Dimanche 30 juin 7 30 /06 /Juin 15:06

Attention! Cette sublime jeune femme s'appelle Cheryl Scott, elle est présentatrice météo sur une grande chaîne américaine à Chicago, et je vous laisse l'admirer, tant elle porte magnifiquement ce SLC bleu et ces béquilles axillaires, qui se marient délicieusement avec sa silhouette fine et élancée. 

Laissez-vous charmer par son magnifique sourire et son visage angélique... Pour ma part je suis déjà tombé amoureux! 

 

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Cette image est tirée de l'excellent site Castars, dont vous trouverez le lien plus bas.

Par castlover - Communauté : Fantasme plâtre
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Vendredi 28 juin 5 28 /06 /Juin 18:46

- Je sais à quoi vous pensez. Vous vous dites que je suis folle, que ma cause est perdue d'avance, et que je ne pourrai trouver personne susceptible de m'aider.

- Je n'ai pas été aussi catégorique, mais voilà le fond de ma pensée, je le crains.

- Imaginez-vous les conséquences si vous n'intervenez pas ? Croyez-vous que ces actes ignobles cesseront si nous restons stoïques, les bras ballants ? Songez à toutes ces jeunes femmes qui pourraient subir le même sort que le mien.

- C'est un bien triste sort que le vôtre à qui je ne souhaite nullement, en effet.

- Alors vous devez m'aider, ou des actes similaires se répèteront.

- Mais je ne suis en aucun cas affilié à la police...

- Ce n'est pas de la police dont j'ai besoin, mais de ses méthodes les plus rudes pour combattre ce malade mental.

- "Ce malade mental", dites-vous ? Ces crimes ne seraient donc le fait d'une seule personne ?

- Vous seul avez cette réponse.

- Désolé, mais mon implication dans cette affaire ne ferait qu'envenimer les choses et croyez bien qu'elles le sont déjà assez comme cela.

- Mais si personne n'intervient, les choses ne changeront pas pour autant. Et même avec la meilleur volonté du monde, il en sera ainsi pour longtemps.

- J'ai bien d'autres affaires qui requièrent mon attention. Je ne puis me résoudre à les laisser de côté et ce même si c'est dans l'interêt de toute une ville. Quand bien même il m'étais possible d'y renoncer, je n'ai aucun droit d'intervenir dans cette affaire. Elle relève du domaine de la Loi et de la Police et je ne fais partie d'aucune d'elles.

- Cessez de jouer avec moi, Caradine. Je n'ai pas fais appel à vous par hasard. Je sais qu'il y a plusieurs années vous travailliez en tant qu'inspecteur dans ce même arrondissement. Je doute que vos compétences se soient dépuis envollées... et que la situation de vôtre arrondissement ne vous laisse indifférent.

 - Cela fait longtemps que je n'étais plus monté à Paris, c'est vrai.

- C'est l'affaire du "briseur de jambes" qui vous a incité à partir ?

- Hum... en effet.

- Auriez-vous pris peur, Caradine ? Le fait qu'une de vos collègues inspectrice perdit ses membres et même la vue aurait peser dans la balance ?

- Comme tout le monde j'ai pris peur pour ma famille, ma femme... La capitale devenait trop dangereuse pour les jeunes femmes comme elle. Alors nous partîmes pour la banlieue.

- Malheureusement, le "briseur de jambes" a fait des rejetons, et pas seulement dans la ville. Votre femme...

- Vous êtes bien informée. Il se pourrait que vous arriviez à me convaincre après tout.

- Alors, vous m'aiderez ?

- Oui, mademoiselle Delphine, je vous aiderai. Mais je ne pourrais repousser mes pressantes affaires que pendant quatre jours, pas un de plus. Le temps est donc compté et épingler ce désaxé ne sera pas une mince affaire. D'autant plus qu'il nous faudra l'empêcher de propager son activité en-dehors des frontières de la capitale. Pour élaborer un plan d'action viable dans les plus brefs délais, j'aurai besoin de toutes les informations dont vous disposez sur cet homme sur les trois derniers mois, ainsi que de votre entière coopération. Vous comprenez, Delphine ? Il faudra faire face, vous aussi, pour y arriver.

- Soyez sans craintes, ma détermination est sans faille. Regardez-moi bien, Caradine... Que feriez-vous à ma place ?

- Vous êtes toujours un très jolie jeune femme, Delphine, croyez-le bien. Et votre courage m'impressionne.

- Lorsque vous nous aurez sauvé de ce monstre, d'autres comme lui se découragerons et stopperont leurs activités.

- Attention, Delphine, vous n'êtes pas encore sauvée.

- Quel sera votre prix ?

- Votre silence me suffira.

- Vous pouvez compter sur moi.

 

L'ex-inspecteur Caradine se leva de son siège et tourna les talons après avoir salué Delphine. Il se dirigea vers la porte, désormais prêt à en découdre avec cet étrange criminel.

Au moment où il empoigna la clanche de la porte, la jeune femme saisit les ances des roues de son fauteuil et avança sa chaise roulante jusque Caradine. Elle lui adressa un regard emplit de détermination.

 

- Quand nous lui mettrons la main dessus, laissez-le moi; que je regarde d'abord en face le salopard qui m'a prit mes jambes !

 

*****

Et voilà l'introduction d'une nouvelle histoire, une "suite" au briseur de jambes qui devrait lui-même connaître une vraie suite pour le coup.

Le premier chapitre de cette nouvelle fiction arrive très vite ! En attendant, appréciez cette mise en bouche. 

  

Par castlover - Publié dans : Morcelée - Communauté : Fantasme plâtre
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Mardi 28 mai 2 28 /05 /Mai 21:54

Aujourd'hui est un grand jour pour tous les fans de ce site, et je sais qu'il y en a !!

Malheureusement, son créateur ne peut s'en occuper lui-même, alors c'est moi son successeur, triste de voir un tel site tomber à l'abandon, qui reprend le flambeau pour vous proposer du nouveau contenu !

 

Au programme :

- de nouvelles fictions ;

- de nouvelles histoires rapportées de la vie courante (et j'espère qu'il y en aura beaucoup, car c'est le plus excitant!) ;

- de nouveaux thèmes ;

- des photos et des vidéos à foison ;

- des albums photos ;

et bien plus encore !

 

Pour son retour en grande pompe, le site fait peau neuve, et c'est l'image d'une sublime créature plâtrée en béquilles qui ornera désormais votre écran. Alors, admirez !

 

Qui dit nouveau taulier, dit nouveaux trips! Je suis un devotee, ça veut dire que  j'aime les femmes amputées d'un ou plusieurs membres, en particuliers les membres inférieurs, qui ne portent pas de prothèses et qui marchent en béquilles ou se déplacent en fauteuil roulant.

Alors attendez-vous à voir débarquer du moignon!

Je suis aussi amateur de femmes paraplégiques ou tétraplégiques, et je vous concocterai quelques fictions là-dessus, publierai quelques photos et recherchai des témoignages IRL.

=> même recette pour nos chères amputées.

 

==> c'était pour les "nouveaux thèmes" du blog.

 

Mais que les aficionados des plâtres et attelles se rassurent, ces derniers resteront la principale activité du blog. D'ailleurs, je ne ferai pas apparaître les nouveaux thèmes dans le titre du blog ou sur l'image de fond du site. Rapportez-vous aux tags.

 

Et en bonus, pour ceux qui suivaient cette histoire palpitante il y a 1 ou 2 ans, je vous annonce un évènement : la suite du "Briseur de jambes", cette enquête policière qui suit les crimes d'un psychopathe aimant briser les jambes des jeunes femmes, jusqu'à les priver de tout espoir de remarcher normalement ou de remarcher tout cours! Pour ceux qui connaissent, vous allez me demander comment une suite est-elle possible ? (pour les autres, je vous invite à la lire de suite, ou au moins à lire le dernier chapitre, "Les choses se gâtent !!" pour tout savoir du destin tragique de notre belle enquêtrice plâtrée) Et bien je leur dit : on verra bien !! ^^

 

Je vous souhaite à tous de (re)prendre du plaisir avec ce blog qui, je l'espère, saura trouver son public sur la toile.

N'hésitez pas à commenter et à me poser vos questions.

 

A bientôt!

Par castlover - Publié dans : informations,questions - Communauté : Fantasme plâtre
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Jeudi 6 janvier 4 06 /01 /Jan 23:46

 

Après avoir essayé de trouver une parade à ma question, elle m’expliqua que sa belle sœur était dans la chambre. Elle était handicapée et c’était Tiffany qui prenait soin d’elle. Je demandais à la voir, histoire de vérifier ce qu’elle me racontait. Elle s’absenta un instant, je la voyais s’éloigner sur ses béquilles, son aisance m’intriguait, elle avait l’habitude de les utiliser, c’était une certitude. Je pouvais observer la plante de son pied nu qui était légèrement sale. Elle marchait souvent pied nu, c’était aussi sûr.

J’entendais au bout d’un instant le même bruit de moteur s’approcher. Je découvrais une jeune femme brune, très agréable à regarder. La cause de son handicap était qu’elle n’avait plus de jambes tout simplement. En la voyant un sentiment de pitié m’envahit, si belle et condamnée à rester dans cette chaise roulante pour le restant de sa vie. A priori, son amputation était tellement haute qu’elle ne pouvait pas porter de prothèses. Elle utilisait une petite manette à hauteur de sa tête, pour diriger sa chaise roulante. C’est là que l’horreur me prit à la gorge, elle ne semblait pas avoir de bras. J’étais en face d’une très belle femme, mais elle n’avait ni bras, ni jambes. J’en étais vraiment désolé pour elle. Quand son regard croisa le mien, ma réaction fut tout autre. Elle me toisait d’un regard tellement expressif de colère que je sentais qu’elle me connaissait. Mais moi à priori c’était la première fois que je la voyais.

« Qu’est ce que vous me voulez ? » me dit elle d’un ton autoritaire.

Je lui expliquais que je menais une enquête sur l’homme qui avait blessé Tiffany et que voulais éclaircir certains points.

« Tiffany n’a rien à voir dans cette histoire. Laissez la guérir de son entorse, elle a besoin de repos. Foutez moi le camp. Vous n’avez rien à faire ici. »

Mon ressenti envers elle et son caractère de chien commençait à changer. Comment une femme aussi belle à regarder pouvait être aussi aigrie. Comment me connaissait elle ?

Je ne démordais pas, j’en avais connu des plus durs qu’elle après tout.

« Ecoutez cet homme a blessé beaucoup de femmes, y compris moi-même. Si il continue comme ça, toutes les femmes de la ville seront sur béquilles comme Tiffany. Alors je vous demanderais de changer de ton, à moins que vous ne préféreriez que je vous embarque au commissariat. »

Elle se calma un peu sous ma menace.

J’en profitais pour lui poser toute sorte de question sur ses éventuels ennemis…ou autre personne capable de faire un tel acte. Elle haussa les épaules pour me signifier qu’elle en savait rien.

«  Et vous-même que vous est il arrivé ? » je lui demandais.

Elle hésita un instant et au moment où elle allait répondre, la porte d’entrée s’ouvrit laissant passer une silhouette qui ne m’était pas inconnue. C’était…je ne rêvais pas, ces yeux verts, cette voix qui me disait « Tiens, tu es venue de toi-même.. » C’était lui, le briseur de jambes. Avant même que je me lève il me sauta dessus, me plaqua les bras à l’arrière, il cria à Tiffany de prendre mes menottes. Je la vis se débarrasser de ses cannes et presque courir sur son plâtre. En moins de temps qu’il ne le fallait j’étais menottée et jetée à terre. Ma jambe plâtrée atterrit lourdement au sol, déclenchant une douleur intense.

« Quelle surprise Carla, je ne m’y attendais pas si vite. C’est Tiffany qui t’a emmené ici ? » dit il en giflant cette dernière.

« Laisses la elle n’y est pour rien, c’est Mme l’inspectrice qui a mené son enquête encore… » dit la femme handicapée.

Je restais au sol, me redressant comme je pus, avec mes mains attachées au dos.

« Alors Carla, tu veux vraiment savoir qui m’a mis dans cet état ? Tu ne te souviens de rien ? Vraiment ? » me dit la femme.

«  Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vu…qui êtes vous ? »

« Tu ne te rappelles pas de ce soir où tu as voulu arrêter ces braqueurs de banque, prés de la place centrale ? ».

Ca me revenait petit à petit, deux braqueurs que je poursuivais, l’un d’eux s’était définitivement échappé et l’autre s’était jeté d’un pont sur une autoroute. Il y eut tellement de blessés suite à sa présence au milieu des voitures qu’on ne pût l’identifier parmis les victimes. Moi-même ayant été blessée, je fus transporté à l’hôpital…

« Vous êtes celle qui a sauté sur l’autoroute ?? » lui dis je.

«  Oui c’est moi, ecrasée par trois voitures. Après six mois de souffrance, on a dû m’amputer de mes bras et jambes. Tout ça par ta faute..Et crois moi tu vas le payer très cher, ma vieille !!!. ». Je ne sût jamais ce que c’était une sorte de lumière blanche,aveuglante et puis rien…je pense m’être évanouie.

Que m’arrivait il ? Je ne savais pas où j’étais…je n’arrivais pas à ouvrir les yeux, ils semblaient être bandés, j’essayais d’appeler au secours mais aucun son ne sortit de ma bouche…si ce n’est un grognement, mes jambes rien..j’éssayais de tâtonner autour de moi, et là une peur m’envahit, je ne sentais pas mes mains, impossible de les bouger. En fait aucun mouvement ne m’était possible et j’étais dans le noir total.

J’entendis une voix me parler « Carla, vous m’entendez je pense. » Devant mon agitement, la personne continua «  Vous êtes à l’hôpital central, on vous a retrouvé dans une ruelle proche d’ici. Vous avez été blessé gravement. Vos rétines ont souffert de brûlures, vous allez devoir garder vos bandages pendant au moins quatre semaines. Nous saurons à ce moment si vous souffrez de cécité. Nous sommes désolés de vous l’annoncer de cette façon, mais il vaut mieux que vous soyez prête au pire. Vous souffrez de multiples blessures graves à vôtre mâchoire et à vos membres, le docteur passera vous expliquer tout cela…pour l’instant il vous faut du repos. Nous vous avons mis sous morphine, vous dormirez la pluspart du temps.

Je me sentis partir à nouveau, mes paupières devenaient lourdes, puis plus rien…

Des voix me réveillèrent de ma torpeur. J’entendais une discussion entre deux femmes, sûrement des infirmières. L’une disait très nettement « La pauvre je ne sais pas comment va être sa vie quand elle sortira d’ici. Je n’ai jamais vu ça de ma vie. »

« Pour elle la vie va être un enfer, sans bras, ni jambe et peut être aveugle…tu imagines. J’aimerais bien savoir ce qu’on ressent quand on apprend une telle nouvelle. Elle ne peut même pas mettre fin à sa vie. Je voudrais être là quand elle pourra articuler quelques mots. »

Je ne croyais pas à mes oreilles, ça ne pouvait pas être possible, non pas moi…des larmes se mettaient à humidifier mes yeux, mais toujours bandés. Je ressentis de gros picotements assez douloureux…Je n’avais même pas le droit de pleurer…et pourtant le desespoir m’envahissait…non ce n’était pas possible !!!! Quel salaud, m’amputer de tous mes membres, je n’osais imaginer le monstre que je laissais dans la ville. Pour la première fois une peur indescriptible m’envahissait… je n’arrivais pas toujours pas à réaliser que jamais plus je ne pourrais marcher ou saisir des choses. Quel était mon avenir ? …

Par castlover - Communauté : Fantasme plâtre
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Mardi 4 janvier 2 04 /01 /Jan 22:52

 

Le lendemain je profitais de m’être réveillé très tôt pour examiner le fichier client de M Noyaon. Je retrouvais les victimes y compris moi-même. Cela confirmait que même si je n’avais pas mené cette enquête j’étais susceptible d’être sur la liste noire. L’indice qu’il m’avait donné me permettait de me faire une liste potentielle de prochaines victimes. Elles étaient au nombre de trois, ce qui me permettait d’organiser une protection rapprochée. En réexaminant la liste quelque chose me sautait aux yeux. J’avais bien une Tiffany dans la liste, mais le nom ne correspondait pas. Ce n’était pas la bonne, malgré qu’elle m’ait confirmé qu’elle était cliente aussi de «  Tout chauss’ ». Pourquoi m’avait elle mentie ?

Je devais attendre encore quelque jours avant de pouvoir me déplacer librement. Ca me permettait d’approfondir mon enquête. Je téléphonais à Tiffany pour éclaircir mes soupçons. Je fus déjà surpris qu’elle décroche aussi rapidement, alors qu’elle avait une cheville plâtrée. Mes soupçons se renforcèrent quand elle se montra à nouveau évasive en prétextant qu’elle fréquentait plusieurs magasins de chaussures et qu’elle avait sûrement confondu avec un autre. Elle ne se rendait pas compte qu’en disant qu’elle n’était peut être pas cliente de M Noyaon, qu’elle me donnait une piste supplémentaire à exploiter. En raccrochant, je me demandais pourquoi elle avait été si évasive. La sonnerie de mon portable professionnel me tira de mes réflexions. Il s’agissait d’un inspecteur de mon commissariat, le briseur de jambe avait encore frappé. « Ne me dis rien, laisses moi deviner !! » lui dis je. Il fût surpris que je sache qu’il s’agissait d’une dénommée Céline. Elle était dans la liste client de Noyaon. J’allais appeler le commissariat pour qu’il mette en place une sécurité rapprochée, mais trop tard. Céline avait été retrouvée, les deux jambes littéralement fracassées et son agresseur lui avait chuchoté à l’oreille « Dis à l’inspecteur Carla que c’est le sort qui l’attends dans peu de temps ! ». Malheureusement pour Céline, la colère qu’il avait contre moi l’avait mis hors de lui et il ne se rendit pas compte de ce qu’il lui faisait. Le médecin ne trouva pas d’autres solutions que devoir lui amputer les deux jambes. Céline était hôtesse de l’air, la plus mignonne de sa flotte aérienne, d’origine Eurasienne, on lui promettait les plus hauts sommets. Un destin brisé par un malade qui maintenant agissait par pure vengeance. Pourtant quelque chose me choquait, pourquoi avait il une telle haine envers moi ? J’avais du mal à accepter qu’il s’agissait uniquement parce que j’avais fais mon enquête, mon travail en quelque sorte. Si ce n’avait pas été moi, ce serait un autre inspecteur. Et pourtant mon instinct me disait qu’il y avait une autre raison. Après plusieurs heures de réflexions, je trouvais une piste, du moins c’était la seule plausible. Je me rappelais une course poursuite, un cambriolage qui avait mal tourné. Plusieurs otages tués, je m’étais mis en chasse de cette voiture qui fuyait avec à son bord les deux voleurs cagoulés. La poursuite s’était terminé par une sortie de route des fuyards. Malgré une chute de plus de 30 mètres, un des voleurs avait réussi à s’enfuir. A l’époque je n’ai pas pu me renseigner de l’état du deuxième, une autre affaire très urgente m’était tombée dessus. On m’avait dit que la personne avait survécu et avait été remise aux autorités. C’était une piste à explorer.

Deux jours plus tard je me rendis chez Tiffany, pour éclaircir mes doutes. Est elle vraiment cliente de ce magasin ou pas ? Un agent m’accompagnait et restait dehors au cas où. Elle habitait dans une maison dans un quartier très isolé de la ville. L’endroit était désert. Quand je sonnais au portail, Tiffany me répondit de suite. Comment peut elle se déplacer aussi rapidement avec une cheville plâtrée. Quand je me présentais à l’interphone, il y eût un blanc, comme si ma visite dérangeait. Elle m’ouvrît néanmoins, et je constatais que j’avais une bonne vingtaine de marches a grimper sur mes béquilles avant d’arriver à la porte. L’agent qui m’accompagnait me demanda si il pouvait m’aider, mais l’étroitesse du passage ne me laissait pas le choix. Je commençais à grimper une à une ces marches, me cognant les doigts à presque toute, mon plâtre tendu ne facilitait pas les choses. Quand j’arrivais à mi chemin, la porte n’était toujours pas ouverte. J’arrivais toute essoufflée sur le perron, je reprenais mon souffle. Je dus frapper à la porte pour voir apparaître Tiffany sur ses béquilles. Son plâtre avait été fendu, et je n’avais pas de doute, elle venait de le remettre. Je remarquais qu’il était tout blanc, comme si elle ne prenait jamais appui dessus. Elle me fit entrer dans le salon. Elle eut le reflexe de me demander si je voulais un verre d’eau, mais elle se ressaisit comme si elle le découvrait elle me dit qu’elle était désolée de ne pouvoir me servir à boire, ne pouvant rien porter avec ses cannes. Je lui demandais ce qui lui était arrivé à son plâtre. Elle me répondit qu’elle avait dû se le faire fendre parce qu’ils l’avaient fait trop serré. Tiffany était pieds nus, pour me conforter dans mon hypothèse, la partie visible de sa cheville plâtrée était aussi sale que son pied valide. Il était évident qu’elle venait de mettre son plâtre et qu’elle n’en avait nullement besoin. Je lui demandais si elle vivait seule, elle me répondit que son petit ami et sa sœur à lui vivait sous le même toit. A ce moment j’entendis du bruit dans la chambre, un bruit comme un moteur électrique.

« Il y a quelqu’un maintenant ? » lui dis je.

Par castlover
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  • : Le blog de Castlover
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  • : fantasmes amputées jeunes femmes plâtres moignons
  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
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