Dimanche 28 décembre 7 28 /12 /Déc 09:55
Bonjour, vous n'êtes pas seul à apprécier ces récits, ce qui veut dire que bon nombre de personnes apprécient les plâtres sur eux même ou sur le sexe opposé. Pour ceux qui ne connaissaient pas l'existence de cette communauté de "casters" à travers le monde, je vous le ferais découvrir petit à petit dans mes récits. En attendant faites comme "M" (mon unique lecteur réel, le seul à réagir), gardez votre anonymat et réagissez pour me dire ce qui vous plairez de lire. Il n'y a aucune honte à donner son avis sur cette attrait, du moment que vous restez anonymes. Alors à vos claviers !pour les commentaires ou MP !!!!!
Par castlover
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Jeudi 25 décembre 4 25 /12 /Déc 09:23
 

Nous nous installons à la table voisine, l’allée centrale nous sépare. Ma femme se hâte de poser son plâtre sur mon genou, son pied se trouve en plein dans l’allée. Ce geste ne passe pas inaperçu de tout le monde, beaucoup de regards se posent sur son plâtre. Aurélie lui fait même remarquer que ses orteils sont assez enflés, c’est peut être pas normal. Marc aussi pose ses yeux dessus et a du mal à les quitter. Je ne sens aucun gêne de la part de ma femme, contrairement à mon attente. Cette nouvelle me fait plaisir, je sais maintenant que je vais passer de bons moments pendant les six semaines à venir. Encore mieux elle me chuchote à l’oreille qu’elle voudrait bien que je lui masse les orteils, pour activer un peu la circulation, en échange elle me fait mes tartines, comme elle a ses deux mains de libre. Me voila donc mangeant mes tartines de la main droite et lui massant ses jolis orteils de la main gauche. Ils sont un peu froids, je les frotte un peu des deux mains pour les réchauffer, elle apprécie grandement la chaleur monter. Marc me dit tout haut que j’ai bien de la chance de m’en occuper si bien. Aurélie lui tend sa cheville et lui dit qu’elle aussi elle aimerait qu’on lui masse la cheville. Avoir dansé toute la nuit avec des talons lui ont fatigué les chevilles. Elle se déchausse aussitôt et lui pose sa cheville gauche qui semble sur le coup un peu enflé. Un léger bleu semble apparaître au niveau de la malléole. Marc le lui fait remarquer qu’elle s’est peut être aussi tordue la cheville. Aurélie lui confirme qu’hier soir son talon à glissé plusieurs fois, comme à son habitude. Mais elle a l’habitude se faire souvent des entorses, elle s’en est jamais inquiétée, ça lui fait mal un petit peu une petite semaine et ça passe. Marc lui fait remarquer qu’il faudrait peut être consulter un médecin, que ce n’est pas normal qu’elle se la tord aussi souvent.

« Hyperlaxité » s’exclame un vieux monsieur à la table voisine. « Excusez moi, je suis médecin et j’ai entendu votre conversation, si vous le permettez je veux bien examiner votre cheville, je suis l’oncle du marié, après tout on fait partie de la même famille maintenant. »

Aurélie lui répond que c’est sûrement rien de grave comme d’habitude ça va passer dans quelques jours, qu’elle ne va pas le déranger pour rien. Marc prend le dessus et lui dit que ça ne coûte rien de lui monter cette cheville. Après quelques hésitations et quelques arguments lancés par nous tous et ma femme aussi, lui prouvant qu’il faut prendre au sérieux ces entorses, Aurélie se décide à se faire examiner. Le médecin lui prend délicatement sa cheville et l’examine avec soin, en lui faisant faire des mouvements de torsions. «  C’est bien ce que je pensais…vous êtes comme on dit hyperlaxe…vous voyez quand je vous fais ce mouvement votre tendon péronier latéral passe devant la malléole et il ne devrait pas, normalement. Si jamais vous vous tordez violemment votre cheville, ce serait très grave et très douloureux  ». Pour illustrer sa théorie il lui tourne doucement sa cheville et une douleur se déclenche aussitôt. La douleur s’arrête dés que la pression exercée diminue. «  Vous comprenez, ce que je veux dire, si vous ne faîtes rien ça risque de vous arriver un jour ou l’autre et la douleur sera beaucoup plus importante » Aurélie se tient encore la cheville, la douleur fut de très courte durée mais très effrayante. «  Là je pense que pendant la soirée d’hier votre tendon a dû faire quelques allers retours d’où cette petite bosse et le léger bleu. Ce n’est pas grave pour l’instant, mais il faudrait penser à consulter un orthopédiste rapidement. Mais dans l’immédiat il faudrait immobiliser un minimum cette cheville, à mon avis, ça éviterait que vous vous fassiez mal à nouveau. » Sans même attendre une réponse de la part d’Aurélie, le médecin lui propose de lui faire un strapping avec des bandes qu’il a toujours dans sa sacoche qui se trouve dans sa voiture. Le temps de son absence, Aurélie commence à réaliser ce qui lui arrive, nous essayons de la rassurer en lui disant que c’est bien de prendre au sérieux cette histoire avant qu’il ne soit trop tard, l’essentiel c’est d’éviter des complications.

On voit réapparaître le médecin avec son gros cartable, il a l’air un peu embarrassé et explique qu’il n’a plus de bande d’élastomère, par contre il lui reste des bandes plâtrées et une talonnette, ce qui est beaucoup mieux comme contention. Elle pourrait toujours marcher avec et l’immobilisation sera beaucoup plus efficace, en attendant le rendez vous chez l’orthopédiste. Contrairement à la tournure nouvelle que prend cette histoire, nous sommes un peu surpris par la réaction d’Aurélie qui accuse le coup et semble même être contente de devoir porter un plâtre de marche. Le médecin se dit qu’elle est plutôt raisonnable comme patiente. Il lui propose de faire le plâtre dans sa chambre, comme il a déjà rendu la clé de la sienne.

Marc accompagne le médecin et aurélie dans la chambre, alors que ma femme et moi continuons de déjeuner, toujours avec le pied plâtré sur mon genou. Elle me dit que finalement elle va se sentir moins seule avec son plâtre, bien qu’elle soit un peu jalouse qu’Aurélie ait droit à l’appui et pas elle. Nous continuons à plaisanter sur le sujet, jusqu’au moment où on voit apparaître les nouveaux mariés. Après un accueil comme il se doit pour l’occasion et des ovations générales, les mariés s’installent prés de notre table. Nous leur racontons la dernière aventure qui est arrivée à Aurélie. Ils en sont désolés et nous propose de rester encore quelques jours sur place, ils avaient réservés deux chambres pour leurs parents mais ils ont eu tous les deux un imprévu et ils sont partis ce matin très tôt alors que leur chambre est déjà payée. Marc et moi sommes indépendants et pouvons nous permettre de prendre quelques jours. Ma femme est déjà en arrêt maladie. Il nous reste à voir si le médecin peut faire un arrêt pour Aurélie. Nous voyons apparaître justement Marc redescendre pour terminer son café, le temps que le médecin s’occupe d’Aurélie. Les mariés le mettent au courant de l’opportunité qui se présente. D’autant plus que les mariés vont rester aussi sur place et ça permettrait de passer des moments ensembles, comme on s’est pas trop vus pendant leur mariage. Marc s’empresse d’accepter cette proposition, quelques jours de repos ne lui ferait pas de mal, il ne restait plus qu’à convaincre le médecin de faire un arrêt pour Aurélie, qui de toute façon ne serait pas allé à son travail le pied dans le plâtre.

Par castlover
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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 22:03
Vous qui lisez régulièrement, faites moi plaisir, laissez moi un commentaire,svp !!
 

Je l’enveloppe tout de même dans la grande serviette et lui frotte le dos pour la réchauffer. D’autres gestes guidés par mon excitation s’ensuivent naturellement. Vu mon enthousiasme grandissant, elle préfère prendre une douche avant tout. La voila se dirigeant vers la salle de bains sur ses 2 cannes. La serviette lui glisse des épaules et s’en mêle avec ses béquilles, elle essaye de l’éviter mais impossible, ses cannes restent immobiles. Le temps que je puisse la rattraper, elle tombe face devant. Ses mains tenant ses béquilles ne se détachent pas à temps pour amortir la chute. Bizarrement par réflexe sûrement elle atterrit sur ses jambes, son ventre et ses seins. Elle reste étalée de la sorte un moment, je me précipite pour la relever. Je la retourne, elle n’en revient pas non plus d’être tombée comme une crêpe. Elle éclate de rire, je commence à l’accompagner aussi. Je l’aide à se remettre sur ses cannes et enlève cette fichue serviette. Dans la salle de bain je l’aide à s’installer dans la baignoire et positionner sa cheville plâtrée sur le bord. Ouvrant l’eau chaude je lui prend sa cheville valide et l’arrose. La température chaude de l’eau lui fit énormément de bien. Je lui nettoie la plante du pied et ainsi que l’espace entre les orteils qui avaient bien pris la boue. Je lui tiens le talon et m’amuse à la chatouiller avec le jet d’eau. Je l’aide ensuite pour le reste du corps en évitant au maximum de mouiller son plâtre. Je passe un coup d’éponge pour enlever les tâches qui le maculent. Il était maintenant comme neuf. Je l’aide à se sécher et à se remettre sur ses béquilles. Elle se retrouvait maintenant toute nue devant moi avec uniquement son plâtre et ses béquilles. Je profite de ce petit moment unique de bonheur pour la serrer dans mes bras. Comme ses mains sont occupés par les béquilles elle ne peut se contenter d'enfouir sa tête ma poitrine. Je sens son corps chaud se fondre sur mon torse et ses lèvres y déposer des légers baisers. Je lui prend sa tête et lui effleure ses lèvres. Elle cherche à m'embrasser mais je lui échappe, n'ayant pas l'usage de ses bras elle ne peut que se plier au bon vouloir de sa majesté, moi. Je finis au bout de quelques instant par lui donner satisfaction. Le baiser en est d'autant plus langoureux. Je l’admirais encore une fois alors qu’elle béquillait en direction du lit. Ses magnifiques longues jambes se mettait tellement en valeur alors que ses hanches ondulaient au rythme de son béquillage et son balancement. Une fois prés du lit, je l’aidais à s’installer et à soulever lentement sa cheville pour la poser sur deux oreillers superposés. Son corps épousait parfaitement les formes creusées du lit, mettant en valeur les courbes de sa croupe. Je pense que je n’ai jamais pris de douche aussi rapidement, tellement l’excitation de la retrouver était grande.

Je la retrouvais donc dans la même position où je l’avais laissé, essayant d’ajuster au mieux sa position inconfortable. La température de la pièce était idéale, il ne faisait ni chaud, ni froid.
Après une nuit des plus actives et excitantes, nous sommes réveillés par le réceptionniste qui annonce qu’il est bientôt l’heure pour le petit déjeuner. Après une petite douche rapide, je fais une toilette à l’éponge pour ma femme, qui semble avoir un peu de douleurs, sûrement dû à son activité nocturne. Je remarque que ses doigts de pieds sont enflés et ont l’air de souffrir, c’est un bon indicateur, finalement, de la santé de la cheville. J’aide ma femme à enfiler son jean, la grosseur du plâtre nous impose une certaine patience, si nous ne voulons pas le déchirer. La voilà avec un chemisier et une basket. A mon grand étonnement, elle ne demande pas à mettre une chaussette sur ses orteils, elle préfère les laisser à l’air, vu la chaleur qu’il fait déjà au petit matin. Elle me fait remarquer que comme ça je saurais si sa cheville a besoin de repos, comme c’est le cas actuellement. La descente par l’escalier est une pure formalité, elle maîtrise complètement la technique et semble être sûr d’elle. Marc et Aurélie sont déjà en train de prendre leur petit déjeuner et nous accueillent avec des grandes exclamations sous l’euphorie de la soirée de la veille. On a tous passé une excellente soirée, malgré les petites aventures qui nous sont arrivées.

Par castlover - Publié dans : informations,questions
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Dimanche 21 décembre 7 21 /12 /Déc 07:41

Faites moi le plaisir de me laisser un petit commentaire.



Dehors une surprise nous attend, il a dû pleuvoir et le chemin est devenu très boueux, bien que le sol soit propre, il est très glissant. A son premier saut elle manque de glisser avec son haut talon, je la retiens de justesse. Je lui propose de m’attendre sur le banc, le temps d’aller chercher Marc, pour qu’on lui refasse la chaise au porteur. A peine rentré je comprends que je ne pourrais pas compter sur lui, il est en train de dormir sur une chaise. Personne d’autre d’assez costaud pour pouvoir nous aider, à part le marié. J’hésite quand même, j’explique la situation à ma femme qui ne veut pas déranger le marié, le plus beau jour de sa vie !

Je lui propose de la porter dans mes bras, mais ça ne va pas être possible tout le long, vu la distance. Elle décide une chose que je n’aurais jamais imaginé de sa part. Elle se déchausse de son unique chaussure et me la tend. C’est donc pied nu sur un terrain boueux qu’elle béquille en direction de l’hôtel. Je lui tiens un bras en cas de glissade, elle n’est pas rassurée pour autant. Elle sent la boue s’immiscer entre ses orteils, remonter petit à petit à chaque pas et traverser le dessus de son pied. Plusieurs fois ses béquilles glissent, mais comme je la retiens, elle réussit à garder son équilibre. Sur le chemin parfois nous avons carrément des grosses flaques dans lesquels son pied se noie pratiquement. Je la vois soulever son plâtre au mieux que lui permette sa robe. Quelques tâches d’éclaboussures ternissent son plâtre et ses orteils. Une pluie fine puis violente nous surprend à mi chemin, en moins de 2 secondes nous sommes trempés. Je décide de la prendre dans mes bras et la porter jusqu’au bout. Pendant le trajet la pluie rentre entre son pied et son plâtre, il faut faire vite !!!

Nous voilà à l’entrée de l’hôtel, je la repose sur ses béquilles, elle reprend son équilibre par un ou deux petits sauts. Je compose le code de l’entrée et lui ouvre la porte. Un gros tapis lui permet de s’assécher un peu son pied tout mouillé ou tu du moins la plante de son pied. Elle continue à béquiller jusqu’à l’escalier et commence à l’entamer. C’est un peu plus dur vu qu’elle est déjà un peu essoufflée par le trajet. On arrive petit à petit complètement trempée à la porte de notre chambre. Je m’empresse de prendre une serviette et de lui sécher le visage, les cheveux et le corps. Elle se débarrasse de sa robe qui lui colle à la peau et qui la fait grelotter. Finalement elle se retrouve en sous vêtements comme moi. Une fille juste en string, avec un plâtre et des béquilles, il n’y a rien de plus beau. Vu mon enthousiasme grandissant, elle préfère prendre une douche avant tout. La voila se dirigeant vers la salle de bains sur ses 2 cannes...


Par castlover
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Vendredi 19 décembre 5 19 /12 /Déc 22:09
 

La soirée continue, la piste de danse est pleine à craquer, ma femme qui adore danser est contrainte de voir les autres danser. Elle a un peu le blues, elle décide d’aller aux toilettes. Je suis parti discuter avec de vieux amis. Elle essaye de me faire signe, mais je ne suis pas dans sa ligne de mire. Elle se décide à se débrouiller un peu seule, après tout il va falloir qu’elle s’y fasse, vu que dans 3 jours, elle va se retrouver seule dans notre appartement. Elle cherche ses béquilles que nous avions laissé sous la table. Elle descend son plâtre de la chaise, le passage à la position verticale est toujours aussi douloureux. Elle soulève la nappe de la table pour mieux repérer ses cannes, elles ont dut se déplacer un peu !!! A sa grande surprise, elles n’y sont plus. Un sentiment de panique s’empare d’elle, comment va-t-elle faire pour se déplacer sans ses cannes. Elle essaye à nouveau de me faire signe, mais rien à faire je lui tourne le dos. Une des invitées à une table voisine remarque qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Elle lui demande si elle peut l’aider. Ma femme lui demande de m’appeler au plus vite, le stress engendré par la situation lui donne une envie pressante d’aller aux toilettes. Avertie par la personne, je reviens au plus vite, je cherche partout les cannes, impossible de les trouver. Je fais le tour de la salle, rien !!! L’envie se faisant de plus en plus pressante, il faut trouver une solution rapidement. Je propose qu’elle prenne appui sur Marc et moi et qu’on la transporte ainsi aux toilettes. N’ayant plus les moyens de discuter elle met ses bras autour de nos épaules, nous la soulevons, elle se retrouve assise sur nos avant bras. Nous la déposons devant la porte des toilettes, Aurélie l’accompagne, alors qu’elle se déplace en sautillant sur sa jambe valide. Quelle galère, pour elle, elle doit regretter d’être restée au mariage.

Nous la voyons réapparaître peu après sautillant encore par petits pas. Marc et moi la ramenons à sa place et installons sa jambe sur les coussins. Elle nous fait part de son inquiétude pour la disparition des cannes. Elle rajoute que le carrosse formé par Marc et moi-même est bien confortable, mais bon elle ne voudrait pas en abuser. Nous partons à la recherche de ces cannes, je crois avoir une petite idée de l’identité du coupable. J’en fais part à Marc et nous nous mettons à la recherche de ce petit garçon, bien curieux et bien intéressé. Impossible de le trouver, je repère ses parents et leur explique un peu ma version des choses. Ses parents ne semblent pas surpris, c’est tout à fait dans ses cordes. On part tous à la recherche du petit chenapan, son absence est inquiétante d’un autre coté. N’étant pas dans la salle avec les autres enfants, l’inquiétude prend de l’ampleur. Je suis avec Marc les seules personnes qui poussent jusqu’à l’hôtel, sachant qu’il a une chambre là bas. Et voilà qu’on retrouve Monsieur. Il a positionné les manches des béquilles de ma femme sous ses aisselles et il essaye de béquiller en gardant un pied en l’air. Une petite fille est avec lui et en fait de même à son tour, en se déchaussant carrément. Marc et moi nous nous regardons, ne sachant plus si nous devons en rigoler ou les gronder. Le garçon nous aperçoit et se rend compte de sa bêtise. Les voila tous les deux en larmes. Nous les ramenons à leurs parents en leur expliquant que tout le monde les cherche partout. Finalement ils ne seront pas punis, ils devront s’excuser pour les cannes de ma femme, qui est bien contente de les retrouver. Elle est tellement soulagée de les avoir à nouveau, qu’elle n’en veut absolument pas à cet enfant qui s’est excusé en pleurnichant. Le veinard a même eu un petit câlin !!!

La soirée tire à sa fin, arrive le moment du champagne et pièce montée. Les mariés font un discours de remerciement, une dédicace toute spéciale à la personne qui malgré une jambe dans le plâtre est venue. Tous les regards se tournent vers ma femme et applaudissement général. Au début mal à l’aise, elle finit par se faire malgré elle à ce petit moment de gloire… quelques années plus tard on en rigole encore.

On nous sert la pièce montée, les choux sont excellents, tellement que la crème anglaise s’en échappe quand je mange et atterrit directement entre ses orteils. Sur le coup j’ai bien envie de les nettoyer en les suçant, mais je me retiens. J’enlève la partie la plus importante avec mon index, alors qu’elle est pliée de rire par la situation inhabituelle. Une petite partie de la crème anglaise s’échappe et glisse entre le plâtre et la plante de son pied. Plus j’essaye de l’enlever plus il s’enfonce. Comme elle est très chatouilleuse, elle essaye de retirer sa cheville. Je réussis à lui tenir une partie des orteils et glisser un mouchoir en papier entre la base de ses orteils et le plâtre. J’arrive à mettre hors d’état de nuire cette fichue crème anglaise. Je profite de cette opportunité pour lui faire un semblant de nettoyage. Elle comprend vite la nature de mon action et me chuchote à l’oreille qu’ils seront à moi toute cette nuit, que ce sera mon petit cadeau du jour…Sur ce je lui répond que j’ai trop envie d’elle, elle me rend « frappadingue » avec son joli plâtre. De toute façon il ne restait plus grand monde, on pouvait rentrer, il ne faut pas qu’elle soit trop fatiguée, enfin si elle comprenait où je voulais en venir. Nous félicitons encore les mariés pour ce beau mariage et nous leur souhaitons nos meilleurs vœux. Cette fois ci les cannes anglaises sont bien là. Je l’aide à se remettre debout avec toujours cette douleur qui se déclenche et qui l’immobilise quelques minutes.

Par castlover
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  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
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