Lundi 5 janvier 1 05 /01 /Jan 07:30
 

Le repas se passe de commentaires, tout simplement succulent avec des accompagnements dignes de la haute gastronomie. Le chef excelle dans la variété des plats et dans leur présentation, un vrai régal comme on les apprécie. Au milieu du repas comme les filles sont assises côte à côte, Aurélie fait une confession à ma femme qui me le racontera beaucoup plus tard. « Tu sais, je ne sais pas pourquoi mais à chaque fois que je porte un plâtre, je suis toute excitée, enfin tu vois ce que je veux dire…j’ai envie de…tu comprends… » Ma femme ne comprend pas comment un plâtre peut provoquer un tel effet, elle a beau retourner la situation dans tous les sens, elle n’y voit que des inconvénients et de la douleur. Aurélie lui confie que cette nuit Marc risque de s’en souvenir longtemps. Je les entends s’esclaffer et je regarde Marc. Ce dernier me confie à son tour que tout à l’heure alors qu’ils nous attendaient dans la voiture, Aurélie lui a demandé de la caresser et il ne sait pas pourquoi elle semble être toute excitée depuis qu’elle a son plâtre. Voyant la tournure que le situation prenait, ils ont préféré sortir de la voiture, avant qu’ils n’aillent trop loin, quitte à ce qu’elle soit obligée de sautiller sur un pied. J’avais donc mon explication. Connaissant mon attrait pour les plâtres je ne pouvais que saluer cette excitation qui m’était commune avec Aurélie.

Le repas se terminait vers 15 h, nous étions superbement bien rassasié. Aurélie avait enfin le droit de pouvoir s’appuyer sur son plâtre. Elle s’aperçut très vite que la talonnette n’était pas assez haute et que si elle ne voulait pas que ses orteils ne touchent le sol, il allait falloir qu’elle les relève pendant la marche. Son déplacement se trouvait ralenti du fait que la rigidité du plâtre l’empêchait de marcher comme si de rien n’était. Elle est obligée d’effectuer une rotation de son pied de l’intérieur vers l’extérieur à chacun de ses pas. Le retour vers la voiture fût très distrayant avec nos deux éclopées de service. L’une avançant avec ses béquilles de plus en plus rapidement, l’autre marchant en faisant quelques sauts pour avancer encore plus vite. En fait sans le savoir elles faisaient une course. Quand elles se sont rendues compte de la compétition, Aurélie qui était en tête avec quelques mètres d’avance lance à ma femme «  Alors c’est qui la mamie, maintenant ?? hein ? ». Là-dessus ma femme accélère son béquillage pour arriver à sa hauteur. Aurélie commence aussi à accélérer en sautillant sur quelques pas. Je remarque tout de même qu’elle relève ses orteils à chaque passage de son début de plâtre prés du sol, et c’est bien ça qui a l’air de l’handicaper dans ses mouvements. La vue de l’ensemble m’excite aussi, je n’ai que l’embarras du choix entre ceux de ma femme et les siens. Finalement je vois Aurélie ralentir au fur et à mesure pour faire une pause complète. Marc s’empresse de lui demander ce qui se passe. Elle lui répond que finalement ce serait bien mieux avec des béquilles, parce que là ses muscles de la cheville crient à la mort, elle ne peut plus avancer très vite. Elle ne nous dit pas la vérité sur cette douleur qui s’est encore intensifiée sur son avant pied. Ma femme nous attend un peu plus loin sur son unique pied valide. On lui raconte ce qui se passe, elle répond qu’elle n’aurait pas dû continuer trop longtemps, mais maintenant qu’elle est devenue experte en béquillage, elle se sent vraiment à l’aise avec elles. Aurélie a vraiment du mal à avancer et manque même de force pour maintenir ses orteils relevés. A plusieurs reprises je les vois se frotter au sol et elle les relève après coup. On imagine bien qu’elle à hâte d’arriver à la voiture. Ma femme lui propose ses béquilles, vu comment elle a l’air de souffrir. Elle se propose de prendre appui sur moi et de parcourir les derniers mètres qui nous reste à faire en sautillant. Après un petit refus, Aurélie est contrainte d’accepter et se positionne sur les cannes. Je me fais un plaisir à aider ma femme à marcher sur sa jambe valide. Elle passe un bras autour de mon coup et je lui tiens la taille et elle avance à petits pas. Le plus dur pour moi est de ne pas me cogner sur son plâtre, je suis obligé de garder mes yeux rivés au sol et de la diriger au mieux. Nous voilà arrivés à la voiture où nous installons chacun nos éclopées. L’état de leurs orteils nous indique qu’il faudrait les surélever au plus vite. Tableau de bord pour Aurélie qui grimace un peu lorsque Marc l’aide à le positionner dessus, en ce qui concerne ma femme,mes genoux sont toujours le lit préféré de son plâtre.


Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

  • : Le blog de Castlover
  • Le blog de Castlover
  • : fantasmes amputées jeunes femmes plâtres moignons
  • : Bon nombre de personnes adorent porter ou regarder des plâtres. La plus part de ces personnes considèrent cette attirance comme un fantasme et restent passives. D'autres la vivent pleinement et l'assument en portant de faux plâtres. Je vous délivre ici quelques récits vécus ou fictionnels, car c'est ma façon à moi d'exprimer ma passion, de la ressentir et de la partager. J'espère qu'ils vous plaîront...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés