Lundi 15 décembre 1 15 /12 /Déc 21:44
 

Nous arrivons à la chambre d’hôtel qui se trouve à prés de 200 m de la salle de réception, un petit chemin de terre fait la liaison. Ma femme fait connaissance avec sa première montée d’escaliers. La chambre se trouve au premier étage sans ascenseur. Les marches sont assez étroites et pas larges pour que 2 personnes puissent monter en même temps. Je ne peux pas l’aider, si ce n’est que passer après elle pour la retenir en cas de chute. Cette fois ci elle prend soin de positionner sa cheville plâtrée vers l’arrière pour éviter d’heurter ses orteils à nouveau sur les marches. Ce qui me donne l’occasion d’avoir un aperçu de la plante de son pied ou du moins de son avant pied. Les marches sont assez hautes et elle peine pour monter. On aimerait tous l’aider, mais l’étroitesse de l’escalier ne nous le permet pas. Les 12 marches ne sont pas du tout évidentes, quand ce n’est pas les béquilles qui ne se positionnent pas là où il faut, c’est sa cheville valide qui atterrit au mauvais endroit. Je la soutiens par la hanche pour qu’elle ne bascule pas par l’arrière. Des personnes sont en haut de l’escalier et attendent patiemment qu’elle eut finit de monter ces marches. Cela la met à l’aise dans la mesure où 4 paire de yeux sont fixées sur elle. Il y a 2 enfants dans le lot. Le petit garçon pose des questions à ses parents : «  Dis Papa pourquoi la dame elle a des béquilles ? ».

Le père lui répond « Tu vois c’est qu’elle a un plâtre et qu’elle ne doit pas poser son pied à terre ».

Le garçon «..Et pourquoi elle a un plâtre ? » .

Le père «  Parce qu’elle s’est fait mal au pied !!! »

Le garçon «  Et pourquoi on a pas mis un plâtre sur ses doigts de pieds ? »

Le père, commençant à être énervé «  Parce qu’il ne sont pas cassés !! »

Le garçon «  comment elle a fait la dame pour se casser le pied ? »

Le père «  j’en sais rien moi !!! Laisses la tranquille la dame, fais lui de la place, tiens !!! ».

Quand Ma femme passa devant lui, il lui fait un grand sourire en lui disant «  Est-ce que t’as mal ? ».

Elle lui répond, toute essoufflée «  Plus maintenant, tu vois.. »

Le père prend pas la main le petit gamin et l’entraîne. Ce dernier tout ronchon lui dit «  Mais Papa, j’ai plein de truc à lui demander à la dame…pourquoi elle n’a pas de chaussure ?  »

Le père s’excuse auprès de nous et entraîne le gamin loin de ma femme. Personne ne se doutait qu’il n’en avait pas fini avec ma femme.

Ma femme reprend son souffle et esquisse un sourire, elle adore les enfants. Elle ne s’attendait pas à ça. On arrive devant la porte de la chambre, je lui ouvre la porte et elle passe la porte la première. La chambre est spacieuse avec une salle de bain avec baignoire. Une moquette épaisse noie pratiquement nos chaussures. Je l’installe sur le lit, elle est épuisée, il est à peine 13 h. On a tous les deux faim. Marc et Aurélie se préparant pour aller à la mairie se pressent un peu et décident de manger un sandwich à la première boulangerie. L’accueil nous propose un petit menu sympa dans son restaurant jusqu’à 15h . Je convaincs ma femme d’y aller. Sur le coup je n’ai pas pensé à cet escalier, mais on a tellement faim qu’on y pense à peine. On décide de se faire une petite pause avant d’y aller, après tout on a le temps !!

Vers 14 h 30 on se décide à descendre. La descente semble être plus dure que la montée, vu son manque d’expérience. Je lui propose de ne prendre qu’une seule béquille et d’utiliser la rampe avec l’autre main. Mes conseils en la matière l’aide énormément. Elle s’accroche à la rampe avec sa main droite et pose sa béquille sur la marche inférieure et elle n’a plus qu’à se balancer et descendre une à une les marches. Je passe devant cette fois ci au cas où elle tomberait. Je suis face à elle. Elle tend son plâtre vers l’avant, donc vers moi. Je remarque au passage que ses orteils ont commencé à enfler à nouveau. La dernière marche arrivée, elle se balance quand sa béquille glisse de quelques centimètres. Par réflexe elle pose son plâtre au sol, malgré que je la rattrape. Je pense que ce fût la seule fois, durant les 6 semaines qui suivirent, où elle s’appuya sur sa cheville blessée. La douleur qu’elle ressentit fut très douloureuse et lancinante, elle était pratiquement dans mes bras et il me fallut quelques instants avant de comprendre ce qui lui arrivait. La douleur fût intense, mais de courte durée. Elle resta pendant un instant blottie dans mes bras. J’aurais tout donné pour pouvoir la soulager à ce moment. Au bout de 5 minutes la douleur s’estompa. Alors qu’on regagnait très lentement sans bouger trop sa cheville, elle put s’asseoir. Le restaurant étant vide, je lui approchais une chaise où elle put déposer sa cheville plâtrée. La douleur n’avait pas disparue complètement, mais elle était supportable, avec l’effet des cachets pris ce matin. Nous prîmes notre déjeuner tardif. Sa jambe étant positionnée dans l’allée, elle suscitait l’intérêt ou des discussions du peu de client du restaurant. Je décidais de faire passer la nappe de la table au dessus ses orteils pour les cacher à la vue des gens. Elle me remercia d’un petit sourire et me répondit «  Tu sais, je vais devoir garder ce plâtre 6 semaines et j’en suis qu’à mon premier jour. Il va bien falloir que je m’habitue à exposer mes orteils à tout le monde. Et vu ce qui m’attend au mariage, il va falloir que j’oublie un peu ma pudeur. Comme à priori j’ai des jolis pieds autant que j’en fasse profiter les autres !!! »

Quand je réalisais ce qu’elle venait de déclarer, je me surpris à lui masser le devant du pied entre mes doigts. Soudain elle enleva sa cheville de la chaise pour la positionner entre mes jambes. Ses orteils reposant en quelque sorte sur mes parties intimes, déjà en surchauffe de régimes. Je pense que ce fût un des moments que je n’oublierais jamais. Elle, essayant, malgré la rigidité du plâtre qui emprisonnait sa cheville, de tendre ses orteils vers l’avant. La douleur limitant beaucoup le mouvement de ses orteils, je me rapprochais d’elle pour qu’elle puisse juste les poser dessus. Elle ne put faire que de petits mouvements, la douleur la rappelant à l’ordre. Je ne sentis finalement aucun mouvement, elle avait renoncé en m’annonçant tout fièrement que ce n’était que parti remise, que je ne perdais rien pour attendre. C’était bon signe, je la retrouvais, un peu coquine et joueuse parfois. Je continuais à lui masser les orteils en me vengeant particulièrement sur ceux qui m’avaient réveillé, en les chatouillant un peu. Elle voulut retirer son plâtre de suite me connaissant, mais la douleur de la dernière fois prît le dessus. Elle préféra le laisser sur place en recroquevillant ses orteils du mieux qu’elle pouvait. Je ne voulais pas non plus lui faire du mal, je l’embêtais encore un peu juste qu’à ce qu’elle dise qu’elle se rendait et qu’elle n’en pouvait plus. Le fait de plier les orteils de la sorte lui provoquait des petites contractions musculaires assez désagréables. Nous passâmes un excellent moment et le retour dans la chambre fût beaucoup plus actif. Le passage par l’escalier, bien qu’éprouvant ne fut qu’une épreuve avant sa récompense du septième ciel. L’effet que provoquait son plâtre sur moi était fascinant, elle fut perdue bien des fois entre extase et douleurs. Un état étrange, lui permettant de revenir à un doux plaisir malgré les petites réactions de sa cheville prisonnière. La soirée s’acheva par un bain dans la baignoire sur laquelle elle pût positionner son plâtre confortablement. Je pris un plaisir extrême à lui laver tout le corps en n’oubliant aucune partie. S’ensuit un jeu de plaisirs et de caresses extrêmes. La voir dans une position dominée et dépendante de par son handicap, me donnait des idées nouvelles. Elle se prît au jeu et joua le rôle de la pauvre éclopée qui avait besoin d’aide. Je me pris aussi un malin plaisir à laisser ses béquilles prés du lit de sorte qu’elle eut vraiment besoin de mon aide pour se déplacer. Son pied nu cherchait à chaque pas à rétablir l’équilibre, tandis que ses bras s’agrippaient à mon corps !!! Dans ces conditions nous ne rendîmes pas compte de l’heure qui avançait à grand pas. Nous nous en rendîmes compte une petite demie heure avant l’heure H. J’aide ma femme à enfiler sa robe longue, elle lui va vraiment bien et met ses formes en valeurs. Pendant qu’elle se maquille, je profite pour mettre mon costume, un gris métal avec une cravate assortie à ma chemise. Je la vois appuyée sur une de ses béquilles, se penchant au plus prés du miroir de la salle de bain pour affiner la mise en valeur de son regard. Sa jambe plâtrée est orientée vers l’arrière, ses orteils touchant de temps en temps la moquette, elle relève sa jambe, tout en essayant de se maintenir en équilibre. A un moment elle a besoin de ses deux mains, elle adosse donc sa béquille sur le meuble de la salle de bain et se penche encore plus sur le meuble pour se maintenir. Ses réflexes s’adaptent à son état diminué. Au bout d’un court moment je la vois sortir, splendide dans sa robe et encore pied nu. Son élégance me fascine encore plus avec cette marche dépendante de ses cannes anglaises. Mes compliments et sifflements la remonte à bloc, elle a presque fait abstraction de son plâtre, des béquilles et aussi de sa pudeur de montrer ses orteils.

Elle enfile sa chaussure et prends son sac à main, ses mains étant prises, je me charge de le lui prendre. Elle commence à se diriger en béquillant vers la sortie, je suis admiratif devant la grâce que lui donne ce balancement avec sa longue robe.

Par castlover - Publié dans : Les plâtres du mariage
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