homme est le plus expressif quand on se retrouve seuls. Il a trouvé Aurélie très entreprenante malgré son plâtre qui a l’air de l’exciter à un point inédit. J’essaye de lui faire comprendre sans rentrer dans les détails que quelque part c’est une sorte de dépendance qu’elle doit ressentir et qui sait peut être sans le savoir elle doit aimer ça. Il commence petit à petit à saisir mon message et se dit que ça va lui plaire. Il me remercie pour ces petites explications, il m’a l’air d’être très content de ce qu’il vient entendre. Je sens qu’il a des idées qui lui viennent à l’esprit, je me dis des fois qu’il est un peu bizarre. Alors quand il a des idées il m’effraie toujours un peu. Je décide de le surveiller un peu de loin quand même. Le lendemain est notre journée de retour en région Parisienne. Nous nous préparons à rentrer, ma femme et moi attendons Marc et Aurélie à l’accueil. Je les vois arriver enfin en haut de l’escalier. Aurélie est dans les bras de Marc. Ce dernier est tout fier de la porter dans ses bras, vu la stature plutôt imposante, on a l’impression que c’est une poupée dans ses bras. Le visage d’Aurélie n’est pas très souriant, plutôt un peu grave. Je pense de suite à encore une de ses comédies et je lui demande si ça va. Elle me répond qu’elle n’arrive plus à poser le pied à terre ! Je n’apprendrais que plus tard les raisons de sa blessure, pour résumer la nuit fut très mouvementée et connaissant leur tendance un peu « bondage », ils ont essayé de nouvelles positions qui ont plutôt été fatales pour la cheville d’Aurélie. Elle pense qu’une torsion violente malgré le plâtre à du provoquer une blessure à sa cheville. En tout cas la situation est telle qu’elle ne peut plus poser sa cheville à terre. Nous ne savons pas si on doit l’emmener aux urgences de suite ou si ça peut attendre d’être dans sa ville. De toute façon il fallait qu’un médecin l’examine, ses orteils complètement boudinés confirmaient qu’il y avait un gros problème. L’accueil nous indique que le médecin du village consulte ce matin et qu’en principe il n’y a pas trop de monde à cette heure ci. Nous décidons donc par précaution de le consulter avant de prendre la route. Ma femme devient de plus en plus experte en béquillage, elle a adopté une allure normale de marche. Marc préfère porter Aurélie jusqu’à la voiture que l’aider à sautiller. Aurélie aurait bien aimé cet instant où une dépendance totale semble évidente, mais des douleurs lui rappellent que ce n’est pas du cinéma.


Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
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